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Confinement : les réseaux ont globalement bien tenu

Une saturation des réseaux Internet a été évoquée à plusieurs reprises au début du confinement. Un risque globalement inexistant hormis localement sur des antennes mobiles sur-sollicitées. C’est ce que vient de révéler nPerf dans une étude spécialement dédiée à l’impact du confinement sur les débits Internet. Le spécialiste de l’évaluation des connexions observe ainsi un léger affaissement des performances sur les réseaux mobiles mais celles des connexions fixes n’ont pas faibli.

 

En effet, les réseaux mobiles en zone résidentielle n’étaient pas vraiment taillés pour encaisser un surcroît de trafic du jour au lendemain. Beaucoup plus utilisés qu’en temps normal et le partage d’une même antenne par tous les riverains ont fait qu’ils n’ont pas pu délivrer leurs performances habituelles.

Une baisse des débits moyens de 10 %, soit 4 Mb/s, est observée en moyenne sur la fin mars. Accompagné d’un tassement sur les performances en navigation, notamment chez Orange et Free, tandis que le streaming reste stable. L’ensemble reste malgré tout “très acceptable” chez les 4 opérateurs, estime nPerf.

 

En revanche, le confinement n’a pas vraiment eu d’impact négatif sur les débits Internet fixe. Selon les tests compilés, l’ensemble a même eu tendance à s’améliorer fin mars. C’est le cas chez Bouygues Telecom, SFR et Orange, avec une exception du côté de Free.

En fibre, les débits Internet sont restés globalement stables chez Orange et Free. De son côté, SFR affiche une progression constante depuis le début de l’année qui ne s’est pas démentie malgré le confinement. Quant à celles de Bouygues Telecom, elles sont également orientées à la hausse en fin de trimestre.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

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