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Articles in Category: Archives Rezopole

Le retour des Rezopole User Group

Le mardi, 30 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Le retour des Rezopole User Group

L’équipe technique de Rezopole vous donne rendez-vous le vendredi 24 mai de 09h00 à 12h00 à l'Hôtel de Région Auvergne-Rhône-Alpes.


Cette 20ème édition portera sur les intérêts de l'automatisation du réseau et les problématiques allant de paire avec son implémentation. Un retour d'expérience sur le déploiement automatisé des configurations mises en place sur LyonIX ces derniers mois sera également proposé.

 

Ouverture des inscriptions très prochainement !

 

 

 

 

 

 

Aperezo #57 : ouverture des inscriptions !

Le mercredi, 24 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #57 : ouverture des inscriptions !

Altice-SFR / Isère Fibre et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 57ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 15 mai au Family Kitchen à Grenoble de 18h30 à 22h00.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

Merci de limiter à 5 le nombre de professionnels par société.

 

Je m'inscris

 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, les réseaux sociaux et le site de notre partenaire.

À propos de notre sponsor

Isère Fibre est une Délégation de Service Public de SFR FTTH filiale du groupe Altice-SFR.

Celle-ci opère le Réseau Initiative Publique du Département de l’Isère visant à rendre éligible d’ici 2024, plus de 98 % des foyers et entreprises isérois au très haut débit départemental.

Ce projet d’envergure repose sur la mise en place de 109 NRO (Nœuds de Raccordement Optique) et le déploiement de près de 10 000 kilomètres d’artères fibre optique à travers le département. Il adressera à terme plus de 466 communes et près de 450 000 foyers. Ce projet ambitieux représente un investissement global de près d’un demi-milliard d’euros. La réalisation de la partie structurante de ce Réseau d’Initiative Publique très haut débit ainsi que la construction des 109 NRO destinés à abriter les équipements actifs, sont assurées par le Département.

Avec la création d’en moyenne 80 000 prises raccordables par an, l’Isère réalise ainsi le Réseau d’Initiative Publique départemental le plus important de France, et ce dans un temps record. Le 25 janvier 2019, le Département de l’Isère  annonçait le lancement de la commercialisation des 15 000 premières prises de fibre optique dans 14 communes du réseau Isère THD (Très Haut Débit).

http://www.iserefibre.fr/

 

Altice France est le premier acteur de la convergence entre télécoms et médias en France.

A travers SFR, 2ème opérateur français, Altice France est un acteur incontournable des télécoms au service de 22 millions de clients. Doté du premier réseau en Fibre optique (FTTB/FTTH) avec 12,6 millions de prises éligibles, SFR couvre également près de 99 % de la population en 4G.

SFR dispose de positions d’envergure sur l’ensemble du marché, que ce soit auprès du grand public, des entreprises, des collectivités ou des opérateurs.

Altice France est également un groupe médias de premier plan avec 14 chaînes de télévision, 2 radios, 5 titres de presse, autour de marques emblématiques telles que BFM, RMC, Libération ou encore L’Express. Que ce soit à travers son kiosque numérique, son portefeuille de droits sportifs, la production, le financement ou l’achat de contenus originaux et exclusifs, Altice France invente de nouveaux modèles d’édition et de distribution ouverts à tous.

En 2018, Altice France a réalisé un chiffre d’affaires de 10,2 milliards d’euros.

Pour suivre l'actualité du groupe sur Twitter : @AlticeFrance

Contact presse : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

 

 

 

 

 

 

Le rapport d'activité 2018 est en ligne

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le rapport d'activité 2018 est en ligne

Retrouvez dans ce document la rétrospective de nos actions et événements de Rezopole pour l'année écoulée. Parmi les informations à retenir : l’ouverture d’un nouvel IXP à Annecy, baptisé AnnecIX, avec déjà deux membres ; l’arrivée de nouveaux membres tel que le fournisseur de contenu majeur Akamai ; l’obtention de la certification Datadock permettant une prise en charge des formations proposées par Rezopole ; et bien sûr les incontournables Aperezo de nouveaux organisés à Grenoble en juin et novembre derniers. De nombreuses autres informations sont détaillées dans ce nouveau rapport annuel.

 

Nous vous invitons à le télécharger au format pdf à partir de ce lien.

 

Bonne lecture !

 

 

 

 

 

 

Augmentation des dépenses dédiées aux DC

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Augmentation des dépenses dédiées aux DC

Boosté par un marché des infrastructures Cloud en pleine expansion, les dépenses en matériels et logiciels dans les DataCenters ont crû de 17 % en 2018. Un marché mondial dominé par Dell EMC suivi par Cisco, Hewlett Packard Entreprise et Huawei. Des investissements motivés par une « demande croissante » en services de Cloud public et par le besoin de configuration « toujours plus riches » d’après Synergy Research Group qui publie ces chiffres. Par conséquent, le prix de vente moyen des serveurs d’entreprise est monté en flèche.

 

Plus en détail, les dépenses consacrées aux achats d'infrastructures pour le Cloud public ont augmenté de 30 % contre 13 % pour celles orientées vers l’équipement des DataCenters d’entreprise. « Les revenus des services Cloud continuent de croître de près de 50 % par an » déclare John Dinsdale, analyste chez Synregy Research Group. « Les revenus du SaaS et du e-commerce augmentent chacun d’environ 30 %. Tous ces facteurs contribuent à une forte augmentation des dépenses pour les infrastructures du Cloud public » ajoute-t-il.

 

Le marché du Cloud public est dominé par les ODM qui représentent la plus grande partie en revenus cumulés. Du côté des marques, on retrouve Dell EMC devant Cisco, HPE et Huawei. Dell EMC s’impose également sur le marché du Cloud privé suivi par Microsoft, HPE et Cisco. Ces quatre fournisseurs figurent en tête sur le marché des DataCenters hors Cloud mais dans un ordre différent.

 

Le total des revenus tirés de l’équipement des DataCenters, y compris le matériel et les logiciels Cloud et hors Cloud s’élève à 150 milliards de dollars en 2018 indique l’analyste. Le marché de l’infrastructure des DataCenters est composé à 96 % par les serveurs, les systèmes d’exploitation, le stockage, la mise en réseau et les logiciels. La sécurité des réseaux et les logiciels de gestion représentant le reste.

 

Par segment, Dell EMC occupe la première place en termes de revenus dans les domaines des serveurs et du stockage. Cisco, quant à lui, surplombe le segment des réseaux. On retrouve ensuite Microsoft, HPE, VMware, Lenovo, Inspur, NetApp et Huawei qui a enregistré la plus forte croissante en un an.

 

« Nous constatons également une croissance relativement forte des dépenses en infrastructures des DataCenters d’entreprises, les principaux catalyseurs étant des charges de travail plus complexes, des exigences hybrides en matière de Cloud, des fonctionnalités de serveur accrues et des coûts de composants plus élevés » conclut M. Dinsdale.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

 

 

Quand Facebook veut encercler l’Afrique

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Quand Facebook veut encercler l’Afrique

C’est dans le Wall Street Journal que l’entreprise a décidé de parler de cette opération démesurée, baptisée « Simba ». Très peu de détails ont pour le moment été révélés sur le projet. Nous savons seulement qu’il serait relié aux point d’accès existants, notamment sur certaines plages des côtes Est, Nord et Ouest.

 

Encercler l’Afrique d’un gigantesque câble sous-marin de fibre optique permettrait à la quasi-totalité de la population de profiter d’Internet. Facebook sait que pour grossir, il doit absolument s’attaquer à ce continent habité par plus de 1,2 milliards de personnes et qui n’est pas encore très bien connecté au reste du monde. La faute à des infrastructures toujours en cours de développement et des régions absolument non recouvertes. Donc si plusieurs millions d’africains pouvaient demain se connecter à Internet et créer un compte Facebook, WhatsApp ou encore Instagram, le réseau social gagnerait énormément d’utilisateurs en très peu de temps.

 

Cependant, il n’y aurait pas encore d’accord signé pour l’installation de cet énorme câble. Et ce n’est pas la première fois que Facebook parle d’installer un câble sous-marin pour connecter le monde. Facebook tirait un câble transatlantique de plus de 6 500 kilomètres, Marea, en 2017 avec l’aide de Microsoft. L’installation commençait en 2016 et apportait une connexion stable en 2018 en reliant Virginia Beach aux États-Unis à Bilbao, en Espagne.

 

 

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Source : Siècle Digital

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Défaillances dans les DC : causées par le réseau ?

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole

Défaillances dans les DC : causées par le réseau ?

Si les coupures d’électricité sont une cause fréquente de pannes dans les datacenters, elles ne sont plus les seules. En effet, les défaillances des systèmes IT et les erreurs réseaux sont à l’origine de panne de plus en plus nombreuses. C’est pourquoi l’Institut Uptime s’est intéressé aux pannes connues pour savoir qu’elle était l’origine des interruptions de services non planifiées. Pour se faire, la société a décortiqué 162 interruptions de services signalées dans les médias traditionnels et sociaux au cours des trois dernières années.

 

27 pannes ont fait l’objet d’articles dans les médias en 2016, 57 en 2017 et 78 en 2018. « Les pannes de services se retrouvent de plus en plus régulièrement à la une des médias » a déclaré Andy Lawrence, directeur exécutif de la recherche à l'Institut. Cela ne signifie pas nécessairement que le nombre de pannes augmente en flèche mais plutôt que les temps d’interruption attirent de plus en plus l'attention. « Il est clair que pour les utilisateurs, l’impact des pannes est certainement plus dommageable aujourd’hui » ajoute-t-il.

 

L’étude a permis de mettre en évidence que dans les pannes globales les problèmes de réseau et des systèmes IT sont davantage mis en cause que ceux liés à l’alimentation électrique. On explique cela par le fait que les systèmes d’alimentation électrique sont plus fiables que par le passé et qu’il y a donc moins de coupures de courant dans les datacenters.

 

En parallèle, la complexité croissante des environnements IT est à l’origine d’un nombre croissant de problème liés à l’IT et aux réseaux. « Désormais, les données sont dispersées dans plusieurs endroits, avec des dépendances critiques par rapport au réseau, par rapport à la façon dont les applications sont architecturées et à la façon dont les bases de données se répliquent. C’est un système très complexe, et il faut aujourd'hui moins d’événements pour en perturber le fonctionnement » a expliqué Todd Trader, vice-président de l’optimisation et de la stratégie IT à l’Institut Uptime.

 

Une tendance d’autant plus marquée lorsque l’on compare les causes d’une année sur l’autre. 28 % des pannes étaient liées à des problèmes d’alimentation électrique en 2017 contre 11 % l’année suivante. Les défaillances liées aux systèmes informatiques sont restées relativement constantes : 32 % en 2017 puis 35 % en 2018. Les pannes imputables aux problèmes de réseau ont augmenté de façon significative, passant de 19 % en 2017 à 32 % en 2018. « Les choses sont reliées non pas à un ou deux sites mais à trois ou quatre sites, voire plus, Le réseau joue un rôle de plus en plus important dans la résilience informatique » remarque Todd Traver.

 

Afin de pouvoir distinguer une interruption qui peut menacer l’activité d’une entreprise d’une panne juste gênante, l’Institut Uptime a mis au point une grille d’évaluation avec une échelle de 5 niveaux :

  • niveau 1 : désigne un arrêt négligeable. La panne est enregistrable mais il y a peu ou pas d’impact évident sur les services et aucune interruption de service.
  • niveau 2 : qualifie une interruption de service minimale. Les services sont perturbés, mais l’effet sur les utilisateurs, les clients ou la réputation est minime.
  • niveau 3 : désigne une interruption de service importante pour l’entreprise. Il s’agit d’interruptions du service à la clientèle ou aux utilisateurs, le plus souvent de portée, de durée ou d’effets limités. L’impact financier est minime ou nul mais il y a un certain impact sur la réputation ou la conformité.
  • niveau 4 : concerne une panne d’exploitation ou de service grave entraînant une perturbation du service et / ou des opérations impliquant des pertes financières, des manquements à la conformité, des atteintes à la réputation et peut-être même des problèmes de sécurité avec éventuellement des pertes de clients.
  • niveau 5 : qualifie une panne critique pour l’entreprise ou la mission, entraînant une interruption majeure et dommageable des services et / ou des opérations, impliquant d’importantes pertes financières, des problèmes de sécurité, des manquements à la conformité, des pertes de clients et des atteintes à la réputation.

 

Cette analyse a été approfondie par les chercheurs qui ont identifié plus spécifiquement l’origine des pannes de datacenters.

Les motifs des pannes les plus courants quand le réseau est en panne :

  • coupures de fibres en dehors du datacenter et nombre insuffisant d’alternatives de routage
  • panne intermittente des principaux commutateurs et absence de routeurs secondaires
  • panne majeure de switch sans sauvegarde
  • configuration incorrecte du trafic pendant la maintenance
  • mauvaise configuration des routeurs et des réseaux définis par logiciel
  • défaut d’alimentation de composants individuels non sauvegardés comme des commutateurs et des routeurs

 

Pour l’informatique, les causes les plus courantes sont :

  • mise à niveau mal gérée
  • échec et corruption de données subséquente d’un grand nombre de disques ou de systèmes de stockage SAN
  • défaillance de synchronisation ou erreurs de programmation dans le système d’équilibrage de charge ou de gestion du trafic
  • système de défaillance / synchronisation ou de reprise après sinistre mal programmés
  • perte de puissance au profit de composants individuels non sauvegardés

 

Quand c’est l’alimentation électrique qui fait défaut, les motifs des pannes sont :

  • la foudre provoque des surtensions et des coupures d’électricité
  • défaillances intermittentes avec les commutateurs de transfert et impossibilité de démarrer les générateurs ou d’effectuer les transferts vers un second datacenter
  • pannes de l’onduleur et absence de transfert vers les systèmes secondaires
  • le fournisseur n’arrive pas à délivrer la puissance nécessaire avec défaillance subséquente du générateur ou de l’onduleur
  • dommages causés aux équipements informatiques par surtension

 

« De façon générale, les entreprises devraient accorder plus d’attention à la résilience des datacenters. Elles ont besoin de connaître leurs architectures, de bien comprendre toutes les interdépendances, d’identifier les motifs des défaillances, de prévoir des solutions en cas d’échec. Or ce dernier aspect est souvent négligé » ajoute Todd Traver.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Retour sur l'Aperezo #56

Le lundi, 15 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Retour sur l'Aperezo #56

Lyon méritait de disposer d'un Carrier Hôtel Neutre sur son territoire.

C'est chose faite grâce à HosTELyon qui, après six mois de rénovation, a présenté son tout nouveau

data center de 120 baies, principalement orienté interco Télécom.

 

Un afterwork ponctué par le traditionnel cocktail dînatoire.

 

Retrouvez les principaux clichés de la soirée ici.

 

 

 

 

Photographe : Marine-Agathe GONARD / AGATHE PHOTOS

 

 

 

 

 

Bye bye Owncloud, bonjour Nextcloud !

Le vendredi, 12 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Bye bye Owncloud, bonjour Nextcloud !

100 % open source et axé sur la communauté, Nextcloud permet de stocker ses documents, contacts et photos et de gérer son agenda. La principale nouveauté : une messagerie instantanée pour échanger en direct et organiser des visio-conférences.

 

Ce service est disponible gratuitement pour tous nos membres. Pour cela, il vous suffit de créer un compte via l’adresse suivante : nextcloud.rezopole.net. Les utilisateurs des services d’Owncloud sont également invités à passer sur Nextcloud.

 

Le service est centralisé sur les infrastructures de Rezopole, ce qui apporte une meilleure qualité de transfert pour les participants des IXPs de Rezopole, mais aussi pour les utilisateurs (entreprises, collectivités locales etc) dont leurs FAI peerent sur ce nœud.

 

Plus d'informations ici.

 

 

 

 

Accord bilatéral entre Kosc Telecom et Ielo-Liazo

Le mercredi, 03 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Accord bilatéral entre Kosc Telecom et Ielo-Liazo

Signé le 28 mars dernier, cet accord stratégique entre les deux opérateurs d’opérateurs français a été conclu pour une durée de 20 ans. Il concerne l’accès à leurs infrastructures respectives.

 

En effet, Kosc Telecom met à disposition son infrastructure de collecte FFTH via son offre bitstream. Ce qui permet à son nouveau partenaire d’enrichir son catalogue de services et de compléter son offre de collecte résidentielle sur support cuivre existante (xDSL).

Ielo-Liazo, quant à lui, ouvre l’accès à son réseau national de fibre via une nouvelle offre industrielle de dégroupage optique NRO. Kosc Télécom pourra ainsi délivrer des services à qualité élevée et renforcer la couverture nationale de son réseau Fibre Entreprise.

 

Ce partenariat de long terme entre ces deux opérateurs spécialistes de la vente de produits Télécoms en gros, incarne pour Ielo-Liazo une application concrète de sa stratégie visant à proposer au marché entreprise une offre d’infrastructure unifiée pour opérateurs. Tandis qu’il constitue pour Kosc une étape complémentaire dans sa stratégie de proposer à ses clients opérateurs 100 % des lignes disponibles en France.

 

 

 Lire le communiqué de presse

 

Source : Kosc Telecom

 

 

 

 

25 tutos en ligne sur les métiers de la fibre

Le mercredi, 03 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

25 tutos en ligne sur les métiers de la fibre

Installer un boîtier de distribution, localiser un défaut sur une fibre, réaliser une mesure de réflectométrie… Des gestes essentiels qu’un technicien de fibre optique doit savoir maîtriser.

 

Face à l’urgence de la formation de ces professionnels, l’association de l’École des Plombiers du Numérique et la fédération Infranum, avec le soutien d’Opcalia et de plusieurs industriels du secteur (Telenco, Sogetrel, Spie), ont lancé la plateforme manuel.lesplombiersdunumerique.org. Ces 25 tutoriels en ligne présentent les différentes spécialités de cette profession afin d’accélérer la maîtrise de ces gestes.

 

Sous forme de fiche thématique, chaque tutoriel est basé sur une vidéo didactique, des photos et des explications détaillées. 10 à 15 minutes suffisent pour intégrer les apprentissages. Ils serviront de base à l’enseignement au métier de la fibre dans les 9 écoles des Plombiers du Numérique mais ils peuvent être utilisés par tous notamment dans le but d’accompagner le développement des industriels de la filière infrastructure numérique et les besoins de formation associés.

 

Cette base de connaissances est destinée à être enrichie par tous les acteurs de la filière afin de la professionnaliser. La plateforme qui les héberge est ouverte à tous gratuitement.

 

 

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Source : InfraNum

 

 

 

 

Débit Internet : on est loin du compte !

Le mercredi, 27 mars 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Débit Internet : on est loin du compte !

L’UFC-Que Choisir a publié les résultats de son observatoire exclusif des débits de l’Internet fixe. Un bilan négatif puisque l’on est très loin des promesses des opérateurs à 500 Mb/s, 1 Gb/s et même 10 Gb/s.

 

Même si les abonnés ne sont pas dupes, l’écart entre les annonces et la réalité est tellement important qu’il en devient aberrant. Cet observatoire permet donc de dresser un état des lieux des débits Internet dont bénéficient vraiment les Français et d’en tirer trois enseignements.

 

1. Des débits réels à des années-lumière de ceux promis

 

La plupart des opérateurs proposent à leurs clients connectés « jusqu’à 20 mégabits/s » en ADSL. Alors qu’on est à peine à 8 Mb/s en vérité. Pour le Très Haut Débit, l’écart est encore plus élevé. Le débit moyen réel se situe plutôt autour de 175 Mb/s tandis que les opérateurs annoncent 500 Mb, voire 1 Gb par seconde.

 

Bien sûr, ces chiffres ne sont que des moyennes et ils dépendent d’autres facteurs dont les opérateurs ne sont pas forcément responsables. N’empêche que l’écart avec le débit promis est gigantesque.

 

2. Un débit 2 à 5 fois plus faible en zone rurale

 

Les données issues de l’observatoire sont sans appel : plus la commune est petite, plus le débit moyen est faible. En ADSL, la différence va du simple au double : de 9,1 Mb/s en moyenne dans les villes de plus de 30 000 habitants à 5,2 Mb/s dans les villages de moins de 1 000 âmes.

 

L’écart est encore plus flagrant pour les connexions Très Haut Débit. On surfe en moyenne à 284 Mb/s dans les grandes villes lorsqu’on se contente d’un débit moyen inférieur à 100 Mb/s dans les communes de moins de 3 000 administrés. Et, il dégringole à 49 Mb/s dans les bourgades de moins de 1 000 habitants.

 

3. La fibre optique, il n’y a rien de mieux

 

Si les écarts entre les villes et les campagnes en matière de Très Haut Débit sont si importants, c’est en grande partie à cause des technologies utilisées. Les habitants des grandes villes sont principalement connectés en FTTH (fibre jusqu’à l’abonné). Mais ceux des petites communes et des villages doivent trop souvent se contenter de solutions moins performantes comme le VDSL. Si cet ADSL amélioré permet en théorie un débit de 100 Mb/s, il subit une très forte déperdition de signal et seuls les clients résidant à moins de 1km du nœud de raccordement peuvent bénéficier d’un débit supérieur à celui de l’ADSL.

 

Dans les villes moyennes, un nombre non négligeable d’abonnés est aussi connecté en FTTB (Fiber to the building, ou câble). Si elle suffit largement à la majorité des internautes, cette technologie souffre de quelques défauts comme un débit montant plus faible ou un temps de latence plus long.

 

 

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Source : UFC-Que Choisir

 

 

 

 

5G : les fréquences vont manquer aux opérateurs

Le mercredi, 27 mars 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

5G : les fréquences vont manquer aux opérateurs

Afin de lancer la nouvelle génération de réseaux mobiles, les opérateurs doivent se voir attribuer les fréquences d’ici la fin de l’année. Les premières antennes 5G pourront ainsi fleurir et les débits exploser dès 2020.

 

Dans toute l’Europe, la bande phare de la 5G est celle comprise entre 3,4 GHz et 3,8 GHz – soit 400 MHz théoriquement à la disposition des opérateurs pour arroser leurs clients d’Internet ultra rapide.

 

Le seul problème est que, dans l’Hexagone, cette bande est déjà partiellement occupée par des locataires qui n’ont aucune envie de vider les lieux avant la fin de leur bail en 2026. Parmi ces encombrants locataires, on trouve les détenteurs de licences Wimax. Cette technologie radio du début des années 2000 devait offrir le haut débit dans les zones rurales grâce à des antennes radio dédiées.

 

Un ménage s’impose et concerne deux acteurs qui sont assis sur 30MHz chacun : Bolloré Télécom (aujourd’hui Wifirst) dans toute la France et SFR en Ile-de-France et Provence-Alpes-Côte d’Azur.

 

L’Arcep ne peut donc pas révoquer leurs droits d’utilisation, quand bien même les fréquences sont cruciales pour la 5G. Et Bolloré le sait. Il est idéalement placé aujourd’hui pour se refaire. Il lui suffit d’attendre. L’industriel peut s’asseoir dessus jusqu’en 2026, s’en servir lui-même pour faire de la 5G ou encore louer ces fréquences à un tiers.

 

Mais pour ne rien arranger, l’Arcep a encore amputé la bande de la 5G il y a quelques mois. Le gendarme des Télécom a dédié 50 MHz de son stock de 400 MHz au « THD Radio » dans le cadre du plan gouvernemental qui vise à fournir le Très Haut Débit à tous les Français en 2022. Et ce jusqu’en 2026.

 

Du côté de l’Arcep, on assure qu’ « il n’y a pas de difficultés ». Embarrassé, le régulateur expliquait pourtant aux Echos l’été dernier qu’il pourrait bien n’y avoir « que » 280 MHz de spectre à mettre aux enchères… soit 30 % de moins que les 400 MHz identifiés par l’Europe. Depuis l’Autorité étudie ses options mais rien ne bouge.

 

 

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Source : Les Echos.fr

 

 

 

 

Mettez en avant votre société !

Le jeudi, 21 mars 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

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