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Aperezo #64 : ouverture des inscriptions

Le vendredi, 26 novembre 2021. Posté dans News Rezopole

Aperezo #64 : ouverture des inscriptions

France-IX Lyon et Terralpha ont le plaisir de vous convier à la 64ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le jeudi 16 décembre à l'Hôtel Mercure Lyon Centre Château Perrache, à partir de 18h30.

 


 Attention : le nombre de places étant extrêmement limité, l'inscription est OBLIGATOIRE. Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.

* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel


 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site & nos réseaux sociaux.

 

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Afin de vous accueillir dans les meilleures conditions sanitaires, toute l'équipe de France-IX Lyon se tient informée des mesures et préconisations des autorités publiques.

Pour accéder à l'événement, les participants devront donc présenter l'une des trois preuves suivantes constituant le "pass sanitaire" :
    • Certification de vaccination (schéma complet)
    • Test PCR / antigénique de moins de 24h
    • Test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19 datant d'au moins 15 jours et de moins de 6 mois
NB : Les auto-tests ne sont pas acceptés.


 

À propos du sponsor

 

"Terralpha, filiale de SNCF Réseau, opère un réseau de fibres optiques couvrant plus de 20000 km et 3000 gares en France le long des voies ferrées. Notre réseau Express, opérationnel dès janvier 2022 à Lyon, couvre les principales villes de France et réduit les latences de 20% à 40% par rapport aux meilleures latences actuelles. Notre réseau Omnibus apportera le Ultra Haut Débit dans les territoires, dans plus de 100 villes dès 2022. Nos équipements européens installés sur nos fibres souveraines proposent le premier service de transport numérique de confiance Européen."

 

Informations pratiques
  • Adresse : 12 cours de Verdun Rambaud - Esplanade de la gare 69002 Lyon
  • Plan d'accès
  • Horaire de 18h30 à 22h00

 

 

 

 

L’Aperezo revient !

Le jeudi, 30 septembre 2021. Posté dans Archives Rezopole

L’Aperezo revient !

C'est avec un très grand plaisir que l'équipe de France-IX Lyon, anciennement Rezopole,

vous annonce le retour des traditionnels Aperezo.

 

Nous vous donnons rendez-vous au Hard Rock Café Lyon

le jeudi 14 octobre à partir de 18h30

en présence de Franck Simon, Président de France IX Services.

 


 Attention : le nombre de places étant extrêmement limité, l'inscription est OBLIGATOIRE. Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.

* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel


 

En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site & nos réseaux sociaux.

 

 

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Afin de vous accueillir dans les meilleures conditions sanitaires, toute l'équipe de France-IX Lyon se tient informée des mesures et préconisations des autorités publiques.

Pour accéder à l'événement, les participants devront donc présenter l'une des trois preuves suivantes constituant le "pass sanitaire" :
    • Certification de vaccination (schéma complet)
    • Test PCR / antigénique de moins de 48h
    • Test RT-PCR ou antigénique positif attestant du rétablissement de la Covid-19 datant d'au moins 15 jours et de moins de 6 mois
NB : Les auto-tests ne sont pas acceptés.


 
Informations pratiques
  • Adresse : 1, rue du Président Carnot 69002 Lyon
  • Plan d'accès
  • Horaire de 18h30 à 22h00

 

 

 

 

Altitude Infra s’empare de 25 réseaux fibre

Le vendredi, 30 avril 2021. Posté dans Archives Rezopole

Altitude Infra s’empare de 25 réseaux fibre

Bruxelles avait validé, fin 2020, l’acquisition de Covage par SFR à certaines conditions. En effet, afin d’éviter les problèmes de concurrence, l’opérateur au carré rouge devait céder une partie de ces réseaux. Altitude Infra et Axione avaient alors manifesté leur intérêt et s’étaient positionnés pour acquérir l’ensemble des réseaux concernés.

 

Dans un communiqué commun, Altitude Infra, gérant 19 RIP et revendiquant 1 million de prises déployées, et Xp Fibre, entité née de la fusion entre SFR FTTH et Covage avec 7 millions de prises déployées, annoncent l’entrée en négociations exclusives pour la reprise totale des actifs. La finalisation de la transaction devrait intervenir au cours du second semestre 2021, après validation de la Commission européenne.

 

Les 25 réseaux concernés correspondent à l’activité boucle locale fibre optique de Covage dans les Réseaux d’Initiative Publique. Ce qui représente 95 % de l’activité FttO (Fibre jusqu’au bureau) de l’opérateur. Parmi eux, 15 filiales de Covage actives quasi exclusivement sur le marché de gros des services de capacité sur BLOD (Boucle Locale Optique Dédiée) et 10 filiales de Covage actives marginalement sur le marché de gros des services de capacité sur BLOD et qui déploient par ailleurs sur les réseaux FttH.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

La France s’inquiète pour ses réseaux

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

La France s’inquiète pour ses réseaux

Depuis deux ou trois ans, l’accélération du déploiement de la fibre est franche mais le plus dur reste à faire : raccorder les zones les moins denses du territoire. Malgré les efforts du gouvernement – généralisation de la fibre à l’horizon 2025 en mobilisant près de 300 millions d’euros pour accompagner les derniers projets non encore financés – le compte n’y est pas. La raison : pour desservir l’habitat dispersé ou les entreprises isolées, le coût des raccordements dits longs est très élevé et pour certains, il risque même d’être rédhibitoire.

 

La réponse doit émerger d’ « une négociation avec les différentes collectivités sur le financement de leurs projets, avec des demandes importantes auxquelles, peut-être, on ne pourra pas répondre exactement » explique Cédric O. En effet, le secrétaire d’État souhaite « mettre en adéquation les besoins et les subventions pour atteindre l’objectif de 100 % fibre en 2025. Pour le cahier des charges, on verra après ».

 

Des raccordements non standard, il y en a aussi dans les zones moins denses d’initiative privée. La question de la disponibilité effective de la fibre se pose pour les foyers et entreprises isolés et/ou difficiles à desservir. C’est le cas en zone AMII où l’engagement d’Orange et SFR était de rendre 100 % des locaux raccordables à fin 2020. Dont 8 % sur demande car jugés plus complexes à desservir ou non prioritaires.

Si la crise sanitaire a fait glisser l’échéance de ces engagements, ils seront finalement atteints en 2021 selon Nicolas Guérin, secrétaire général de la Fédération française des Télécoms. Pour l'Arcep, il incombe à l’État de s’en assurer. Pour Sébastien Soriano, président de l’Autorité de régulation, « pas d’inquiétude » sur le respect des délais par SFR. Cependant, il estime qu’il y a « un point d’atterrissage à construire avec Orange ».

Un terrain d’entente pourrait être trouvé sur le lancement d’offres destinées aux locaux raccordables sur demande. Ce qui permettrait à un peu plus d’un million de foyers et entreprises « mis de côté » lors de la programmation initiale du déploiement, de bénéficier d’un raccordement sous six mois à compter de la commande d’un fournisseur d’accès. Nicolas Guérin, également secrétaire général d’Orange explique qu’après avoir fait du déploiement massif, l’opérateur historique est désormais en mesure de « passer à un déploiement plus qualitatif ».

 

Du côté de l'Arcep, où « des procédures sont en cours » pour jauger le respect des règles de complétude par les opérateurs, on attend de voir si ces offres permettent de répondre aux problèmes identifiés. Sébastien Soriano juge en tout cas souhaitable que ces offres de raccordable sur demande arrivent d’abord sur les zones programmées depuis plus de cinq ans – et parfois beaucoup plus – et où 100 % des locaux ne sont pas encore raccordables.

 

La question de la pérennité des réseaux FttH se pose également, concernant notamment le raccordement en mode Stoc. Les fournisseurs d’accès veulent brancher eux-mêmes leurs clients. Si les exploitants de réseaux ne sont pas contre, ils s’inquiètent des échecs de raccordement et des dégradations que ce fonctionnement entraîne. Les deux parties ne désespèrent pas de trouver de nouveaux accords avant la fin de l’année, afin de clarifier les responsabilités de chacun.

Le tout sous l’œil excédé des collectivités propriétaires des réseaux d’initiative publique. S’il n’est pas étonnant d’entendre des élus tonner contre le mode Stoc ; il l’est plus de voir un membre du gouvernement hausser le ton sur ce sujet très opérationnel. « Ce n’est pas possible », a ainsi martelé Cédric O. « Nous sommes en train de gâcher ce que nous sommes en train de réussir » en incitant fortement les intéressés à dénouer le problème :« Soit on sait le régler de manière intelligente entre gens de bonne volonté, soit l’État va devoir prendre des décisions plus compliquées, quitte à causer des désagréments dans le système ».

Les parties prenantes ne semblent donc plus avoir beaucoup de marge de manœuvre pour sauver le mode Stoc. Et pour y arriver, les fédérations représentatives – InfraNum pour les réseaux, la FTT pour les opérateurs – doivent se mettre autour de la table, plaident ainsi plusieurs acteurs de l’écosystème. C’est aussi l’avis de Benoît Loutrel, missionné par le secrétariat d’État au Numérique pour étudier la « sécurisation des déploiements et des conditions d’exploitations des réseaux FttH ». Sa tâche consistera à réexaminer le programme France THD. Le rapport qu’il rendra d’ici un an n’aura « pas vocation à mettre la pression sur tel ou tel acteur, plutôt à problématiser et trouver une méthode », prévient l’intéressé. Il proposera des pistes pour « transférer les retours d’apprentissage » entre territoires, pour « organiser le jeu entre puissance publique et industriels », et enfin « anticiper la résilience des réseaux ».

 

Sur ce dernier point, si l’enfouissement est un choix de bon sens aux Antilles, il n’est pas moins pertinent en métropole. Les risques climatiques pèsent aussi sur un déploiement aérien tout sauf marginal, fait valoir la Banque des Territoires. Dans le cadre de son plan de relance, elle prévoit ainsi d’allouer des moyens supplémentaires pour accompagner les collectivités dans leurs projets d’enfouissement, ou de sécurisation des accès aux sites majeurs des réseaux. À cette fin, un appel à projets sera lancé dès 2021.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Ielo réalise une levée de fonds

Le jeudi, 23 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Ielo réalise une levée de fonds

Spécialisé dans les réseaux fibrés destinés au marché de gros pour les opérateurs entreprises, Ielo a annoncé une levée de fonds lui permettant d’investir 160 millions d’euros sur cinq ans afin de venir se placer en numéro trois de ce marché.

Si le montant de la levée de fonds n’a pas été précisé, celle-ci s’accompagne de l’entrée au capital du groupe d’un nouvel actionnaire : DIF Capital Partners, un fonds d’infrastructures européen.

 

Le président et cofondateur d'Ielo, Arthur Fernandez, précise à l’AFP « Nous allons d’ores et déjà engager 90 millions d’euros dans les deux prochaines années afin de développer notre réseau. Nous sommes aujourd’hui présents dans les 30 métropoles, notre volonté est de nous étendre sur toutes les préfectures d’ici cinq ans ».

L’objectif étant de devenir le troisième acteur du marché de gros à destination des opérateurs pour entreprises, derrière les deux géants que sont Orange et SFR. « Il s’agit d’un marché très fragmenté derrière les deux principaux, avec des acteurs qui ne font pas que du gros. Notre volonté est de répondre à une attente sur ce marché, en mettant en avant notre neutralité et la maîtrise totale de nos infrastructures, avec nos propres outils. On n’ira pas concurrencer nos clients », a ajouté M. Fernandez

 

Avec 90 salariés et un chiffre d’affaires de 13,5 millions d’euros en 2019, l’opérateur s’attend à rester sur une forte dynamique de croissance pour l’exercice en cours malgré la crise provoquée par la pandémie du coronavirus.

 

 

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Source : Le Figaro 

 

 

 

Le R-U exclut Huawei de ses réseaux mobiles

Le vendredi, 17 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le R-U exclut Huawei de ses réseaux mobiles

Le Royaume-Uni confirme son changement de position vis-à-vis de l’équipementier chinois Huawei avec une exclusion totale de ses infrastructures. D’ici la fin de l’année prochaine, les opérateurs ne pourront plus acheter d’équipements Huawei. Ils devront également prendre les mesures nécessaires pour extirper tous les matériels de leurs réseaux, nouveaux comme anciens, avant 2027.

Une décision qui aura sans doute un impact sur le rythme de déploiement de la 5G dans le pays. Un retard estimé à trois ans pour un coût de 2 milliards de livres.

Un changement de cap justifié par la sécurité nationale et la préservation de l’économie, même si de sérieuses tensions sont à prévoir avec la Chine dans les mois à venir.

 

Un porte-parole de Huawei a logiquement évoqué une décision décevante. L’équipementier Télécom assure que les restrictions imposées à son activité par les États-Unis ne sont pas des obstacles insurmontables et appelle le gouvernement britannique à revoir sa position.

 

Le Royaume-Uni, en tant que membre des Five Eyes, est particulièrement sensible aux menaces agitées par les USA et aux pressions remettant en cause ces échanges privilégiés entre pays.

Une réaction face, également, aux récents événements qui ont vu la Chine tenter de reprendre le contrôle de Hong Kong malgré des mois de manifestations.

 

Côté opérateurs, on accuse le coup. Il leur faudra environ cinq ans pour écarter les équipements Huawei de leurs réseaux. 

 

 

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Source : GNT

 

 

 

 

Accès à la 4G pour tous les français d'ici fin 2020 ?

Le vendredi, 03 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Accès à la 4G pour tous les français d'ici fin 2020 ?

Malgré les retards de déploiement occasionnés par la crise sanitaire, le gouvernement assure que les objectifs de couverture du New Deal Mobile seront tenus. C’est en tous cas ce qu’a assuré le ministre de la Cohésion des territoires, Julien de Normandie, lors d’une interview aux Echos.

 

Tous les Français doivent accéder à la 4G avant la fin de l’année 2020, voilà la promesse du gouvernement et l’objectif du New Deal Mobile signé en janvier 2018 avec les opérateurs et l’Arcep.

 

Le dispositif prévoyait notamment le déploiement mutualisé entre opérateurs de nouveaux pylônes, de manière à éliminer les zones blanches. Julien Denormandie a déclaré à ce sujet « Sur les 485 sites du dispositif de couverture ciblée attendus fin juin, 340 sont déjà opérationnels. Des dizaines d’autres sont érigés et n’attendent plus qu’un raccordement électrique. D’ici fin septembre, nous serons revenus à la normale ». 600 nouveaux pylônes doivent être encore mis sur pied avant le 31 décembre.

L’accord prévoyait également de faire basculer les sites 2G et 3G en 4G. 10 000 nouvelles communes seront concernées au dernier trimestre, toujours d’après le ministre de la Cohésion des territoires.

 

 

Cependant, il faudra encore augmenter la capacité de ces réseaux mobiles pour atteindre une vraie qualité de service. C’est pourquoi le dispositif de couverture ciblée va se poursuivre jusqu’en 2025 avec 700 à 800 nouveaux sites chaque année.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

Aperezo #63 : ouverture des inscriptions

Le mercredi, 04 mars 2020. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #63 : ouverture des inscriptions

Adista et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 63ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 18 mars à l'Avenue 45, à partir de 18h30.


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La force d’Adista réside dans sa capacité à associer les savoir-faire d’hébergeur, d’opérateur de télécommunications, de spécialiste de l’informatique d'entreprise. Adista est certifié ISO27001, compte 31 agences et 500 collaborateurs.

Son offre couvre 4 univers : Connectivity, Modern Workplace, IT as a Service, Digital Factory, avec les Services Managés associés :

  • VPN MPLS et SDWAN, technologies fibre, 4G, satellite …
  • Téléphonie IP convergente fixe/mobile, Microsoft Teams/O365
  • Hébergement, infogérance, 5 datacenters en propre et cloud public, cybersécurité
  • Développement Applicatif

 

 

 

 

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

Le mercredi, 08 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

L'AOTA et Rezopole ont le plaisir de vous convier le mercredi 29 janvier à la 62ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous au Hard Rock Café Lyon, à partir de 18h30.


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À propos de notre sponsor

Fondée début 2017 par 22 opérateurs régionaux, l'AOTA (Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs) défend les intérêts et organise la promotion des acteurs alternatifs du marché des télécoms en France. Deuxième structure exclusivement dédiée à la filière des opérateurs télécoms indépendants après la FFT, elle compte aujourd'hui près de 50 opérateurs adhérents, tous propriétaires d'infrastructures (LIR RIPE, collectes, boucles locales, etc), qui pèsent plus de 220 millions d'euros de chiffre d'affaires agrégé et emploient plus de 1500 personnes.

 

 

 

 

Aperezo #61 : ouverture des inscriptions

Le mardi, 26 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #61 : ouverture des inscriptions

Lasotel et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 61ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 11 décembre au Burger & Wine Confluence, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

 

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LASOTEL est un opérateur d'infrastructures réseaux et de services télécoms qui adresse les marchés wholesale et grands comptes privés/publics.

Il déploie et opère son réseau de fibres optiques sur la région AURA depuis 15 ans et propose des Services de Collecte, Accès Internet/Transit, Voix et Hébergement.

En 2019, son backbone évolue en débit, les flux sont séparés et sa capillarité est renforcée avec plus de 25 NROs Orange/SFR déjà dégroupés ce qui permet de proposer plus de collecte FTTO/FTTE/FTTH/4G.

En cette fin d'année, LASOTEL met à disposition de ses partenaires un nouvel outil Web d'éligibilité et une API.

 

 

 

 

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Le jeudi, 31 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Engagé depuis plusieurs années dans le co-financement des réseaux FTTH déployés par Orange, Free contestait plusieurs termes de son contrat avec l’opérateur historique. L’Autorité de régulation avait réglé ce litige en faveur de Free mais Orange en contestait depuis la légalité. La Cour d’appel de Paris a confirmé la décision de l’Arcep dans un arrêté du 26 septembre 2019.

 

Le renouvellement prévu de la durée et des conditions d’accès aux infrastructures d’Orange étaient contestées par Free. L’Arcep a confirmé qu’elles ne permettaient pas de satisfaire les besoins de visibilité et de transparence de Free et a donc imposé à Orange d’accorder un droit d’accès d’une durée définie et d’au moins 40 ans. Dans son arrêté, la Cour d’appel a confirmé que ces conditions ne sont « pas suffisamment précises eu égard au besoin de visibilité de la société Free sur la durée effective de ce droit ».

Par ailleurs l'Arcep a estimé qu’il était justifié et raisonnable pour Free d’obtenir des éléments de visibilité sur la formation des tarifs d’accès aux réseaux FTTH d’Orange en zones moins denses d’initiative privée. Ce que la Cour d’appel a également appuyé en indiquant que ces tarifs étaient « directement lié aux conditions financières de l’offre, dont il tend à garantir le caractère équitable ».

Enfin, l’Autorité de régulation a estimé que l’opérateur historique devra permettre à Free de raccorder les stations de base mobiles en zones moins denses d’initiative privée via les fibres optiques surnuméraires du réseau FTTH déployé par Orange et cofinancé par Free. Un point n’ayant pas fait l’objet d’une contestation d’Orange dans le cadre de son recours.

 

En outre, la Cour d’appel de Paris a estimé que la décision ne portait pas atteinte au secret des affaires et confirmé l’analyse de l’Arcep. Et relevant ainsi que les informations qu’Orange doit fournir à Free en application de la décision « se caractérisent par leur très fort degré d’agrégation, tant géographique que par postes de dépenses ».

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Épuisement des adresses IPv4 : désormais une réalité

Le jeudi, 10 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Épuisement des adresses IPv4 :  désormais une réalité

L’Arcep estimait encore, avant les vacances d’été, que le nombre d’adresses IPv4 publiques disponibles permettrait de tenir jusqu’en mars 2020. Mais depuis, les demandes d’allocation se multiplient et le stock restant fond comme neige au soleil. La date d’épuisement est désormais prévue… le 5 novembre 2019.

 

Passé cette date, le registre européen RIPE basculera dans un mode de strict rationnement. Les organisations souhaitant se fournir devront donc s’inscrire sur liste d’attente. Le cas échéant, ils recevront une petite plage de 256 adresses. Pour ceux détenant déjà des plages d’adresses, ils n’ont quasiment aucune chance de recevoir cette obole. « Nous allons privilégier les acteurs qui n’ont encore jamais bénéficié d’une allocation d’adresses IPv4 », prévient Marco Schmidt, responsable du développement des règles et de la politique interne au RIPE.

 

Ces adresses proviendront essentiellement d’entreprises en faillites. Les acteurs historiques ayant bénéficié d’une large allocation par le passé et n’ayant plus usage de certaines plages, peuvent évidemment les retourner au RIPE. Mais ce cas sera plutôt rare. « Les adresses IPv4 sont devenues des avoirs stratégiques. Presque personne ne voudra s’en séparer », estime Vincentus Grinius, PDG de Heficed.

Le nombre de transferts d’adresses IP ne devrait pas franchement s’envoler à l’avenir pour les mêmes raisons que vues ci-dessus. Cependant, le prix de l’adresse IPv4 pourrait fortement augmenter en même temps que l’offre se raréfie. On trouve actuellement une vingtaine d’offres au niveau global sur le site d’enchères auctions.ipv4.global. Le prix moyen d’achat a plus que doublé, passant de 9 à 21 dollars, en l’espace de trois ans.

 

Cette pénurie inspire d’ores et déjà les esprits fraudeurs qui sont à l’affût pour récupérer des stocks d’adresses IPv4. Ces dernières années, quelques centaines de cas ont déjà atterri sur les bureaux du RIPE.

Le RIPE a donc renforcé ses contrôles pour remédier à cette situation. Plus de 600 enquêtes, soit deux fois plus que l’année précédente, ont été réalisées en 2018. Les membres sont désormais priés de vérifier régulièrement que leurs données sont correctes et à jour.

 

Mais cela ne va toutefois pas résoudre le problème fondamental de la pénurie. Aujourd’hui, aucun acteur Télécom ne peut faire l’impasse sur l’IPv4. Même si l’IPv6 se développe, cette technologie ne connecte qu’environ un quart de la Toile. « L’Internet ne cessera pas de fonctionner, mais il cessera de grandir. Cette pénurie va surtout affecter les nouveaux entrants et les acteurs en croissance, car ce sont eux qui ont le plus besoin de nouvelles adresses IPv4 publiques. Soit ils arrivent à s’en procurer sur le marché secondaire, soit ils devront partager les adresses IPv4 entre plusieurs clients » explique Vivien Guéant, chargé de mission au sein de l’unité « Internet ouvert » de l’Arcep.

 

Une situation loin d’être neutre pour l’utilisateur final puisqu’elle influe sur la qualité de service. Effectivement, lorsqu’un opérateur récupère des adresses IPv4 depuis un acteur localisé dans un autre pays ou un autre continent, il peut arriver que cette information géographique ne soit pas mise à jour.

Le partage d’adresses a également des défauts puisqu’il permet de connecter plusieurs centaines voire milliers de clients sur une seule adresse IPv4. Et cela complexifie sensiblement la maintenance pour l’opérateur et rend difficiles, voire impossibles, certains usages « comme le peer-to-peer, l’accès à distance à des fichiers partagés sur un NAS, l’accès à des systèmes de contrôle de maison connectée, certains jeux en réseau », explique l’Arcep dans son « Suivi de l’épuisement des adresses IPv4 ».

La police pâtit également de ce partage forcé. Les enquêtes auront du mal à aboutir si les adresses sont de plus en plus partagées puisqu’elle s’appuie souvent sur une adresse IP pour trouver un délinquant numérique. Pour pallier cette situation, les forces de police européennes souhaiteraient que les opérateurs et FAI réduisent le nombre de clients partagés par adresse IPv4. En Belgique, par exemple, l’industrie des Télécoms a joué le jeu et l’instauration d’un code de bonne conduite a permis de limiter le ratio d’abonnés à 16/1.

 

La seule solution, à long terme, est la généralisation d’IPv6. « Les acteurs du secteur n’ont jamais vu beaucoup d’intérêt dans l’IPv6, car cette technologie n’avait pas d’effets immédiats : tous les sites Web et clients qui ont de l’IPv6 ont également de l’IPv4. IPv6 n’est utile que si tout le monde s’y met. Il faudra probablement garder l’IPv4 pendant encore longtemps. Certains pensent même que l’IPv4 ne s’arrêtera jamais », ajoute Vivien Guéant. À moins de faire comme la Biélorussie qui vient de déposer un décret présidentiel contraignant ces FAI à déployer l’IPv6 auprès de tous les utilisateurs d’ici le 1er janvier 2020. C’est à ce jour le seul pays à forcer le déploiement de l’IPv6 par une loi.

 

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Destination Isère !

Le vendredi, 27 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX

Destination Isère !

Rezopole vous convie le 16 octobre prochain au 2ᵉ Aperezo de l’année sur le sol isérois.

 

Au programme : présentation de l'actualité de l'Association suivi du traditionnel cocktail dînatoire

articulé pour l'occasion autour des spécialités gastronomiques de la cuisine dauphinoise.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

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Informations utiles

  • Adresse : Le Gratin Dauphinois - 52 avenue Félix Viallet, 38000 Grenoble
  • Plan d'accès
  • Horaire de 18h30 à 22h00

 

 

 

 

Bande passante mondiale : débit total de 446 Tb/s

Le jeudi, 05 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Bande passante mondiale : débit total de 446 Tb/s

Certes la bande passante internationale augmente mais cela masque une évolution en dents de scie au cours de ces dernières années. C’est en tout cas ce qu’a relevé une étude publiée ce mercredi par l’institut de recherche Telegeography

 

En effet, d’après cette analyse, la bande passante de l’Internet mondial n’a augmenté l’an dernier que de 26 %, soit le taux de croissance annuel le plus faible depuis au moins 15 ans. Même si le rythme ralentit, la bande passante internationale a néanmoins presque triplé par rapport à 2015.

 

Un dynamisme attribué, par Telegeography, en grande partie au continent africain. Avec un taux de croissance annuel composé de 45 % entre 2015 et 2019, il s’agit du continent ayant connu l’augmentation la plus rapide. Le continent asiatique n’est pas en reste puisque son volume de bande passante atteint un taux annuel composé de 42 % au cours de la même période.

 

« Depuis que nous avons commencé à suivre la capacité Internet internationale en 1999, le circuit le plus performant a toujours été entre l’Europe, les États-Unis et le Canada. Cette route a été éclipsée par la route Amérique latine-États-Unis et Canada, qui a connu une explosion de la bande passante », d’après l’institut de recherche.

 

Un changement de paradigme dû notamment à une meilleure intégration des pays du bloc américain, « alors que l’Asie et l’Europe ont une plus grande diversité de connectivité ». Les chercheurs relèvent également que les fournisseurs de contenus ont un rôle de plus en plus important puisqu’ils dominent désormais la constitution des dorsales de l’Internet mondial à travers des câbles sous-marin. Ces derniers reliant les différents pays côtiers de l’Atlantique ou du Pacifique. Au vu des derniers projets de câbles sous-marin transcontinentaux, l’évolution décrite par Telegeography ne semble donc pas prête de ralentir.

 

 

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Aperezo #59 : ouverture des inscriptions

Le mercredi, 04 septembre 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Aperezo #59 : ouverture des inscriptions

Euclyde Data Centers et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 59ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 25 septembre chez Oscar aux Puces du Canal de Lyon, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

 

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Euclyde Data Centers est un groupe spécialisé dans le déploiement et l’exploitation de data centers régionaux, neutres, de qualité.

Depuis 2004, Euclyde répond à partir de ses divers sites aux besoins d’entreprises de toutes tailles avec une gamme complète de services dont hébergement d’infrastructures (colocation), services managés, et solutions de continuité d’activité (PRA/PCA).

Tous les sites du groupe Euclyde sont interconnectés entre eux, ainsi qu’à plusieurs opérateurs réseau et hyper clouds.

Euclyde est à ce jour propriétaire de cinq sites en France et s’apprête à en ouvrir deux de plus en 2019 et 2020.

 

 

 

 

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