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Articles taggés avec : déploiement Très Haut Débit

Fibre optique : 14 millions d’abonnés en France

Le vendredi, 03 septembre 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre optique : 14 millions d’abonnés en France

Si la mise en route du plan France Très Haut Débit en 2013 a été poussive, son accélération a fini par produire de bons résultats. Le territoire métropolitain ne sera pas couvert en 2022, comme cela devait initialement être le cas, et il faudra attendre 2025 — voire 2030 — pour que certaines régions soient totalement fibrées. Cependant, les investissements consentis dans les travaux de déploiement ont permis au pays de faire une jolie remontée au classement européen. En effet, la France se positionne dorénavant devant le Royaume-Uni, l’Allemagne ou l’Italie avec plus de 50 Mb/s de débit moyen.

 

Des efforts se traduisant par une hausse notable des abonnements puisque dorénavant la France recense plus de 14 millions de clients à la fibre optique. Le pays comptera bientôt plus d’abonnés fibre que de clients d’offres Internet en xDSL.

Orange est de loin le premier fournisseur d’accès Internet en fibre optique avec plus de 5,2 millions de clients, devant SFR (3,6 millions), Free (3,3 millions) et Bouygues Telecom (1,9 million).

 

De plus, la crise sanitaire n’a fait qu’accentuer la nécessité pour les Français de pouvoir s’appuyer sur une connexion Internet fiable et performante. Si bien que dans le secteur immobilier, le raccordement des biens au réseau de fibre optique devient un critère de plus en plus important pour les acheteurs.

 

Le défi actuel se joue désormais au niveau des zones rurales où la fibre optique coûte plus cher à déployer pour une rentabilité moindre. C’est pourquoi l’État et les collectivités sont obligés de mettre la main à la pâte à travers les RIP (Réseaux d’initiative public) en accompagnement des déploiements réalisés par les opérateurs. Raison pour laquelle le plan de relance décrété pour relancer l’économie après le coup d’arrêt lié à la Covid-19 prévoit quelque 570 millions d’euros pour le déploiement de la fibre optique.

 

 

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Source : Les Numériques

 

 

 

 

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Le vendredi, 05 mars 2021. Posté dans Archives Rezopole

FttH : plus de 10 millions d’abonnements

Les derniers chiffres trimestriels publiés par l'Arcep confirment la progression de la fibre optique sur le territoire français : « le quatrième trimestre 2020 a été marqué par une progression record de déploiement de la fibre optique (FttH) et de son adoption, qui conclut une année 2020 elle aussi record ». La barre des 10 millions d’abonnements à des offres FttH a ainsi été franchie.

 

Désormais, le nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à 14,7 millions. Ce qui représente près de la moitié du nombre total d’abonnements Internet en France, et 51 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, soit une hausse de 3 points en un an.

Une progression qui est avant tout due à l’augmentation des abonnements au FttH. Avec 3,3 millions d’accès supplémentaires en 2020, le nombre d’abonnements FttH est chiffré à 10,4 millions soit 70 % du nombre total d’accès à très haut débit. Même si les abonnements à haut débit constituent toujours la majorité des abonnements à Internet, avec presque 16 millions, ils ont chuté de 2,5 millions en 2020.

Au total à la fin de l’année 2020, la France compte 30,6 millions d’abonnements à haut et très haut débit. Une progression de 285 000 en un trimestre et de 800 000 en un an (+ 2,7 %). « Une telle croissance annuelle n’avait pas été observée depuis trois ans », estime-t-on du côté de l'Arcep.

 

Une tendance qui doit beaucoup au déploiement soutenu des lignes de fibre optique de bout en bout par les opérateurs et les acteurs du secteur. Plus de 1,9 million de locaux supplémentaires ont été rendus raccordables au FttH au cours du quatrième trimestre 2020. « Plus de 5,8 millions de lignes ont été déployées au cours de l’année 2020, malgré la situation sanitaire, soit 19 % de plus qu’en 2019 », fait valoir le gendarme des télécoms.

Désormais, 24,2 millions de locaux sont éligibles aux offres FttH, soit une hausse de 31 % en un an. Cette croissance se situe majoritairement en zone moyennement dense – zone AMII (Appel à Manifestation d’Intention d’Investissement). À la fin du quatrième trimestre 2020, 28,6 millions de locaux au total étaient éligibles à des services à très haut débit, toutes technologies confondues, dont 21,7 millions en dehors des zones très denses.

 

Si le déploiement de la fibre optique va bon train, nombreux sont les foyers ou les entreprises à se plaindre d’une connectivité en berne. La faute à des défauts d’entretien ou de raccordement sur les points de mutualisation générant de nombreux problèmes de qualité de service.

Pour y remédier, les opérateurs viennent de conclure un accord qui pourrait faire date dans le secteur. Ils s’engagent ainsi à améliorer la sécurité et la qualité des interventions avec un nouveau régime de sanctions.

L’accord, annoncé par Infranum, prévoit également une prise en charge collective des frais de remise en état du réseau. De quoi freiner l’explosion des “plats de nouilles” débordant des points de mutualisation, qui pourrait à terme poser un problème majeur pour la connectivité des particuliers et des professionnels.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

La France s’inquiète pour ses réseaux

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

La France s’inquiète pour ses réseaux

Depuis deux ou trois ans, l’accélération du déploiement de la fibre est franche mais le plus dur reste à faire : raccorder les zones les moins denses du territoire. Malgré les efforts du gouvernement – généralisation de la fibre à l’horizon 2025 en mobilisant près de 300 millions d’euros pour accompagner les derniers projets non encore financés – le compte n’y est pas. La raison : pour desservir l’habitat dispersé ou les entreprises isolées, le coût des raccordements dits longs est très élevé et pour certains, il risque même d’être rédhibitoire.

 

La réponse doit émerger d’ « une négociation avec les différentes collectivités sur le financement de leurs projets, avec des demandes importantes auxquelles, peut-être, on ne pourra pas répondre exactement » explique Cédric O. En effet, le secrétaire d’État souhaite « mettre en adéquation les besoins et les subventions pour atteindre l’objectif de 100 % fibre en 2025. Pour le cahier des charges, on verra après ».

 

Des raccordements non standard, il y en a aussi dans les zones moins denses d’initiative privée. La question de la disponibilité effective de la fibre se pose pour les foyers et entreprises isolés et/ou difficiles à desservir. C’est le cas en zone AMII où l’engagement d’Orange et SFR était de rendre 100 % des locaux raccordables à fin 2020. Dont 8 % sur demande car jugés plus complexes à desservir ou non prioritaires.

Si la crise sanitaire a fait glisser l’échéance de ces engagements, ils seront finalement atteints en 2021 selon Nicolas Guérin, secrétaire général de la Fédération française des Télécoms. Pour l'Arcep, il incombe à l’État de s’en assurer. Pour Sébastien Soriano, président de l’Autorité de régulation, « pas d’inquiétude » sur le respect des délais par SFR. Cependant, il estime qu’il y a « un point d’atterrissage à construire avec Orange ».

Un terrain d’entente pourrait être trouvé sur le lancement d’offres destinées aux locaux raccordables sur demande. Ce qui permettrait à un peu plus d’un million de foyers et entreprises « mis de côté » lors de la programmation initiale du déploiement, de bénéficier d’un raccordement sous six mois à compter de la commande d’un fournisseur d’accès. Nicolas Guérin, également secrétaire général d’Orange explique qu’après avoir fait du déploiement massif, l’opérateur historique est désormais en mesure de « passer à un déploiement plus qualitatif ».

 

Du côté de l'Arcep, où « des procédures sont en cours » pour jauger le respect des règles de complétude par les opérateurs, on attend de voir si ces offres permettent de répondre aux problèmes identifiés. Sébastien Soriano juge en tout cas souhaitable que ces offres de raccordable sur demande arrivent d’abord sur les zones programmées depuis plus de cinq ans – et parfois beaucoup plus – et où 100 % des locaux ne sont pas encore raccordables.

 

La question de la pérennité des réseaux FttH se pose également, concernant notamment le raccordement en mode Stoc. Les fournisseurs d’accès veulent brancher eux-mêmes leurs clients. Si les exploitants de réseaux ne sont pas contre, ils s’inquiètent des échecs de raccordement et des dégradations que ce fonctionnement entraîne. Les deux parties ne désespèrent pas de trouver de nouveaux accords avant la fin de l’année, afin de clarifier les responsabilités de chacun.

Le tout sous l’œil excédé des collectivités propriétaires des réseaux d’initiative publique. S’il n’est pas étonnant d’entendre des élus tonner contre le mode Stoc ; il l’est plus de voir un membre du gouvernement hausser le ton sur ce sujet très opérationnel. « Ce n’est pas possible », a ainsi martelé Cédric O. « Nous sommes en train de gâcher ce que nous sommes en train de réussir » en incitant fortement les intéressés à dénouer le problème :« Soit on sait le régler de manière intelligente entre gens de bonne volonté, soit l’État va devoir prendre des décisions plus compliquées, quitte à causer des désagréments dans le système ».

Les parties prenantes ne semblent donc plus avoir beaucoup de marge de manœuvre pour sauver le mode Stoc. Et pour y arriver, les fédérations représentatives – InfraNum pour les réseaux, la FTT pour les opérateurs – doivent se mettre autour de la table, plaident ainsi plusieurs acteurs de l’écosystème. C’est aussi l’avis de Benoît Loutrel, missionné par le secrétariat d’État au Numérique pour étudier la « sécurisation des déploiements et des conditions d’exploitations des réseaux FttH ». Sa tâche consistera à réexaminer le programme France THD. Le rapport qu’il rendra d’ici un an n’aura « pas vocation à mettre la pression sur tel ou tel acteur, plutôt à problématiser et trouver une méthode », prévient l’intéressé. Il proposera des pistes pour « transférer les retours d’apprentissage » entre territoires, pour « organiser le jeu entre puissance publique et industriels », et enfin « anticiper la résilience des réseaux ».

 

Sur ce dernier point, si l’enfouissement est un choix de bon sens aux Antilles, il n’est pas moins pertinent en métropole. Les risques climatiques pèsent aussi sur un déploiement aérien tout sauf marginal, fait valoir la Banque des Territoires. Dans le cadre de son plan de relance, elle prévoit ainsi d’allouer des moyens supplémentaires pour accompagner les collectivités dans leurs projets d’enfouissement, ou de sécurisation des accès aux sites majeurs des réseaux. À cette fin, un appel à projets sera lancé dès 2021.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Un nouveau contrat entre la Région, les 4 départements auvergnats et Orange, signé il y a 10 mois, prévoit une couverture haut débit de l’ensemble de l’Auvergne d’ici fin 2020. Tout laisse penser que cet objectif sera atteint tout comme celui de rendre éligible à la fibre 91 % de la population auvergnate d’ici fin 2022.

 

Afin de financer l’équipement des zones rurales, la Région Auvergne et les 4 départements avaient créé un Réseau d’Initiative Public (RIP). L’an passé, Laurent Wauquiez a renégocié la phase 3 du RIP, obtenant que l’opérateur national fasse « mieux (800 communes au lieu de 400), plus vite (2022 au lieu de 2025) et pour moins cher (137 millions économisés) ».

 

Un comité de suivi a ensuite été créé pour s’assurer qu’Orange respecte son engagement. Il s’est réuni le 7 février dernier pour la deuxième fois. Jérôme Barré, responsable des marchés de gros chez Orange, a ainsi déclaré sans détour « En 2019, on a fait le grand chelem ».

En chiffres : 50 % de prises raccordées supplémentaires en 2019 par rapport en 2018, 166 000 clients déjà raccordables, 48 000 clients raccordés, soit un taux de pénétration de 28 %.

 

Depuis juillet 2019, les foyers raccordés ont le choix avec un autre opérateur, Free. Jérôme Barré a également annoncé que l’ensemble de l’offre (avec SFR et Bouygues) sera accessible en 2021. Et ce sera une première pour un RIP.

Du côté des entreprises, Orange s’engage à « mettre de la fibre partout ». Une offre à 250 € leur est proposée, alors que les précédents tarifs étaient prohibitifs, a rappelé Laurent Wauquiez.

 

 

 

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Source : La Montagne

 

 

 

 

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom débarque en zone AMII

L’opérateur a lancé la commercialisation de ses abonnements Très Haut Débit, jusqu’à 1 Gb/s, dans de nombreuses villes. Pour ce faire, il s’est appuyé sur le réseau FttH que déploie SFR. Il s’agit de zones AMII, zones moyennement denses, où l’opérateur au carré rouge est seul à la manœuvre. Il y installe un réseau de fibre optique mutualisé, que les autres FAI pourront par la suite utiliser.

 

Plus de 50 villes dans une quinzaine de départements sont concernées au total par l’arrivée des offres de Bouygues Telecom. L’opérateur emboîte ainsi le pas à Free, qui a commencé à investir ces territoires depuis déjà plusieurs mois.

Absent jusqu’ici, Bouygues Telecom semble avoir lancé depuis fin septembre un vaste effort de commercialisation. Notamment en périphérie de grandes métropoles comme Calais, Cannes, Marignane, Nantes, Toulon, Toulouse et Orléans ainsi que dans plusieurs grandes communes d'Ile-de-France.

 

Dans ces régions, la concurrence va donc être quelque peu aiguisée puisqu’au début de l’année seules les offres de SFR, RED, Orange et Sosh étaient disponibles. Depuis quelques mois déjà Free monte en puissance, il n’est donc pas surprenant de voir Bouygues Telecom venir compléter le tableau. Cela afin de ne pas se laisser distancer sur ces territoires comptant des centaines de milliers de clients potentiels.

 

Parallèlement, Bouygues Telecom cravache pour reprendre du terrain dans les grandes métropoles. Début 2019, ses offres Internet très haut débit étaient encore absentes de nombreuses grandes villes situées en zone dite très dense (ZTD). Mais la situation s’améliore progressivement avec une arrivée de sa fibre à Cannes, Clermont-Ferrand, Grenoble, Poitiers, Rennes, Rouen, Saint-Etienne, Toulon ou encore certaines communes franciliennes comme très récemment Fontenay-sous-Bois.

 

 

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Source : Ariase

 

 

 

 

Inscrivez-vous à yALPA 002 !

Le mardi, 25 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Inscrivez-vous à yALPA 002 !

Après un 1er rassemblement le 29 janvier dernier, le deuxième est donc planifié au 2 juillet prochain à Challes-les-Eaux.

 
Thèmatique : Le THD dans les Alpes

Départements concernés : 38 ; 73 ; 74 et 01 (Jura Sud) avec un focus sur les zones touristiques (stations de ski, hôtels).

 
Constat :

Les besoins en haut débit explosent avec l'avènement des réseaux « Over The Top » (OTT ) et la forte croissance de services comme Amazon Prime Video, Netflix, OCS, MyCanal...

Les premières observations entre les vacances de Noël 2017 et 2018 font état d’une augmentation de +60 % des débits consommés dans les hôtels et résidences hôtelières. Pour ces établissements, des connexions en Mbs ne suffiront bientôt plus et commencent à arriver des demandes en 1, 2, 3, voire 4 Gbs.

 
Travailler en synergie :

Dès à présent, il convient pour les opérateurs Télécom et Internet de s'organiser pour pouvoir répondre efficacement à ce besoin hier émergeant et aujourd’hui bien présent.

C’est là l'objectif de yALPA ! Il faut encourager les acteurs du déploiement Très Haut Débit à se rencontrer, mieux se connaître afin d’envisager de futures collaborations plutôt que de planifier, chacun de son côté, des investissements aux mêmes endroits.

Les DSP locales (38, 73 et 74) font une partie du travail, mais le simple fait de changer de département s'avère compliqué. Gageons qu’en échangeant de manière informelle, une intelligence collective permettra d’accélérer l'arrivée d’offres vraiment Très Haut Débit dans les Alpes (stations mais aussi vallées et plaines).

Il est entendu que les résultats de ces premières discussions yALPA ne pourront avoir d’effet immédiat. Ceci étant, à plus ou moins brève échéance, les problèmes rencontrés actuellement en termes de THD dans les zones touristiques pourront être résolus.

 
Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :
  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • présentation Transalpinet (étude faite par Rezopole)
  • piste d'amélioration :
    • outil de carto commun... On commence où on attend encore 10 ans ?
    • nouvelles offres de backbone des opérateurs exogènes
    • les territoires sans PoP
 
Inscriptions :

Auprès de Samuel Triolet (directeur de Rezopole) : striolet (de chez) rezopole.net

 
Informations pratiques :

Rendez-vous le 02 juillet à 09h00 au Hub des Alpes (salle Altitude 193) - 37 avenue des Massettes, 73190 Challes-les-Eaux.

 

 

 

 

THD radio : les industriels réclament plus de temps

Le mercredi, 13 mars 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

THD radio : les industriels réclament plus de temps

L’Arcep a ouvert un guichet pour permettre aux collectivités d’obtenir des fréquences THD radio et ainsi déployer cette technologie sur leurs territoires. L’enjeu étant de pouvoir proposer du très haut débit (minimum 30 Mb/s) aux foyers les moins bien desservis en ADSL et promis à une arrivée tardive de la fibre optique. Quelques 2,2 millions de foyers en 2022 seraient concernés selon InfraNum.

 

Mais voilà, seulement une poignée de collectivités ont obtenu ou demandé des fréquences dédiées. En effet, la Fédération fait état d’un « déploiement du THD radio […] à l’étude ou confirmé pour près de 40 départements » et note qu’à ce jour une « douzaine de départements » n’ont entamé aucune démarche.

 

C’est pourquoi InfraNum tire la sonnette d’alarme et demande à l’Arcep de prolonger l’ouverture du guichet THD radio d’un an. L’objectif étant d’avoir plus de temps pour convaincre ces collectivités d’opter pour une solution hertzienne. Si d’autres solutions existent, comme la 4G fixe des grands opérateurs nationaux, la Fédération prévient qu’elle « ne supportera pas, en plus, les usages domestiques ou professionnels spécifiques ». Et la perspective d’une desserte fixe 5G n’est pas plus à envisager « attendre son arrivée pour répondre à un besoin immédiat de très haut débit fixe en zone rurale est un leurre » alerte Etienne Dugas, président d’InfraNum…

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Nouvel événement : yALPA !

Le jeudi, 24 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Nouvel événement : yALPA !
Thèmatique : Le THD dans les Alpes

Départements concernés : 38 ; 73 ; 74 et 01 (Jura Sud) avec un focus sur les zones touristiques (stations de ski, hôtels).


Constat :

Les besoins en haut débit explosent avec l'avènement des réseaux « Over The Top » (OTT ) et la forte croissance de services comme Amazon Prime Video, Netflix, OCS, MyCanal...

Les premières observations entre les vacances de Noël 2017 et 2018 font état d’une augmentation de +60 % des débits consommés dans les hôtels et résidences hôtelières. Pour ces établissements, des connexions en Mbs ne suffiront bientôt plus et commencent à arriver des demandes en 1, 2, 3, voire 4 Gbs.

 

Travailler en synergie :

Dès à présent, il convient pour les opérateurs Télécom et Internet de s'organiser pour pouvoir répondre efficacement à ce besoin hier émergeant et aujourd’hui bien présent.

C’est là l'objectif de yALPA ! Il faut encourager les acteurs du déploiement Très Haut Débit à se rencontrer, mieux se connaître afin d’envisager de futures collaborations plutôt que de planifier, chacun de son côté, des investissements aux mêmes endroits.

Les DSP locales (38, 73 et 74) font une partie du travail, mais le simple fait de changer de département s'avère compliqué. Gageons qu’en échangeant de manière informelle, une intelligence collective permettra d’accélérer l'arrivée d’offres vraiment Très Haut Débit dans les Alpes (stations mais aussi vallées et plaines).

Il est entendu que les résultats de ces premières discussions yALPA ne pourront avoir d’effet immédiat. Ceci étant, à plus ou moins brève échéance, les problèmes rencontrés actuellement en termes de THD dans les zones touristiques pourront être résolus.


Inscriptions :

Auprès de Samuel Triolet (directeur de Rezopole) : striolet (de chez) rezopole.net



Agenda :

29/01/19 : épisode 001 à 09h00 au Conseil départemental de l'Isère - 7 rue Fantin Latour, CS 41096, 38022 Grenoble cedex 1.

Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :

  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • brainstorming : idées proposées et debriefées
  • atelier carto : "bring your kmz !!!" / "bring your own shape !!!"
  • premières conclusions et ébauche d'un plan d'action ; liste des demandes à faire à la Région, aux DSP le cas échéant, engagements de coopération entre opérateurs présents...

 

02/07/19 : épisode 002 à 09h00 au Hub des Alpes (salle Altitude 193) - 37 avenue des Massettes, 73190 Challes-les-Eaux.

Programme de la matinale (09h00 - 12h00) :

  • accueil, café, viennoiseries
  • tour de table : présentation de chaque participant
  • présentation Transalpinet (étude faite par Rezopole)
  • piste d'amélioration :
    • outil de carto commun... On commence où on attend encore 10 ans ?
    • nouvelles offres de backbone des opérateurs exogènes
    • les territoires sans PoP

 

 

 

 

 

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