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Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Le vendredi, 08 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Fibre : Pression sur les opérateurs d’infrastructures

Même si le déploiement de la fibre optique bat tous les records, les écueils à franchir pour garantir le très haut débit restent encore nombreux.

 

À commencer par la qualité de service, un sujet qui n’en finit pas de mobiliser les autorités. Les taux d’échec dans les raccordements finaux s’élèvent encore aujourd’hui à environ 17 %, contre 25 % quelques mois auparavant. S’il y a du mieux sur ce front et que les “plats de nouilles” dans les points de mutualisation et les points de branchements optiques ont tendance à diminuer, la situation ne va toutefois pas sans irriter Cédric O.

 

Interrogé, le secrétaire d’État au numérique n’a pas mâché ses mots à l’encontre des opérateurs d’infrastructure, chargés du déploiement de la fibre optique sur le territoire. « Si qualitativement, les choses semblent aller un peu mieux, nous ne sommes pas au bout de l’histoire », a-t-il estimé, avant de pointer à mots couverts la responsabilité d’Orange et XpFibre (ex-SFR FttH) dans ce dossier.

 

Les deux opérateurs n’ont toujours pas ratifié la nouvelle version du contrat de sous-traitance à l’opérateur commercial (STOC) contrairement à leurs concurrents – Altitude, Axione et TDF. Mise en place il y a quelques mois, la V2 de ce cadre contractuel doit remettre de l’ordre dans les relations entre les opérateurs d’immeubles, les opérateurs commerciaux et leurs sous-traitants.

 

Si le retard accumulé par XpFibre et Orange dans la signature du contrat STOC V2 devrait bientôt être résorbé, il reste encore du pain sur la planche aux opérateurs d’infrastructures pour palier aux défauts de raccordement final. Ce problème de la qualité des raccordements finaux ne date pas d’hier. Un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Fibre optique : la France va réussir son pari

Le vendredi, 08 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Fibre optique : la France va réussir son pari

« L’objectif sera tenu : apporter le Très haut débit à 100 % des Français fin 2022, dont 80 % en fibre – probablement plus » a affirmé Cédric O, le secrétaire d’État en charge du numérique.

 

Après une décennie de travaux et plus de 20 milliards d’euros investis, les chiffres lui donnent raison. En effet, deux tiers des foyers français étaient éligibles à la fibre optique au printemps dernier. Avec un rythme actuel de 15 000 nouveaux logements et entreprises voyant arriver la fibre à leur porte chaque jour, la barre des 80 % sera franchie dès le premier semestre 2022.

Pour les Français n’étant pas couverts, une solution alternative offrant des débits supérieurs à 100 Mb/s : le VDSL, câble ou, bientôt, satellite – grâce à la mise en service du très puissant Konnect VHTS d'Eutelsat.

 

Le pari est donc réussi neuf ans après le lancement du “Plan France très haut débit”. D’autant que les objectifs ont été rehaussés : l’estimation du nombre total de foyers en France est passée de 36 millions en 2013 à 41 millions en 2022, sans que la barre des 80 % soit abaissée. Et que les difficultés n’ont pas manqué : pénurie de matière première, de main-d'œuvre, arrêt des chantiers au début de la pandémie…

 

Reste à finir le travail car même dans les grandes villes, environ 10 % des foyers restent privés de fibre optique. Dans les villes moyennes, le compte n’y est pas non plus. Elles étaient censées être intégralement couvertes en fibre fin 2020. Six mois après l’échéance, seuls quatre foyers sur cinq étaient éligibles. Le gouvernement et l'Arcep se renvoient la balle sur une éventuelle sanction, mais un certain agacement est perceptible du côté des autorités. Quant aux campagnes, la fibre s’y déploie à une vitesse folle. Mais elles ne sont pas intégralement couvertes par les projets déjà lancés. Environ 2 millions de foyers sont encore dans les limbes. Ces lignes, les plus compliquées à construire et les moins rentables, nécessiteront de nouvelles subventions.

 

À travers le plan de relance, l’État a déjà mis 150 millions d’euros sur la table. L’industrie estime qu’il faudra au minimum deux à trois fois plus. Une mission d’évaluation devrait être rendue publique en fin d’année. On saura alors combien le prochain exécutif devra investir s’il veut apporter la fibre à 100 % des Français.

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Nouveau câble transatlantique à Bordeaux

L’un des principaux projets de câble transatlantique concernant l’Hexagone vient “d’atterrir” sur une plage à Porge, près de Bordeaux. Un projet initié par Facebook et construit par Alcatel Submarine Networks. Orange, partenaire pour la partie française, était responsable de l’opération. Celle-ci a nécessité un forage horizontal à 20 mètres sous la plage et la dune, afin de limiter l’impact sur l’environnement et notamment la forêt.

Baptisé “Amitié”, ce câble relie le Massachusetts aux États-Unis à Porge en France et Bude en Angleterre. Il mesure 6 800 km et embarque en tout 16 paires de fibre optique. Sa mise en service est prévue début 2022.

 

L’opérateur historique français bénéficiera de deux paires de fibres optiques sur ce câble et sera en charge de l’exploitation et de la maintenance de la “station d’atterrissement”. Orange fournira les liens terrestres au départ de cette station vers Bordeaux, puis Paris et Lyon, et enfin le reste de l’Europe. Il indique aussi que le câble permettra l’implantation de nouveaux data centers dans la région de Bordeaux.

 

Un autre câble transatlantique, “Dunant”, a récemment été mis en service en Vendée par Google. Le trafic entre l’Europe et l’Amérique du Nord doublant en moyenne tous les deux ans, il est nécessaire d’investir dans de nouvelles infrastructures pour absorber cette hausse. À eux deux, “Dunant” et “Amitié”, auront une capacité supérieure à celle de tous les câbles transatlantiques précédents.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Le vendredi, 01 octobre 2021. Posté dans News Rezopole

Patrick Drahi se casse les dents sur Eutelsat

Reuters a indiqué que Patrick Drahi était en discussion avec Eutelsat, opérateur européen de satellites, au sujet d’un éventuel rachat. Un accord qui aurait vu l’un de ses véhicules d’investissement prendre le contrôle direct de l’entreprise coté à Paris. « Une offre pour Eutelsat qui a une valeur de marché de 2,3 milliards d’euros (1,96 milliard de dollars) et est soutenu par l’investisseur public Bpifrance avec une participation de 20 % » d’après Reuters. Celle-ci a été refusée par l’opérateur de satellite car jugée trop basse.

 

L’homme a récemment reçu l’approbation réglementaire pour privatiser le groupe de télécommunications Altice Europe après que ses actionnaires minoritaires aient approuvé son offre de rachat de la société. En juin, il avait pris une participation de 12,1 % dans l’opérateur de télécommunications britannique BT Group en utilisant le véhicule nouvellement créé Altice UK. Selon des sources anonymes, le milliardaire n’avait pas l’intention de fusionner Eutelsat avec ses actifs télécoms et médias et souhaiterait conserver la société française au sein d’une holding distincte.

 

De son côté, Eutelsat, opérateur historique – depuis 1977 – a récemment racheté près de 24 % de son rival britannique OneWeb pour 550 millions de dollars – le plus gros contrat depuis l’entrée en fonction du PDG Rodolphe Belmer en 2016.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Iliad veut racheter UPC Poland

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Iliad veut racheter UPC Poland

L’intégration de l’opérateur polonais Play étant terminée, la société de Xavier Niel lance le rachat du câblo-opérateur UPC Poland. Ce dernier est présenté comme « l’un des principaux fournisseurs d’accès à Internet de Pologne avec 3,7 millions de foyers couverts en Fibre et 1,5 million d’abonnés ».

 

Une transaction estimée à 7,0 milliards de zlotys, ce qui représente 1,53 milliard d’euros. « La transaction sera financée en dette et trésorerie disponible au niveau de Play ». La finalisation est attendue pour le 1er semestre 2022, après approbation des autorités compétentes. UPC Poland sera alors une filiale de Play.

 

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

Le vendredi, 24 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

Altice signe un accord pour l’acquisition de Coriolis

La maison-mère de SFR, Altice France, a annoncé le 20 septembre dernier avoir conclu un accord pour acquérir 100 % de Coriolis Télécom. Une transaction de 415 millions d’euros : un prix d’achat initial de 298 millions d’euros puis un versement différé de 117 millions d’euros. Celle-ci devra être approuvée par les autorités compétentes, et devrait être finalisée durant le premier semestre 2022.

 

Créé il y a plus de 30 ans, Coriolis Télécom est un opérateur indépendant français. Il dispose d’un parc de plus de 500 000 clients et 30 000 entreprises sur le fixe et le mobile dans l’Hexagone.

Ce rachat permettra donc à SFR de profiter de l’expertise, des partenariats et des réseaux de distribution de Coriolis pour compléter ses offres.

 

Le groupe de Patrick Drahi n’en est pas à son coup d’essai dans les rachats. En effet, il a déjà fait l’acquisition de Réglo Mobile en mai dernier. L’opérateur mobile virtuel, qui appartenait à Leclerc, a ainsi permis à Altice de renforcer son parc client de 770 000 abonnés.

Grâce à ces deux acquisitions, le nombre total d’abonnés grand public augmente d’un peu plus de 1,2 million de clients.

 

Le mouvement de concentration dans les télécoms continue. Si SFR signe l’acquisition de deux autres opérateurs virtuels, Bouygues Telecom a également acquis Euro Information Telecom (NRJ Mobile, CIC Mobile, Auchan Telecom…).

 

 

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Source : alloforfait

 

 

 

 

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Le vendredi, 17 septembre 2021. Posté dans News Rezopole

L’Internet des champs et l’Internet des villes

Force est de constater que les zones blanches ne se limitent pas aux déserts ruraux. Elles concernent également des zones touristiques très fréquentées l’été par les cyclistes, les randonneurs et les dépités du littoral.

Dans le Luberon, si la fibre optique est bien arrivée à l’Isle sur la Sorgue ou à Maubec, l’ADSL est particulièrement anémique à Gordes, et la 4G presque aux abonnés absents. Les différents acteurs locaux subissent un désinvestissement des principaux opérateurs et des pouvoirs publics. Ces derniers peinent à imposer un service minimum pour des services désormais essentiels à l’heure de la dématérialisation des démarches administratives.

 

Si le numérique est aujourd’hui sur toutes les lèvres, une fois sorti des agglomérations, c’est la misère digitale avec une France à deux vitesses.

L’ancien défenseur des droits, Jacques Toubon, indiquait dans un rapport publié le 16 janvier 2020, que « dans les communes de moins de 1 000 habitants, plus d’un tiers des habitants n’ont pas accès à un Internet de qualité, ce qui représente près de 75 % des communes de France et 15 % de la population ». Heureusement des fournisseurs d’accès Internet alternatifs ou des sociétés  d’aménagement numérique viennent en aide aux communes rurales. Ils montent ainsi des réseaux radio artisanaux accessibles aux particuliers comme aux petites entreprises. Des initiatives locales essentielles puisque le plan France Très Haut Débit, lancé en 2013, et le New Deal Mobile, initié en 2018, peinent à éradiquer la fracture numérique et assurer une égalité d’accès à Internet à tous les Français.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le vendredi, 23 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le 20 juillet, les opérateurs ont remis leur plan d'attaque pour renforcer la qualité des raccordements au gouvernement. Pour la Fédération française des télécoms (FFT) il n’est pas question de laisser ces dysfonctionnements nuire à l'image de la fibre et entraver son déploiement à court et moyen terme.

Cette opinion est partagée par l'ensemble des acteurs des Télécom. « Une bonne qualité [des raccordements] est essentielle pour assurer l’exploitation des réseaux FttH dans de bonnes conditions, assurer leur pérennité et limiter les surcoûts liés aux travaux de reprise ou de réintervention », rappelle l'Arcep. Même son de cloche du côté des opérateurs, regrettant les dégradations commises contre les infrastructures réseaux, qu'elles soient volontaires ou non, ne nuisent à leur image et celle de la fibre.

 

Les opérateurs d'infrastructures ont déjà souscrit, en mai dernier, à une série d'engagements pour améliorer la qualité des raccordements via une évolution du contrat de sous-traitance (mode STOC) qui régit le marché. C’est au tour des opérateurs commerciaux de prendre le problème à bras-le-corps. Dans ce livre blanc, ces derniers proposent diverses pistes pour en finir avec les "plats de nouilles".

Au-delà de la seule formation de leurs agents de terrain, les opérateurs vantent également la généralisation d'une nouvelle forme d'ingénierie au sein des armoires de mutualisation. Cette nouvelle architecture, baptisé forme en "M",  « rend le brassage plus fluide et intuitif, grâce à un code couleur des cheminements ». Ces derniers militent ainsi pour une généralisation de ce dispositif à l'échelle nationale.

Par ailleurs, et afin de permettre un meilleur audit des raccordements déjà effectués, les opérateurs souhaitent généraliser un nouveau type de compte-rendu photographique, « qui prévoit la prise de photos horodatées avant et après chaque intervention, permettant de contrôler la qualité du travail réalisé par les intervenants et de détecter rapidement l’apparition de malfaçons ». Lancé en début d’année, l'outil souffre pourtant de quelques limites « l’incapacité du contrôleur, qu’il soit humain ou mécanisé à base d’intelligence artificielle, de s’assurer que les positions optiques occupées sont conformes à ce qui est prévu ». Un défaut de taille, alors qu'il est courant que ce dysfonctionnement débouche sur des embouteillages dans les armoires.

Les opérateurs souhaitent également s'appuyer sur une application interopérateurs, baptisée "e-Mutation", ayant pour objet d'aider les techniciens à améliorer leur visibilité sur les routes optiques empruntées dans une armoire donnée. Ils annoncent ainsi le lancement prochain d'un outil informatique interopérateurs permettant de suivre une malfaçon, depuis sa notification jusqu’à sa résolution.
Le dernier point concerne la Base d’Adresses Nationales (dite BAN), cette base de données publique qui a pour but de référencer l'adresse de l'intégralité des locaux sur le territoire français. La base de données, exploitable sous la forme d'une API par les opérateurs, est en effet montrée du doigt pour ses lacunes, notamment en milieu rural. « Il est indispensable que les collectivités se dotent rapidement d’un référentiel d’adresses complet », expliquent les opérateurs, qui se basent sur ces informations dans leurs opérations de raccordement.

 

De quoi mettre un terme à la prolifération des plats de nouilles ? C'est en tous cas ce qu'espèrent les opérateurs. D'autant que le timing est critique pour l'adoption de la fibre, alors que le déploiement du très haut débit continue tous azimuts sur le territoire métropolitain. Les professionnels de la fibre s'attendent à déployer 6,2 millions de prises en 2021. De quoi dépasser les objectifs gouvernementaux en la matière, avec des prévisions de 87 % de logements raccordés à la fibre en 2022, au lieu des 80 % initialement souhaités par les pouvoirs publics.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Le vendredi, 09 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Afin d’accélérer le développement de la 5G, et en particulier dans le monde industriel, l’État vise 1,7 milliard d’euros d’investissements publics et privés jusqu’en 2025. L’exécutif « va mobiliser 480 millions d’euros de financement public pour soutenir des projets prioritaires d’ici 2022, et vise jusqu’à 735 millions de financements publics d’ici 2025 pour mobiliser, par effet de levier, jusqu’à 1,7 milliard d’investissements d’ici 2025 », a indiqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, le 6 juillet dernier lors d’une conférence de presse.

 

Le problème pour le gouvernement aujourd’hui n’est pas de déployer des infrastructures de la 5G mais d’accélérer le développement de cas d’usage de celle-ci. L’État a ainsi déjà sélectionné en septembre 2020, 18 projets qui recevront 83 millions d’euros d’argent public, pour un total d’investissement de 260 millions d’euros.

Trois autres projets ont été annoncés et recevront 10 millions d’argent public : un projet de communication machine à machine (mMTC) porté par la société d’ingénierie et de conseil Médiane Système, une carte d’accélération de réseau de la PME grenobloise Kalray, et une solution de contrôle de la ventilation et du chauffage des bâtiments d’une autre PME grenobloise, Adeunis.

 

Les fonds publics proviendront de France Relance, le plan pour soutenir l’économie après la crise de la Covid-19, et du 4ème programme pour les investissements d’avenir. Le gouvernement estime que cet effort de stimulation des applications de la 5G peut permettre de créer 20 000 nouveaux emplois d’ici 2025, et porter à 15 milliards d’euros le marché de la 5G en France à cette date.

 

 

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Source : FrenchWeb.fr

 

 

 

 

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

Le vendredi, 02 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

À partir de janvier 2022, l’opérateur britannique EE va réintroduire les frais d’itinérance en Europe. Il s’agit du premier opérateur mobile du Royaume-Uni à sauter le pas, alors qu’il avait précédemment déclaré qu’il n’allait pas réintégrer les frais de roaming.

 

Il entend facturer à ses nouveaux clients britanniques des frais supplémentaires pour utiliser leur téléphone portable en Europe. Tous les nouveaux inscrits, ainsi que les utilisateurs souhaitant upgrader leurs offres à partir du 7 juillet 2021, devront payer 2 £ par jour pour utiliser leur forfait dans 47 destinations européennes.

 

La Commission européenne a quant à elle proposé, il y a quelques mois, de prolonger de 10 ans la suppression des frais d’itinérance entre les différents pays de l’UE. Cette mesure, effective depuis juin 2017, devait initialement prendre fin en 2022. Elle concerne les 27 États membres de l’UE, ainsi que l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège, mais pas le Royaume-Uni. En effet, Brexit oblige, il a cessé d’appliquer les règles européennes le 1er janvier.

Selon une enquête Eurobaromètre, la moitié des Européens possédant un téléphone portable se sont rendus dans un autre pays de l’UE au cours des deux dernières années. Au cours de l’été 2019, l’utilisation des services de données en itinérance a été multipliée par 17 par rapport à l’été 2016, celui qui a précédé la suppression des frais d’itinérance.

 

En janvier dernier, EE, O2, Three et Vodafone affirmaient qu’ils n’avaient pas l’intention de réintroduire des frais d’itinérance, même si le Brexit leur donnait la possibilité de le faire. EE justifie à présent que le fait de réintroduire ces frais va permettre de « soutenir les investissements dans notre service clientèle basé au Royaume-Uni, et dans notre réseau britannique de premier plan ». Ces frais supplémentaires ne s’appliqueront pas aux utilisateurs britanniques en République d’Irlande.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

Le vendredi, 25 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

La nouvelle filiale de SNCF Réseau, Terralpha, arrive pour commercialiser la bande passante offerte par les plus de 20 000 km de fibres qui serpentent la France métropolitaine sous les rails des trains. Les fibres, étant tirées de ville en ville, ne souffrent pas des ralentissements causés par les raccords que les opérateurs mettent sur chaque embranchement.

De plus, ce réseau de fibres constitue une alternative nationale au réseau des quatre grands opérateurs. Les 2 000 opérateurs alternatifs vont désormais pouvoir interconnecter un siège à Lille avec sa succursale à Marseille, sans avoir à attendre pendant des semaines une autorisation, sans devoir payer le prix fort qu’impose leur concurrent national. Et, surtout, avec une meilleure latence.

 

Ces plus de 20 000 kilomètres de fibres étaient déjà disponibles à la location. Mais il s’agissait de faire au cas par cas : SNCF Réseau, ne fournissant que des liens 100 Gbit/s, c’est à son client qu’il incombait d’installer un routeur à chaque bout pour faire circuler son trafic. Et à part les grands opérateurs, personne ne savait installer de routeur sur ces fibres.

 

Pour se brancher, Terralpha a choisi de s’associer avec la chaîne de datacenters en colocation Telehouse. « Notre stratégie est d’être présent sur les places de marché télécoms. C’est-à-dire dans les salles réservées aux interconnexions des opérateurs dans les datacenters. Les plus importantes se trouvent sur le campus TH2 de Telehouse à Paris, qui réunit 300 opérateurs télécoms », argumente Gabriel Chenevoy, le PDG de Terralpha.

D’autant que TH2 dispose d’un système informatique de pointe qui surveille une à une les 50 000 fibres qui circulent dans ses salles opérateurs. La courbure et le trajet de chaque fibre seraient consciencieusement étudiés.

 

Mise à part Orange et SFR, Bouygues Telecom et Iliad commencent eux aussi à revendre de la bande passante sur leurs réseaux nationaux aux opérateurs alternatifs. Kosc était jusque-là le seul opérateur d’infrastructures indépendant par lequel les prestataires locaux pouvaient passer, pour offrir une connectivité nationale à leurs clients. C’est donc plutôt lui que concurrence aujourd’hui Terralpha. Après des déboires financiers, Kosc a finalement été racheté il y a un an par Altitude Infrastructure, un ex-opérateur alternatif qui a recentré son activité sur la pose de fibres.

Si Altitude Infrastructure jouit d’une bonne image auprès des collectivités locales, son défi reste de relier entre eux des segments de fibres éparpillés sur le territoire. C’est sur ce point où Terralpha prétend avoir une longueur d’avance.

 

 

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Source : Le Mag IT

 

 

 

 

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

Le vendredi, 18 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

De nombreux territoires n’ont toujours pas accès à une connexion Internet rapide et efficace en Auvergne-Rhône-Alpes et autre part en France. C’est pourquoi, l’État et l’Arcep ont développé leNew deal mobile afin de répondre à ce problème, en uniformisant la couverture de l’Internet mobile au niveau national.

 

Si l’État est à l’initiative de ce projet, ce sont les opérateurs mobiles qui le gère directement. Free, Bouygues Telecom, Orange et SFR sont donc chargés de l’investissement pour la conception de ces nouveaux réseaux. Même si, malgré l’absence de subventions, l’État pilote en réalité ce projet audacieux et partage ses objectifs aux opérateurs qui doivent s’y aligner.

 

Selon les services de l’État, en collaboration avec les collectivités territoriales, 509 zones seraient jugées prioritaires en région Auvergne-Rhône-Alpes. 64 nouveaux sites supplémentaires doivent être équipés dans la région Auvergne-Rhône-Alpes suite à la publication du dernier arrêté du 9 avril dernier.

 

Cependant, en raison des nombreuses zones montagneuses de la région, installer les équipements nécessaires à la bonne propagation du réseau est beaucoup plus difficile. Cela explique pourquoi la région connaît autant de zones qui n’ont pas accès à une bonne connexion Internet et pourquoi elle doit porter une attention particulière.

Toutefois, la crise sanitaire rend ce projet beaucoup plus difficile à mettre en place et de nombreux retards sont à souligner.

 

 

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Source : ECOMNEWS

 

 

 

 

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Selon les derniers chiffres publiés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), la France compte aujourd’hui 25 105 sites 5G autorisés, dont 14 284 déclarés techniquement opérationnels par les opérateurs.

 

En hausse de 3,7 % sur un mois, la progression du nombre de sites 5G doit beaucoup à l’héritage des réseaux passés – et surtout de la 4G. L’ANFR rappelle en effet que « la quasi-totalité de ces implantations 5G a été autorisée sur des sites existants, déjà utilisés par les technologies 2G, 3G ou 4G » et que seuls deux sites mobiles en France n’hébergent que de la 5G.

 

Selon les déclarations des opérateurs, 56,9 % des 25 105 sites 5G autorisés à la fin du mois de mai sont techniquement opérationnels. Les grandes tendances du déploiement effectué en ordre dispersé par les opérateurs jusqu’à maintenant se dessinent alors.

Free confirme son attrait pour la bande des 700 MHz à des fins de couverture accélérée du territoire.16 683 sites 5G sont comptabilisés dans cette bande de fréquence, dont 9 584 sont déclarés techniquement opérationnels.

Tactique similaire chez Bouygues Telecom, Orange et SFR. Les trois opérateurs s’appuient sur la bande des 2,1 GHz, déjà exploitée pour la 4G. Fin mai, ils disposaient ainsi de 8 376 sites 5G autorisés sur cette bande, pour 3 973 déclarés techniquement opérationnels.

 

Les opérateurs n’en oublient pas pour autant la “bande reine” de la 5G, celle des 3,5 GHz puisqu’ils semblent bien décidés à passer la seconde sur cette bande spécifique à la 5G.

L’ANFR décompte ainsi 8 550 sites 5G autorisés sur cette bande fin mai, dont 3 973 sont déclarés techniquement opérationnels. De bon augure pour la suite du déploiement de la nouvelle génération de technologie mobile.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Nouvelle structure indépendante bénéficiant de ses infrastructures en propre et de la décennie d’expérience de Nerim, Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est spécialisée dans l’hébergement et le Cloud computing.

« Depuis deux ans, des dizaines de collaborateurs ont conçu de nouvelles infrastructures et des offres basées sur les besoins réels de nos clients. Ce que propose Bouygues Telecom Entreprises OnCloud aujourd’hui est unique sur le marché, tant par la qualité du conseil qu’elle apporte que par son agilité technique et commerciale » justifie François Treuil, Directeur de Bouygues Telecom Entreprises.

 

Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est à la fois opérateur, intégrateur et hébergeur et veut s’affirmer comme un ‘pure player’ du cloud. Son ambition est d’être rapidement reconnu comme un Cloud de confiance, selon la nouvelle appellation du gouvernement français dans le cadre de la Stratégie nationale pour le cloud. Toutefois, cette reconnaissance passe par une certification SecNumCloud délivrée par l’ANSSI. Un processus complexe, contraignant et coûteux qui demandera plusieurs mois, voire plusieurs années.

 

Un nouvel acteur qui veut ratisser large en s’adressant aussi bien aux PME et ETI qu’aux collectivités publiques et aux grands groupes. L’opérateur veut à la fois proposer des services cloud IaaS publics mais aussi aider les entreprises à bâtir leurs propres clouds privés.

 

Reste que le terrain est déjà encombré entre les hyperscalers américains (AWS, Azure, GCP, OCI, IBM Cloud…), les petits hébergeurs locaux ou encore OVHcloud et 3DS Outscale, déjà certifiés SecNumCloud. Sans oublier Scaleway et l’encore naissant Bleu (fruit d’une joint venture entre Capgemini et Orange). Et sans compter sur l’initiative Gaia-X qui doit permettre aussi à d’autres opérateurs européens de s’implanter plus fortement en France. La concurrence va être rude…

 

 

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Source : Informatique News

 

 

 

 

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

C’est au tour des professionnels chargés du raccordement de s’engager pour résoudre le problème posé par les défauts d’entretien ou de raccordement à la fibre. Ils se sont en effet engagés, à travers la signature d’une charte de bonnes pratiques, à mettre fin à ce que les pouvoirs publics voient comme un obstacle majeur à l’adoption de la fibre sur le territoire.

 

Une série d’engagements dont celui de se limiter à un seul niveau de sous-traitance, « avec une attention particulière au statut et à la qualification » des sous-traitants employés.

Une gageure alors que la sous-traitance “en cascade” est souvent rendue responsable des défauts dans la qualité des raccordements. Les entreprises signataires de cette charte, représentant 70 % des acteurs du secteur, se sont également engagées à favoriser le recours à l’emploi local et à accompagner la formation de leurs collaborateurs via la mise en place d’actions dédiées à la formation initiale ou à la montée en compétences.

Parmi elles figurent les entreprises Axians, Circet, Constructel, Eiffage, ENGIE Solutions, Firalp, NGE Infranet, SADE Télécom, Groupe Scopelec, SNEF Télécom, Sogetrel, Solutions30 et SPIE CityNetworks.

 

Les opérateurs commerciaux ainsi que les opérateurs d’infrastructures comme Altitude Infra, Axione, Orange, TDF et XpFibre s’étaient déjà engagés début mars sur un nouveau contrat cadre de sous-traitance (également connu sous l’appellation de mode STOC, pour “Sous-Traitance Opérateur Commercial”) afin de mettre un terme à ces abus répétés qui empoisonnent la vie des utilisateurs.

 

Un problème qui ne date malheureusement pas d’hier. En effet, un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

Et de citer trois difficultés principales à résoudre pour mettre fin à la prolifération des “plats de nouilles” : le non-respect répété des règles de brassage au point de mutualisation, les défauts des routes empruntées par la fibre optique pouvant entraîner des embouteillages sur les points de branchement optique ainsi que les actes de vandalisme divers sur les points de mutualisation.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

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