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Articles taggés avec : numérique

RezoGirls #15

Le jeudi, 18 novembre 2021. Posté dans News Rezopole

RezoGirls #15

France-IX Lyon, en partenariat avec Wild Code School, vous convie le mardi 07 décembre à 18h30 à la 15ᵉ rencontre RezoGirls. Le thème de cette édition : « Inclusion numérique : le nouveau défi sociétal à relever ».

 

Savoir utiliser les ressources numériques courantes (Internet, traitement de texte…) est devenu presque aussi indispensable que savoir lire, écrire et compter. Ne pas avoir accès à Internet ou ne pas savoir utiliser les outils numériques représente donc un réel handicap.

 

Aujourd'hui, l’illectronisme concerne 17 % de la population française même si 77 % possèdent un smartphone et 76 % un ordinateur. Les facteurs d’inégalités sont multiples. Des fractures importantes persistent entre les habitants de notre pays, en fonction des territoires, des niveaux de qualification et de revenus, de l’âge bien sûr, ou encore de situation personnelle.

 

Les conséquences de l’exclusion numérique sont à la fois personnelles et professionnelles, avec l’impossibilité d’accéder à ses droits, de trouver un emploi, un logement, ou juste de garder contact avec ses proches... Comment rendre le numérique plus inclusif ? Nos intervenant·e·s débattront sur le sujet en se basant sur leur expérience respective et apporteront une analyse pertinente de ce phénomène.

 

Programme

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenant.e.s
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur
 
 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, nos réseaux sociaux & ceux de notre partenaire.

 

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Afin de vous accueillir dans les meilleures conditions sanitaires, les équipes de France-IX Lyon & Wild Code School se tiennent informée des mesures et préconisations des autorités publiques.

Pour accéder à l'événement, les participants devront donc présenter l'une des trois preuves suivantes constituant le "pass sanitaire" :
    • Certification de vaccination (schéma complet)
    • Test PCR / antigénique de moins de 24h
    • Test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19 datant d'au moins 15 jours et de moins de 6 mois
NB : Les auto-tests ne sont pas acceptés.


 

 

Intervenant.e.s

 

Engagée depuis plusieurs années autour du handicap, de l’inclusion, de la mixité et de la vie professionnelle notamment au sein de La Cuisine Du Web ; Margo Chaillou, UX designer, s’est très vite spécialisée en accessibilité numérique pour répondre aux besoins spécifiques de tous les utilisateurs.

Aujourd’hui elle dirige Improved Impact, la première plateforme d’audit et de recommandations pour l’impact social (accessibilité numérique) et environnemental (éco-conception) des sites internet.

 

 

Tombée dans la marmite de l’engagement lors d’un service civique à Paris, Cassandre Schach a poursuivi cet épanouissement dans la lutte écologique, puis dans la lutte contre les discriminations.

Elle agit depuis 2 ans chez Emmaüs Connect à Lyon, pour faciliter l’inclusion par le numérique des lyonnais·e·s, via la mise en place d’actions d’équipement, de connexion et d’accompagnement sur les compétences numériques, en partenariat avec plus de 120 structures implantées sur la métropole.

 

 

À propos des RezoGirls       

Vous êtes une femme et vous travaillez dans le secteur Réseau & Télécom ou plus largement dans le numérique et vous souhaitez rencontrer d'autres RezoGirls ?

Venez partager votre expérience dans un cadre convivial et décontracté...

 

 
 

 

À propos de Wild Code School  

La Wild Code School est une école européenne qui propose des programmes de formation tout au long de la vie aux métiers Tech à travers une vingtaine de campus, à distance ou au sein d’entreprises. Nos domaines de formation sont principalement le développement web et la data analyse.
Notre pédagogie hybride, basée sur la pratique et la réalisation de projets, associe notre plateforme éducative à un réseau de plus de 50 formateurs dédiés.
Nous sommes convaincus qu’apprendre est en passe de devenir la principale occupation humaine. Nous soutenons cette vision en proposant à nos élèves un environnement d'apprentissage accueillant et bienveillant.
Notre communauté internationale de plus de 4 000 élèves et alumni se rassemble autour des trois valeurs qui nous sont chères : passion, innovation et humanité.

 
 
 
 

RezoGirls is back !

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans Archives Rezopole

RezoGirls is back !

France-IX Lyon, en partenariat avec LDIGITAL, vous convie le mardi 19 octobre à 18h30 à la 14ᵉ rencontre RezoGirls. Une nouvelle table ronde avec pour thématique « Les femmes : garantes du numérique responsable ? ».

 

Le numérique responsable est une démarche d’amélioration continue qui vise à réduire les empreintes écologique, économique et sociale des technologies de l’information et de la communication (TIC). En somme, il s’agit de continuer d’utiliser les technologies pour développer son activité, mais tout en mettant en place des solutions au quotidien pour réduire son impact environnemental.

 

Pour qu’il soit plus responsable, le numérique doit donc réduire son impact sur l’environnement mais pas seulement ! Le numérique responsable implique donc d’examiner l’ensemble des pratiques aussi bien au niveau des usages qu’au niveau sociétal.

 

Comment fait-on pour rendre le numérique responsable plus éthique et inclusif ? Nos trois intervenant·e·s débattront sur le sujet en se basant sur leur expérience respective et apporteront une analyse pertinente de ce phénomène.

 

Programme

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenant.e.s
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur

 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, nos réseaux sociaux & ceux de notre partenaire.

 

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Afin de vous accueillir dans les meilleures conditions sanitaires, les équipes de France-IX Lyon & LDIGITAL se tiennent informée des mesures et préconisations des autorités publiques.

Pour accéder à l'événement, les participants devront donc présenter l'une des trois preuves suivantes constituant le "pass sanitaire" :
    • Certification de vaccination (schéma complet)
    • Test PCR / antigénique de moins de 48h
    • Test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19 datant d'au moins 15 jours et de moins de 6 mois
NB : Les auto-tests ne sont pas acceptés.


 

 

Intervenant.e.s

 

Diplômée de l’Institut Supérieure d’Agriculture de Lille, spécialité environnementaliste, le parcours d’Anne-Sophie Banse est largement tourné vers la protection de l’environnement avec le constat heureux d’une prise de conscience grandissante de tous : entreprises, collectivités, particuliers.

Chef de projets depuis 10 ans à l’ADEME, agence de transition écologique, elle œuvre sur des sujets variés : recyclage, économie circulaire, écologie industrielle, transports… Et dernièrement, le numérique responsable.

 

 

Aurélie Fallourd a passé quatre ans comme pilote QSE pour plusieurs clients au sein de la SADE puis rejoint SERFIM T.I.C. en 2012 en tant que Responsable d’affaires.

Elle est promue Responsable QSE-RSE en 2014 et intègre le Codir de l’entreprise. Après une formation en Management & Leadership, ses missions s’élargissent jusqu’à prendre en charge le Système de Management Intégré de SERFIM T.I.C., et devenir référente pour le groupe SERFIM de la commission sur la responsabilité sociétale des entreprises et la mixité professionnelle.

 

 

Issu de différents horizons, Frédéric Lacrabere s’appuie sur des années d’écologie dans différentes associations et des études en éthique et en développement durable. Il a découvert le monde de l’éco-conception web il y a quelque temps lors d’une formation de développeur web.

Frédéric a intégré Open Cylife en s’occupant de la création des contenus éco-conçus et de recherche sur les impacts du numérique pour les partager avec la communauté. Aujourd’hui, il est formateur dans le numérique responsable.

 

 

 

À propos des RezoGirls       

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À propos de LDIGITAL 

LDIGITAL est une association qui œuvre pour la mixité dans les métiers du numérique. Autrement dit pour la féminisation de ces métiers, où les femmes sont sous-représentées et où elles ont leur place à prendre.
LDIGITAL travaille auprès de jeunes filles pour leur faire découvrir les métiers du numérique et surtout l’opportunité qu’ils représentent pour elles, tant la diversité est intéressante.
LDIGITAL accompagne aussi les femmes qui se réorientent et réinventent leur vie professionnelle. LDIGITAL est à leurs côtés pour les acculturer à la densité des métiers de cette filière, pour leur permettre de rencontrer leurs homologues qui ont une expérience dans ces domaines et pour accéder à leur job de demain, avec une ouverture aux entreprises.
LDIGITAL attache une grande importance à travailler aux côtés des entreprises pour favoriser la mixité au sein de la structure et sa mise en place.
LDIGITAL encourage femmes et jeunes filles à prendre leur place dans cette filière dynamique et les entreprises à les accueillir, pour un monde mixte.
 
 

 

 

 

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Force est de constater que les zones blanches ne se limitent pas aux déserts ruraux. Elles concernent également des zones touristiques très fréquentées l’été par les cyclistes, les randonneurs et les dépités du littoral.

Dans le Luberon, si la fibre optique est bien arrivée à l’Isle sur la Sorgue ou à Maubec, l’ADSL est particulièrement anémique à Gordes, et la 4G presque aux abonnés absents. Les différents acteurs locaux subissent un désinvestissement des principaux opérateurs et des pouvoirs publics. Ces derniers peinent à imposer un service minimum pour des services désormais essentiels à l’heure de la dématérialisation des démarches administratives.

 

Si le numérique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, une fois sorti des agglomérations, c’est la misère digitale avec une France à deux vitesses.

L’ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, indiquait dans un rapport publié le 16 janvier 2020, que « dans les communes de moins de 1 000 habitants, plus d’un tiers des habitants n’ont pas accès à un Internet de qualité, ce qui représente près de 75 % des communes de France et 15 % de la population ». Heureusement des fournisseurs d’accès Internet alternatifs ou des sociétés  d’aménagement numérique viennent en aide aux communes rurales. Ils montent ainsi des réseaux radio artisanaux accessibles aux particuliers comme aux petites entreprises. Des initiatives locales essentielles puisque le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013, et le New Deal Mobile, initié en 2018, peinent à éradiquer la fracture numérique et assurer une égalité d’accès à Internet à tous les Français.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le vendredi, 26 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Numérique plus vert : le gouvernement dévoile ses plans

Le gouvernement vient d’annoncer une “feuille de route numérique et environnement” afin de réduire l’empreinte carbone du numérique en France. Avec plusieurs mesures, ce document est le fruit de la collaboration entre les cabinets de Cédric O, secrétaire d’État au numérique, et Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique. Un fonds d’aide doté d’une enveloppe de 300 millions d’euros est également prévu.

 

Parmi ces mesures, les opérateurs télécoms devront ainsi inciter les clients à rapporter leurs mobiles non utilisés. Le but étant de les injecter dans le circuit du reconditionnement ou les diriger vers celui du recyclage.

Si se tourner vers des appareils facilement réparables (grâce à l’indice de réparatibilité en place depuis le 1er janvier 2021) ou le reconditionné (auprès d’acteurs tels que Back Mark, ReCommerce ou PRS Solution), c’est mieux mais pas l’idéal non plus. Cédric O indique : « Nous avons confié une mission à l’Arcep afin qu’elle se penche sur le modèle des smartphones subventionnés par les opérateurs télécoms. Cela est peut-être un accélérateur du renouvellement des téléphones et donc problématique pour l’environnement. Nous voulons creuser ce sujet et objectiver l’impact de ces pratiques commerciales avant de prendre d’éventuelles décisions sur le sujet ».

Le secrétaire d’État au numérique réfléchit notamment à pousser davantage « la location des smartphones auprès des opérateurs, comme cela se fait dans d’autres pays ».

 

De son côté, le gendarme des télécoms s’est vu demander la création d’un “baromètre environnemental des acteurs du numérique”. Celui-ci se basera sur les données collectées auprès d’acteurs tels que les gestionnaires de centre de données, les fabricants de smartphones et les opérateurs télécoms.

L’Arcep devra également tenir compte de l’aspect environnemental lors de l’attribution des fréquences de la 5G. De ce fait, les critères d’attribution pourraient inclure la consommation énergétique des antennes-relais, au même titre que la couverture du territoire.

 

Sans oublier les géants du Net et plus particulièrement les plates-formes vidéo populaires telles que Neflix. Barbara Pompili explique : « Quel est l’intérêt de diffuser des vidéos en très haute qualité sur des écrans de smartphones de quelques centimètres ? Il faut éviter ces pratiques aberrantes comme, par exemple, la lecture automatique des vidéos, qui entraînent des dépenses d’énergie inutiles ».

 

Le gouvernement devra lui aussi montrer l’exemple en se tournant vers le reconditionné et en soutenant la filière. « L’État doit donner l’exemple. Nous souhaitons que 20 % des commandes publiques de téléphones ou de matériels informatiques concernent des appareils reconditionnés », annonce Barbara Pompili.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre optique : le gouvernement va muscler son jeu

Le vendredi, 28 août 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre optique : le gouvernement va muscler son jeu

Le discours de l’exécutif semble avoir évolué durant l’été sur le dossier de l’aménagement numérique. Le futur plan de relance n’oubliera pas la fibre puisque le dispositif prévoira ainsi des fonds supplémentaires pour accompagner les zones où quelque 3 millions de lignes restent à financer.

Un coup de pouce financier qui s’inscrit dans un projet plus ambitieux, esquissé par Cédric O : aller vers un “service universel” pour la fibre.

 

La première information livrée par le secrétaire d’État en charge de la Transition numérique et des Communications électroniques : le guichet de subventions aux projets publics de déploiement de la fibre va être renfloué.

Le gouvernement refusait jusqu’ici d’aller au-delà de 280 millions d’aides, quand les collectivités comme les industriels calculaient les besoins totaux à 680 millions d’euros. En mai dernier les associations de collectivités dans un courrier adressé à l’exécutif prévenaient déjà qu’« une réévaluation de cette enveloppe devra être étudiée au regard de la situation financière des collectivités, du renchérissement des coûts de déploiement lié aux mesures sanitaires et du nombre de prises à déployer plus élevé qu’attendu ».

Dévoilé la semaine prochaine, le plan de relance permettra d’en savoir plus sur l’effort que le gouvernement est prêt à consentir sur ce point précis.

 

Des fonds supplémentaires pour généraliser la fibre, oui, mais « avec l’ambition d’évoluer vers cette logique que la fibre doit être un service essentiel », a ajouté Cédric O. Le gouvernement paraît s’aligner sur une demande formulée par les collectivités puisque cela permettrait “aux professionnels du secteur de pouvoir en cas de crise” continuer à assurer le déploiement et l’exploitation des réseaux fixes et mobiles. L’opportunité également de lever certains freins au déploiement, comme l’accès aux parties communes pour fibrer les colonnes montantes des immeubles.

 

Si l’idée de faire de la fibre une infrastructure essentielle rencontrait les réserves de l’ancien ministre de la Ville et du Logement – chargé du dossier THD, c’est toutefois ce vers quoi veut tendre l’exécutif aujourd’hui : « nous voulons travailler sur la notion de service universel », a en effet ajouté Cédric O. Un chantier qui pourrait démarrer dès cet automne, à l’occasion de la transposition dans le droit français du Code européen des communications électroniques. « Celui-ci devrait nous permettre d’élargir la notion de service universel à la couverture fibrée du territoire », a ainsi précisé le secrétaire d’État au Numérique.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Participez au RezoGirls #13 !

Le vendredi, 31 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Participez au RezoGirls #13 !

Rezopole, en partenariat avec 1Kubator, vous convie le mardi 29 septembre à 18h30 à la 13ᵉ rencontre RezoGirls. Une nouvelle table ronde avec pour thématique « E-réputation : gare à l’effet boomerang ! ».

Il existe une multitude d’expressions pour nommer l’e-réputation : web-réputation, cyber-réputation, réputation numérique, réputation sur le Web, réputation sur Internet ou réputation en ligne. Mais dans tous les cas, il s’agit de l’image numérique que renvoie Internet d’une personne, physique ou morale ou d’une marque.

L’e-réputation délivre donc des éléments sur une personne ou une marque, sans que celles-ci ne puissent totalement les maîtriser. Warren Buffet avait cette phrase : « Il faut 20 ans pour bâtir une réputation, mais seulement cinq minutes pour l’anéantir ». Cela n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui, dans notre monde ultra-connecté.

 

À l’heure des fake news, revenge porn, harcèlement, etc. comment gérer sa e-réputation ? Nos trois intervenant·e·s débattront sur le sujet en se basant sur leur expérience respective et apporteront des conseils pertinents.

 

Programme

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenant.e.s
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur

 

 

 

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Pour participer aux événements Rezopole, il faut être au minimum membre Silver (gratuit).

 

Intervenant.e.s

 

Designer en freelance orbitant dans les domaines du jeu-vidéo, du web et de la pédagogie, Antoine Gouy croit à la puissance du réseau et des personnes. L’humain est sa priorité. Il utilise les méthodes de l’entreprise libérée pour mener des équipes de projets vers leurs objectifs avec sens et bienveillance. Antoine transmet aussi ces notions dans le programme de projets qu’il anime sur le campus Ynov à Lyon. Son objectif : former des étudiants à l’écoute des autres pour, soyons fous, changer le monde de demain.

 

 

Spécialisée en intelligence économique et experte des réseaux sociaux, Fanny Loubaton accompagne depuis une dizaine d’années les entreprises dans leur communication digitale. De la définition de la stratégie à son déploiement, elle aide les structures, acteurs et collaborateurs à se révéler sur les réseaux sociaux. Elle propose un accompagnement qualitatif et pédagogique autour des réseaux sociaux pour garantir la bonne visibilité du message et la montée en compétences des équipes autour du digital.

 

 

Marie Marcotte est avocat à Lyon. Son activité est centrée sur le droit commercial et de la responsabilité, le droit de la propriété intellectuelle et de l’innovation ainsi que le droit du numérique et du e-commerce.
Au fur et à mesure de son parcours, elle a été amenée à conseiller et à défendre des entreprises de toutes tailles, de la TPE au grand groupe, exerçant dans des secteurs diversifiés tels que le numérique, les télécommunications, la grande distribution, la franchise ou encore l’industrie.

 

 

 

À propos des RezoGirls       

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À propos de 1Kubator 

 

1er réseau d’incubateurs de start-up en France, 1Kubator accompagne, fourni des bureaux et finance les projets innovants et digitaux. En 10 mois, les entrepreneurs passent de l’idée à la mise en marché, et à la 1ʳᵉ levée de fonds.

 
 

               
 

 

 

 Crédit pictogrammes : Santé vecteur créé par freepik - fr.freepik.com

 

 

 

 

Internet en France : l’Arcep publie son 4ᵉ rapport

Le vendredi, 26 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Internet en France : l’Arcep publie son 4ᵉ rapport

Remis au Parlement et présenté le 25 juin lors d’une conférence de presse en ligne, cette nouvelle édition du rapport sur l’état de l’Internet en France expose les évolutions marquantes des différentes composantes des réseaux Internet fixes et mobiles pour 2019.

L’objectif étant de s’assurer, à travers la régulation, qu’Internet continue à se développer comme un bien commun où l’utilisateur est l’arbitre en dernier ressort.

 

Un chapitre entier est consacré, pour la première fois, à la question de l’impact environnemental du numérique. Une première étape vers un “baromètre vert” que l’Arcep souhaite mettre en place pour mettre à disposition du public les données les plus pertinentes sur l’empreinte environnementale des réseaux, des terminaux et des usages.

 

Bien qu’il s’agisse d’un rapport sur 2019, l’Arcep détaille également ses observations et les premiers enseignements tirés de la période de la crise sanitaire et le confinement du printemps 2020 qui ont eu de forts impacts sur les usages des réseaux.

 

D’autres enjeux tels que la qualité de service, l’interconnexion de données, la transition vers IPv6, la neutralité du net, l’ouverture des terminaux ou encore le rôle des plateformes sont également abordés dans ce rapport. 

 

 

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Source : Arcep

 

 

 

 

Syntec Numérique invite aux Grands Travaux de la Tech

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Syntec Numérique invite aux Grands Travaux de la Tech

Pendant la crise du Covid19, le numérique a démontré tout son potentiel en permettant la poursuite de certaines de nos activités quotidiennes mais aussi une meilleure prise en charge des patients.

Pourtant, les entreprises du secteur n’en sont pas moins impactées par la crise : 1 chef d’entreprise sur 2 fait face à des demandes de renégociations tarifaires de la part de ses clients.

Interrogés dans le baromètre Syntec Numérique, 80 % des chefs d’entreprise anticipent une baisse moyenne de leur chiffre d’affaires prévisionnel de presque 20 % sur le deuxième trimestre 2020. Une estimation s’expliquant par la diminution des prévisions de prise de commande d’avril à juin 2020 qui concerne 96 % des répondants.

 

Dans une lettre ouverte signée également par TECH IN France, France Fintech et l’Alliance Industrie du Futur, Syntec Numérique appelle à l’investissement massif des pouvoirs publics dans les technologies et l’industrie du futur (internet industriel, IA, 5G, robotisation…).

Avec pour objectif l’accélération de la numérisation de l’État et des collectivités locales, ces grands travaux de la tech relèvent de la commande publique. La transformation numérique des entreprises, et plus particulièrement dans l’industrie, devra faire l’objet d’un effort massif de soutien à l’investissement productif. Mais aussi miser davantage sur l’éducation et la formation à ces nouvelles méthodes et technologies.

Un plan permettant de mieux digitaliser la santé, les services publics, les administrations, les écoles, les entreprises tout en fournissant des solutions tech aux défis sociétaux et environnementaux.

 

L’enquête menée par Syntec Numérique a été adressée en ligne du 20 mai au 1er juin 2020 avec 166 répondants. Un panel de répondants comprenant tous les métiers et toutes les tailles d’entreprise. La distribution de l’échantillon correspond aux ordres de grandeur du secteur du numérique que représente le syndicat.

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

Transition numérique : développons les DC locaux

Le jeudi, 07 mai 2020. Posté dans Archives Rezopole

Transition numérique : développons les DC locaux

L’École urbaine de Lyon poursuit ses conférences intitulées "Les Mercredis de l’anthropocène". Thème de cette semaine : l’impact du numérique sur l’aménagement du territoire avec Cécile Diguet, urbaniste, directrice du département Urbanisme Aménagement et Territoires de l’Institut Paris Région et Jean-Vincent Bayarri, architecte des Systèmes d’Information à la Métropole de Lyon.

Partenaire, Rue89Lyon publie en podcast ces tribunes. Jean-Vincent Bayarri, a également rédigé le texte ci-dessous.

 

La ville intelligente repose sur des infrastructures numériques importantes, notamment les datacenters. Comment se déploient ces infrastructures sur le territoire ? Quels enjeux sont soulevés par leur intégration spatiale ? Contraintes ou opportunités pour une fabrique écologique de la ville ? Les acteurs du numérique sont-ils les nouveaux protagonistes du projet urbain ?

 

Au départ, le confinement…

Visioconférence, streaming, télétravail, e-commerce, jeu en ligne sont en cette période de confinement encore plus largement consommées qu’à l’accoutumée par les Français.

Dans la presse de nombreux articles explique en quoi la consommation induite sur les seuls “réseaux” peut être problématique, au risque de “ralentir” voir “paralyser” Internet.

 

“Les réseaux”

Avant tout, Internet est un ensemble de machines connectées entre elles c’est-à-dire de multiples routes, gérées par une multitude d’acteurs : opérateurs, structures publiques ou privées, associations, grandes entreprises. Le terme “réseau” est en réalité vague puisqu’il s’agit d’une multitude de réseaux interconnectés entre eux. À la fin de la chaîne, se trouve une infrastructure de serveurs qui doit répondre à la demande élevée observée dans cette période de confinement.

 

S’il est vrai que certains réseaux peuvent parfois être des ressources rares, notamment les réseaux mobiles, la plupart sont bien dimensionnés en France pour véhiculer le trafic.

Alors quand le site web d’une enseigne d’hypermarchés, croulant sous les requêtes de consommateurs confinés, affiche un message demandant de patienter est-ce la faute du “réseau” ? Certainement pas.

Le problème peut venir bien souvent du dernier maillon de la chaîne, le “serveur” portant la ressource et le contenu consommé. Comment savoir à quel moment et où aligner un nombre suffisant de ressources pour répondre à la demande ?

 

Les datacenters

Là est l’importance des datacenters puisqu’ils permettent justement d’affecter rapidement de multiples serveurs à des tâches bien spécifiques.

Et cette capacité s’applique aussi aux datacenters eux-mêmes ! À l’image d’Internet qui est maillé et décentralisé, la stratégie retenue par des sociétés comme Netflix est une très large répartition de datacenters : sur plusieurs continents, dans plusieurs villes, et même au plus près de l’utilisateur, en partie chez les FAI eux-mêmes. Une pratique également courante dans la plupart des entreprises que de répartir ses ressources dans plusieurs datacenters, pour des raisons de sécurité, de redondance et de haute disponibilité.

 

La proximité, un atout technique, économique et stratégique

Certaines villes ont un atout considérable : un GIX (Global Internet eXchange point) c’est-à-dire un point d’échange Internet sur place. À Lyon, il s’agit de LyonIX dont la gestion est assurée par Rezopole. Les entreprises ou administrations qui le souhaitent, peuvent se raccorder en local à ce GIX et échanger via Internet “en local”.

Ainsi à la Métropole de Lyon, une part très significative du trafic Internet est consommée par les services Google (Maps notamment). Google étant présent sur LyonIX, les accès sont non seulement instantanés (très faible latence) mais aussi gratuits. Le reste du trafic Internet est écoulé par les tuyaux (payants) d’un transitaire.

 

Au-delà des coûts purement télécoms, la logique de développement économique est claire : plus il y a d’infrastructures Internet présentes en local, plus les investisseurs sont attirés pour construire des datacenters locaux. Cela rime avec plus d’emplois, plus de valeur créée, et une facilitation de la transition numérique.

L’intérêt est aussi stratégique puisque mettre ses données dans le “cloud”, c’est les placer dans les datacenters de quelqu’un d’autre… Une offre variée et locale de datacenters permet donc de garder les données des entreprises sur le sol national, dans de meilleures conditions de sécurité (RGPD par exemple), ce qui représente une certaine souveraineté numérique.

 

Transition numérique, écologique ?

« Pour sauver la planète, n’imprimez ce message que si nécessaire ». Cette maxime pourrait presque résumer à elle seule l’enjeu de la transition numérique.

La visioconférence, le développement d’applications mobiles de guichet numérique, voilà quelques exemples d’applications très concrètes – permises par la présence de ces infrastructures, de ces réseaux, de ces datacenters dans la Ville – qui facilitent également la transition écologique.

 

Les datacenters travaillent eux-mêmes dessus avec la réduction du facteur d’efficience énergétique ou la réutilisation de la chaleur produite par le chauffage urbain du quartier environnant, voire un fonctionnement à 100 % sur des énergies renouvelables.

La révolution numérique a donné aux datacenters une importance désormais multiple (économique, sociale, écologique) dans la ville au même titre que d’autres structures essentielles. Un maillon central de l’aménagement du territoire et des transitions numérique et écologique, qui bien loin de s’opposer, sont parfaitement complémentaires.

 

 

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Source : Rue89Lyon

 

 

 

 

La Région AuRA s'engage pour plus de mixité dans l'IT

Le vendredi, 13 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Région AuRA s'engage pour plus de mixité dans l'IT

Malgré des offres d’emploi IT en constante progression, la population féminine est sous-représentée dans ce secteur. L’enquête Gender Scan présentée, en novembre dernier, confirmait même un recul du taux de féminisation dans le Numérique tant au niveau des diplômes obtenus que sur leur accès à l’emploi.

 

La Région Auvergne-Rhône-Alpes a donc lancé un appel à projets “Actions et formations” afin d’augmenter la proportion des femmes dans l’IT.

Ce dispositif vise à soutenir, par des subventions de fonctionnement, des plans d’actions pour encourager la mixité dans le numérique en Auvergne-Rhône-Alpes. Les dossiers de candidatures devront être déposés avant le 15 mars prochain dans l’une des catégories suivantes : la sensibilisation, la formation professionnelle et l’accompagnement vers l’emploi.

 

La Région retiendra et soutiendra financièrement 3 dossiers – le meilleur dossier dans chacune des trois catégories – pour une enveloppe totale de 40 000 euros.

Les propositions seront mises en œuvre pendant un an maximum, à compter de la date de signature de la convention attributive de subvention. Le taux d’aide ne pouvant dépasser 50 % du budget total du projet.

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Participez au RezoGirls 12 !

Le vendredi, 15 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Participez au RezoGirls 12 !

Rezopole, en partenariat avec La Cuisine du Web, vous convie le mardi 3 décembre à 18h30 à la 12ᵉ rencontre RezoGirls.

Lors de cette nouvelle table ronde, plusieurs intervenantes échangeront sur le thème « Inégalités dans l’entrepreneuriat : comment, grâce au Numérique, les femmes inversent-elles la tendance ? ». Le débat sera suivi d’un cocktail dînatoire.

 

En dépit d’écarts persistants, certains chiffres illustrent une évolution positive de l’entrepreneuriat féminin en France. Les entreprises dirigées aujourd’hui par des femmes emploient en moyenne 13 personnes de moins que celles dirigées par les hommes, contre 64 personnes de moins entre 2012 et 2014. De même, les disparités entre femmes et hommes entrepreneurs ont tendance à se réduire sur le terrain de la création de richesse.

Cette évolution positive est-elle portée par la révolution Numérique ? Nos quatre intervenantes débattront sur le sujet en se basant sur leur expérience respective et apporteront une analyse pertinente de ce phénomène.

 

ProgrammeLes Toques Blanches Lyonnaises

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenantes
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur

 

 

 

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Intervenantes

Diplômée de Skema Business School en 1993, Beryl Bès créée en 2009 BB-A Conseil, cabinet de courtage en assurance et en crédit. Convaincue du potentiel du crowdfunding comme soutien au développement des entreprises, elle créée MyAnnona en 2014. Cette plateforme propose aux femmes qui entreprennent un accompagnement financier online et présentiel. Co-auteure d'un livre sur le crowdfunding et l’entreprise aux Editions Eyrolles, Beryl est également intervenante chez Force Femmes et 100 000 entrepreneurs et, depuis janvier 2019, Déléguée Générale de la Fondation LDigital.

 

 

Passionnée de nouvelles technologies depuis son plus jeune âge, Alisson Foucault a toujours voulu rendre l’innovation technologique utile. Son intérêt pour les thématiques liées au High Tech l’a conduit à suivre des études d’informatique et à organiser des événements destinés au grand public.

La découverte de la réalité virtuelle est un coup de foudre : ainsi Alisson créé UniVR Studio en 2014 ! Très vite, les clients s’enchaînent, et poussent l’entreprise sur un chemin qui deviendra l’ADN d’UniVR Studio : l’utilisation de la réalité virtuelle pour la formation professionnelle.

 

 

Professionnelle de la communication et de l’organisation d’événements depuis 12 ans, Tiphaine Frugier est spécialisée dans la communication digitale et la digitalisation des entreprises. Le bénévolat associatif, rencontrer les autres et se nourrir de toutes ces expériences, l’a aidé à découvrir ce qu’elle souhaitait réellement : devenir une entrepreneuse ! Elle intègre Girlz In Web avant tout parce que c’est un réseau bienveillant et l’entraide y est permanente. Quoi de plus normal que de mettre en valeur les femmes qui veulent ou font carrière dans le Numérique et les nouvelles technologies !

 

 

Diplômée de l’EPF de Sceaux et de l’Université de Munich, Jade Le Maître fait partie des 20 % d’ingénieures françaises. La robotique entre dans sa vie en 2010 avec son projet de recherche sur l’Interaction Humain-Robot. Elle se lance par la suite dans l’évènementiel robotique et croise alors Max Vallet, avec qui elle fonde Hease Robotics en 2016. Parallèlement, Jade mentore de jeunes pousses du réseau Lyon French Tech et s’investit dans Lyon-is-Ai. Elle est aussi experte évaluatrice à la Commission Européenne sur les projets collaboratifs liés à la robotique et membre du Club Holnest.

 

 

À propos des RezoGirls       

Vous êtes une femme et vous travaillez dans le secteur Réseau & Télécom ou plus largement dans le numérique et vous souhaitez rencontrer d'autres RezoGirls ?

Venez partager votre expérience dans un cadre convivial et décontracté...

 

 
 

 

À propos de La Cuisine du Web 

 
Association indépendante dont le but est de favoriser l’entrepreneuriat Web et Numérique à Lyon, La Cuisine du Web se définit comme un action-tank pour aider les entreprises et les professionnels en favorisant les rencontres dans une ambiance unique et décalée.
 
 

               
 

 

 

 

Le guichet France THD rouvre ses portes

Le mercredi, 23 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le guichet France THD rouvre ses portes

Le gouvernement a annoncé de nouveaux financements pour les réseaux publics de fibre optique. Depuis deux ans les collectivités et les industriels de la fibre réclament cette réouverture du guichet de subventions aux Réseaux d’Initiatives Publiques. Celle-ci se fera toutefois au compte-gouttes puisque seulement 140 millions d’euros y seront affectés en 2020. Une somme issue des économies réalisées sur les programmes lancés précédemment, à la faveur d’économies d’échelle sur les travaux de déploiement mais aussi de l’appétit croissant des investisseurs privés pour ces projets très rémunérateurs.

 

Des fonds restant toutefois bien loin des besoins estimés pour compléter, ou presque, le déploiement en fibre optique sur quelque 25 départements d’ici 2025. Parmi ceux n’y trouvant pas leur compte, la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies. Jean-Luc Sallabery, en charge du département numérique de la FNCCR, a réagi et pour lui l’enveloppe annoncée par le gouvernement n’est pas « à la hauteur de l’enjeu ». Il y a quelques jours seulement, la Fédération réclamait un abondement du guichet à hauteur d’un milliard d’euros.

Cela devrait couvrir environ 20 % du montant nécessaire aux 3 millions de lignes de fibre optique restant à déployer. Soit relativement peu au regard des 36 millions de locaux français, mais « ce sont les plus compliquées, avec un coût prévisionnel est de 1 500 – 1 600 euros à la prise. Soit un coût total de 4,5 à 5 milliards d’euros », calcule Jean-Luc Sallabery. Il se désole ainsi de la “double peine” infligée aux territoires : des déploiements sur fonds privés en AMEL, dont il doute qu’ils soient réellement achevés, et des financements réduits pour les collectivités ayant choisi de conserver le modèle RIP.

 

L’arithmétique gouvernementale suscite d’autant plus d’interrogations qu’elle ne cadre pas avec la dynamique des projets en cours. Ainsi, si l’Avicca, l’association des collectivités pour le Numérique, à crier “victoire” suite à cette annonce, c’est en réalité pour mieux pointer les efforts qui devront immédiatement être consentis. « Les parlementaires devront impérativement se mobiliser dans le cadre du projet de loi de finances pour permettre à l’ensemble des premières demandes, prêtes à être déposées, d’être accompagnées », souligne-t-elle. Coût estimé : 322 millions d’euros supplémentaires.

Une enveloppe additionnelle que les députés devront débloquer sous peine d’assister à une “foire d’empoigne” entre des territoires qui, pour lancer leurs projets, n’auront pas le loisir d’attendre d’hypothétiques économies prévient Ariel Turpin. L’État compte réaliser ces économies au fur et à mesure en recyclant les crédits non utilisés, afin de rassembler les 4 à 500 millions qu’il estime nécessaires. Cette mécanique doit permettre au gouvernement de rester dans le budget initialement dévolu au guichet France THD soit 3,3 milliards. Mais de son côté l’association des collectivités pour le Numérique continue de le juger sous-évalué pour apporter la fibre optique sur l’ensemble du territoire.

 

En revanche, pour InfraNum ça passe. « J’abonde au discours gouvernemental. Il y a des économies qui sont faites dans les déploiements, et l’enveloppe des 3,3 milliards devrait effectivement suffire pour assurer la totalité des demandes collectivités territoriales » réagit Étienne Dugas, le président de la Fédération des industriels du Très Haut Débit.

La relative modestie des 140 millions d’euros promis dans un premier temps ne l’émeut pas outre-mesure. « Ce n’est pas un problème d’argent. Pour les prises qui restent, il suffit de les lancer en concession et la demande de subventions sera quasi nulle », tranche-t-il.

« Ce qui était important, c’était de rouvrir le guichet pour pouvoir instruire les dossiers », conclut le patron d'InfraNum. Par ailleurs satisfait d’une autre annonce, celle de la signature du contrat stratégique de filière infrastructures du numérique « d’ici à la fin de l’année ».

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Observatoire de l’industrie numérique

Le mardi, 20 novembre 2018. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Observatoire de l’industrie numérique

Réalisée par EY en partenariat avec la région Auvergne-Rhône-Alpes, la 3ème édition de l’Observatoire de l’industrie numérique d’Auvergne-Rhône-Alpes a été devoilée par Digital League le 5 novembre dernier.

 

Représentant près de 65 000 emplois, le numérique est aujourd’hui un pilier central de l’économie régionale. En effet, cette industrie a créée plus de 3 000 emplois entre 2016 et 2017 soit autant que les 4 principaux secteurs industriels phare de la région réunis (chimie-caoutchouc-plastique / métallurgie-travail des métaux / fabrication de machines et équipements / agroalimentaire).

 

Une dynamique qui se confirme au niveau national puisque Auvergne-Rhône-Alpes conforte sa place de deuxième région dans le secteur du numérique avec la création de 8 150 emplois entre 2013 et 2017. Au niveau international, malgré un recul de deux places par rapport à la période 2011 – 2015, Auvergne-Rhône-alpes est 20ème au rang des régions européennes ayant attirées le plus d’investissements étrangers dans le numérique. Elle fait partie des deux seules régions françaises à figurer dans le TOP25.

 

Des chiffres encourageants et des acteurs résolument confiants. En effet, 81 % des entreprises du numérique prévoient une progression du CA pour 2018 avec comme premier levier de croissance le développement des services et des produits actuels. Cependant, la difficulté à recruter les bons profils reste le premier frein pour les acteurs régionaux avec une augmentation de onze points par rapport à 2017.

 

Dans cette 3ème édition de l’Observatoire, les acteurs du numérique partagent également leur point de vue sur ce qui leur semble incontournable pour faire de la transformation numérique un levier de croissance et d’accélération pour toutes les industries. Par exemple, 75 % des entreprises interrogées pense que, bien avant la compréhension des enjeux technologiques et le développement d’une culture numérique, la conduite du changement est ce qui importe le plus.

 

 

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Source : Digital League

 

 

 

 

RDV au 14ème Forum des Interconnectés !

Le lundi, 27 novembre 2017. Posté dans Archives Rezopole

RDV au 14ème Forum des Interconnectés !

À l'occasion du 14ème Forum national annuel des Interconnectés les 6 et 7 décembre prochain, Rezopole aura le plaisir de vous retrouver au Double Mixte LYON (19 Avenue Gaston Berger, 69100 Villeurbanne). Rendez-vous incontournable des collectivités territoriales et du numérique, le Forum réunira plus de 900 participants : élus, dirigeants et responsables de projets des collectivités territoriales autour des enjeux du numérique et de la smart city pour le secteur public.

 

Parmi les Intervenant(e)s 2017 :

 

 

Karine Dognin-Sauze

VP Lyon Métropole,

Présidente des Interconnectés

 

Juliette Jarry

Vice-Présidente de la région

Auvergne - Rhône-Alpes

 

 

Retrouvez l'équipe de Rezopole sur l'espace dédié aux Infrastructures !

 

 Partenaires de l'événement :

 

En savoir plus

Plus d'infos sur : forum.interconnectes.fr

 

 

Lyon French Tech partenaire du 7ème RezoGirls !

Le lundi, 20 novembre 2017. Posté dans Archives Rezopole

Lyon French Tech partenaire du 7ème RezoGirls !

Rezopole, membre du Collectif L Digital, précurseur dans la création d'événements dédiés aux femmes évoluant dans le secteur IT (Internet, Réseaux et Télécom), organise la nouvelle édition de ses rencontres RezoGirls, en partenariat avec Lyon French Tech.

 

 

Celle-ci aura lieu le 5 décembre, dans les locaux de Lyon French Tech, à partir de 18h30.

Lors de la soirée, trois intervenant(e)s échangeront sur le thème :

 

 " Le bien-être au travail à l'ère du numérique "

Programme

  • 18h30-18h45 : Accueil
  • 18h45-19h00 : Présentation des structures organisatrices
  • 19h00-20h30 : Table ronde
  • 20h30-21h45 : Cocktail (Jacques Lafargue traiteur)

 

 

Les Toques Blanches Lyonnaises

 

 

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NB : Inscription obligatoire.
Nombre de places limité.

 

Intervenant(e)s

Créatrice de «Valeur d'être», Élisabeth Moulin a un parcours riche et atypique ; dans la finance, en contrôle de gestion de Société de Service Informatique, puis comme associée d'une start-up d'édition de logiciels. Elle pilote depuis 20 ans la gestion de projets informatiques et occupe des postes de paramétrage, chef de projet en 1ère installation, déploiement et évolution, en France et à l'étranger. Depuis 2 ans, elle accompagne les transitions personnelles et professionnelles de particuliers ; de la connaissance de soi à la reconversion. Le numérique sert de tremplin pour l'autonomisation de ses clients.

 

 

 

 

Issue de la communication et du management commercial, Jessica Rolland fait ses gammes dans le digital auprès de grands groupes et de start-ups. En 2012 elle se lance dans l'entreprenariat comme Formatrice Social Media indépendante avec l’Agence Someday, puis Consultante et Coach en stratégie d’entreprise. Elle accompagne entrepreneurs et dirigeants à créer un équilibre harmonieux entre business, valeurs et vie personnelle. Auteure aux Éditions Kawa, elle publie en 2016 "Objectif Digital Detox", un guide pratique pour les web addicts qui promeut un usage plus conscient et plus raisonné des réseaux sociaux.

 

 

Après avoir travaillé dans différents secteurs professionnels : public, privé, en ESN, dans l'édition, Kevin Delfour s'installe à Lyon pour tenter un nouveau challenge : la construction d'une entreprise libérée. Ingénieur en développement informatique, expert en Java, il passe le cap de la simple prestation et se réalise au sein d’une équipe où les responsabilités sont partagées et les challenges nombreux. Il expérimente, crée, dépasse ses limites et acquiert de solides compétences entrepreneuriales. En 2017, Kevin invente et lance iBubble Camera, le tout premier drone autonome sous-marin.

 

 

 

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