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Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le vendredi, 12 février 2021. Posté dans Archives Rezopole

Réseaux mobiles : fracture territoriale toujours d’actualité

Le bilan annuel de la qualité d’expérience des services proposés par les opérateurs mobiles en France métropolitaine vient d’être publié par le cabinet spécialisé Qosi. Ce document est destiné à rendre compte de l’expérience des utilisateurs sur les réseaux 2G, 3G et 4G commercialisés par les opérateurs au cours de l’année 2020.

 

Cette étude est basée sur les remontées de terrain de 42 000 contributeurs répartis dans 20 000 communes de France. Et les résultats rendent compte d’une disparité de plus en plus grande des situations, que l’on soit à la campagne ou à la ville. En 2020, 23 % des communes de métropole disposent de réseau 4G de faible qualité, avec une large majorité de débits inférieurs à 10 Mb/s. Pire encore, 3 % des communes sondées ne disposent pas d’un quelconque réseau data exploitable… autant de communes qui se trouvent à 95 % en zone rurale.

 

À noter tout de même que la qualité de service des réseaux mobiles ne cesse de s’améliorer, en ville comme à la campagne. Concernant les débits descendants par exemple, Orange a pris une longueur d’avance sur ses concurrents en 2020, avec le meilleur débit moyen au niveau national. L’opérateur historique est suivi par SFR, puis Bouygues et enfin Free.

Malgré une amélioration généralisée, celle-ci ne suffit toujours pas à creuser le fossé béant qui sépare désormais les connexions des ruraux et des urbains.

Prenons le cas d’Orange. Même en améliorant ses débits descendants de 10 Mb/s dans toutes les zones géographiques, cela reste insuffisant pour résorber l’écart entre la qualité de service observée en milieu rural et en milieu urbain. L’opérateur est ainsi celui avec la plus forte disparité de débits entre les différentes strates de la population.

À l’inverse, Free progresse de manière uniforme sur l’ensemble du territoire ce qui en fait l’opérateur proposant la qualité de service la plus homogène.

 

Même son de cloche pour les débits montants. Orange présente le meilleur débit moyen montant au niveau national. Mais la différence de traitement restera forte selon que les utilisateurs se trouvent en milieu urbain ou rural. Malgré cela, l’opérateur historique s’impose comme celui qui présente les meilleurs débits pour toutes les strates de population. Suit Bouygues Telecom, talonné par SFR puis Free.

 

Cette fracture territoriale se retrouve logiquement dans les résultats de la qualité de service proposée par les opérateurs sur la navigation web. Au niveau national, la proportion de pages affichées en moins de 10 secondes est de 92 % pour Orange, 89 % pour Bouygues Telecom et SFR et de 86 % pour Free. Et là encore, la zone rurale décroche de 5 à 10 points par rapport aux zones urbaines. De quoi pousser les opérateurs à redoubler d’efforts pour espérer enfin combler la fracture numérique en 2021.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Fibre : l’État débloque 570 millions d’euros de plus

Le vendredi, 22 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : l’État débloque 570 millions d’euros de plus

Afin de rendre la fibre disponible d’ici 2025 pour 100 % des locaux en France, l’État a décidé de débloquer 570 millions d’euros supplémentaires.

 

Cette somme va notamment concerner les Réseaux d’Initiatives Publiques (RIP) pour proposer de la fibre partout dans les zones rurales. Une première enveloppe de 420 millions d’euros va concerner 12 RIP dont ceux d’Auvergne et de Bretagne. Rien que l’Auvergne aura le droit à 123 millions d’euros pour créer 267 000 prises fibres, c’est-à-dire raccordements individuels, supplémentaires.

Les 150 millions d’euros restants arriveront un peu plus tard. L’État a indiqué que les détails de cette somme seront partagés au cours de l’été.

 

Il est également question de la couverture mobile. Si à ce jour les trois quarts de la France sont couverts en 4G par Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile, 2 000 pylônes supplémentaires seront installés dans les deux ans à venir. Ils rejoindront ainsi les 580 pylônes déjà existants. Au total, les opérateurs installeront quelque 10 000 pylônes.

 

 

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Source : KultureGeek

 

 

 

 

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

Le vendredi, 08 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

En juillet 2020, Free saisissait l'Arcep en lui réclamant de préciser les conditions d’accès des acteurs du marché au réseau FttH de SFR en zone moins dense d’initiative privée (AMII). La filiale d’Iliad réclamait l’encadrement des tarifs exigés par SFR pour accéder à la partie terminale de son réseau en limitant toute hausse à la seule application de l’indexation prévue par le contrat de mutualisation noué entre les deux opérateurs et en conditionnant toute évolution au-delà de ce barème à la signature d’un avenant « négocié de bonne foi ».

 

Un sujet brûlant car déjà en avril dernier, l'Arcep se disait prête à remettre « les points sur les i » dans le dossier de la hausse des tarifs de raccordement au réseau fibre de SFR dans les zones privées. En effet, l’Autorité avait déjà exigé de la marque au carré rouge l’annulation de la hausse de ses tarifs en vigueur depuis le début d’année 2020 après avoir été saisie par Bouygues Telecom à l’hiver dernier.

 

Free qui exigeait donc la révision des tarifs de cofinancement reclamés par SFR, en zone AMII, afin qu’ils ne dépassent pas 5,12 € par ligne et par mois (ou 513,6 € par ligne pour le tarif non récurrent) pour un cofinancement à hauteur de 20 %.

Une demande acceptée par l'Arcep, qui a demandé à SFR d’ajuster ses tarifs dans les zones AMII mais également dans les zones AMEL. Le gendarme des télécoms justifie cette position en indiquant que la branche d’infrastructure de SFR « n’a pas produit d’éléments spécifiques permettant d’appréhender ses coûts » et estimant que les hausses de tarifs d’accès doivent « être justifiés par des éléments de coûts ».

 

Comme dans le différend opposant Bouygues Telecom à SFR, l'Arcep a enjoint la marque au carré rouge de revenir à ses tarifs de cofinancement pratiqués avant le mois de février 2020. Elle a toutefois la possibilité de les ajuster de manière beaucoup plus modeste par voie d’avenant. Une décision très attendue par certains acteurs du secteur, pour qui il en allait de la survie du principe de mutualisation de la partie terminale des réseaux fibre d’Orange et de SFR, en vigueur depuis 2008.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Le jeudi, 31 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Free restait à la traîne concernant l’activation du support de l’IPv6 sur le mobile mais la donne vient néanmoins de changer. En effet, une nouvelle option est apparue dans l’espace abonné Free Mobile permettant de l’activer.

 

Le passage à IPv6 est un sujet de longue date pour les opérateurs puisque cela fait plusieurs années que la pénurie d’adresse IPv4 se fait sentir. L’utilisation de la nouvelle norme d’adresse IP permet de résoudre le problème ; le nouveau protocole disposant d’un stock quasi illimité d’adresse IP attribuables aux appareils.

 

Début décembre, l’Arcep a mis à jour son baromètre de la transition IPv6 en France. En la matière, Bouygues fait figure de bon élève avec 87 % de clients Android et 98 % de clients iOS activés en IPv6. En second arrivait Orange avec 35 % sur Android et 60 % sur iOS, tandis que sur SFR, seul 0,2 % des clients Android avaient activé IPv6. Free était bon dernier, l’activation IPv6 n’étant tout simplement pas disponible jusque-là pour les clients mobiles du FAI.

 

Si sur le mobile, Free fait figure de mauvais élève, l’opérateur se rattrape en revanche sur les réseaux Internet fixe avec 99 % de ses clients disposant d’une connexion IPv6 activée. On retrouve ensuite Orange avec 75 %, puis Bouygues à 28 % et SFR à 1,6 %.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 progresse doucement en France

Le jeudi, 10 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 progresse doucement en France

Malgré la pénurie d’adresses IPv4, l’Arcep dresse un bilan mitigé de la transition vers le protocole réseau IPv6. Dans son baromètre annuel, le gendarme des Télécom constate les progrès des opérateurs sur le fixe, en particulier Free, et dans une moindre mesure, Orange. Si tous les deux présentent des taux élevés de clients activés en IPv6, SFR paraît à la traîne tandis que Bouygues Telecom doit accélérer ses efforts.

Concernant le mobile, Bouygues Telecom a fourni le plus d’efforts, suivi par Orange. Du côté de SFR, on met les bouchées doubles pour rattraper le retard alors que Free Mobile n’a toujours pas entamé de transition.

 

Cependant c’est le taux d’hébergement mail qui alarme le plus l’Arcep. En effet, seul Google se démarque avec plus de 95 % de noms de domaines en IPv6 pour les serveurs de courriels.

 

Aujourd’hui, la France se situerait au dixième rang du Top 30 mondial en matière de taux d’utilisation d’IPv6. Elle se classerait en cinquième position, derrière la Belgique, l’Allemagne, la Grèce et la Suisse au niveau européen.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

L’Arcep presse Orange d’accélérer la fin de l’ADSL

Le vendredi, 04 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep presse Orange d’accélérer la fin de l’ADSL

Le projet de régulation du marché fixe concocté par l’Arcep, déjà approuvé par l’Autorité de la concurrence, vient également d’être adoubé par Bruxelles. Composé de deux volets, il concerne spécifiquement Orange pour une partie et l’ensemble des acteurs pour l’autre.

 

Un des objectifs principal étant d’inciter Orange à mettre fin le plus rapidement possible au cuivre et donc à l’ADSL afin qu’il ne soit pas tenté de prolonger la “rente” du réseau cuivre. L’opérateur historique n’aura ainsi plus le droit d’ouvrir de nouveaux accès cuivre dans les immeubles où les quatre grands acteurs sont présents en fibre optique. Il devra également raccorder plus facilement à la demande les entreprises et les foyers éloignés de son réseau, de manière à combler les trous dans la raquette de la couverture et augmenter le taux d’adoption du FttH.

Le gendarme des télécoms s’est fixé comme autre objectif de contenir la domination d’Orange sur le marché entreprise. En effet, tous les FAI utilisant sa fibre mutualisée pour proposer des offres commerciales aux particuliers pourront désormais le faire aussi à destination des entreprises.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Le vendredi, 04 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Feu vert pour le rachat de Covage par SFR FTTH

Altice, via sa branche SFR FTTH, entrait en négociations exclusives il y a un an pour racheter 100 % de l’opérateur de gros Covage.

L’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs avait alors rapidement fait part de son inquiétude, car ce rapprochement n’était pas « sans susciter de profondes interrogations sur la préservation d’une intensité concurrentielle déjà fragile sur le marché entreprises et collectivités ».

 

La Commission européenne « a autorisé, en vertu du règlement de l’UE sur les concentrations, le projet d’acquisition de Covage par SFR FTTH, une entreprise contrôlée conjointement par Altice, Allianz et Omers. L’autorisation est subordonnée au respect intégral d’une série d’engagements offerts ».

 

Deux engagements sont pris par SFR FTTH :

  • « La cession à un acquéreur approprié de 25 filiales et d’actifs correspondant à l’activité “boucle locale optique” » de Covage sur le territoire de 30 institutions publiques. Ces filiales et ces actifs se composent de réseaux FttO et représentent au total environ 95 % de l’activité FttO de Covage.
  • « L’offre d’un contrat de services transitoire, portant notamment sur l’accès à tous les actifs et services requis pour exploiter l’activité cédée dans des conditions concurrentielles pendant une durée permettant à SFR FTTH de devenir totalement indépendante ».

 

Pour conclure, la Commission affirme que « les engagements définitifs répondent aux problèmes de concurrence recensés par la Commission en ce qui concerne l’acquisition de Covage par SFR FTTH et ont été considérablement améliorés à la suite des observations fournies par les acteurs du marché. La Commission a donc conclu que l’opération envisagée, telle que modifiée par les engagements, ne posait plus de problème de concurrence ».

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

Le vendredi, 27 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs énervés après un refus des aéroports

S’appuyant sur un rapport américain d’octobre évoquant le cas de la bande des 3,7-3,9 GHz utilisée par la 5G, la Direction Générale de l’Aviation Civile (DGAC) redoute que les premières antennes 5G perturbent les systèmes de guidage à l’intérieur des avions. En effet, cela créerait un “risque majeur” pour les radioaltimètres des avions qui s’appuient également sur ces fréquences. Ce système étant le seul appareil à bord des avions à pouvoir mesurer leur distance par rapport au sol ou à d’autres obstacles. Philippe Barnola, sous-directeur à la DGAC, précise que « Des analyses techniques complémentaires sont en cours pour s’assurer de la compatibilité de ces stations 5G avec les besoins de l’aviation civile ».

Et cela dérange particulièrement les opérateurs qui expliquent avoir été informés du problème une fois les fréquences payées. Désormais, ils redoutent des retards dans le déploiement de la 5G.

Si au départ les opérateurs vont se concentrer sur les centres-ville, ils craignent cependant de ne pas pouvoir couvrir des zones plus ou moins larges autour des aéroports à l’avenir. Et cela pourrait concerner des villes dans certains cas comme celles autour des aéroports de Roissy ou d’Orly.

 

Les opérateurs ont donc décidé d’écrire au secrétaire d’État en charge du Numérique et des Communications électroniques. De son côté, SFR menace de ne pas payer la première tranche qu’il doit à l’État pour des fréquences. Tandis que Bouygues Telecom veut être indemnisé « à proportion de ces nouvelles contraintes ».

Au cabinet du secrétaire d’État, on se veut rassurant « En Allemagne tout se passe bien, il n’y a pas de raison que cela soit différent en France ». Les zones de protection autour des aéroports vont être adaptées pour la 5G, par exemple. Des travaux ont également été lancés au niveau européen.

Il en est de même du côté de l’Agence nationale des fréquences (ANFR). « Au final, il y aura un retard de quelques semaines, voire de quelques mois, sur un nombre limité d’antennes à proximité des aéroports […] Il n’y aura pas de zones d’exclusion durables. Les aéroports français ont la 2G, la 3G et la 4G. Ils auront aussi la 5G ».

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

Nice première ville couverte par la 5G

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Nice première ville couverte par la 5G

C’est au micro de BFM Business que Grégory Rabuel, directeur général de SFR, a annoncé le lancement de la 5G à Nice à partir du 20 novembre au soir. Un peu plus de 50 % de la ville sera couverte par cette nouvelle génération de réseau mobile.

Si Montpellier, Bordeaux, Nantes, Marseille et le Grand Paris seront les prochaines villes couvertes en 5G par l’opérateur d’autres communes demandent un moratoire sur cette technologie.

 

SFR a également dévoilé ses offres commerciales à destination du grand public et des entreprises. De leurs côtés, Orange et Bouygues Telecom ont communiqué leurs offres grand public mais sans pour autant annoncer leur plan de couverture. Tandis que Free a évoqué un lancement dans "les prochaines semaines".

 

Si les opérateurs peuvent jouir de leurs fréquences 5G depuis le 18 novembre dernier, ils restent toutefois soumis à des procédures administratives liées aux autorisations techniques à déposer auprès de l’ANFR et aux demandes d’information des mairies.

Or plusieurs maires écologistes ou de gauche, comme à Lille ou Grenoble, ont déclaré être en faveur d’un moratoire jusqu’à la publication d’un rapport de l’Anses, prévue au printemps 2021.

Dans la capitale, le conseil de Paris a voté la création d’une conférence citoyenne sur la 5G, alors qu’une partie de l’opinion se dit méfiante sur les effets sanitaires et environnementaux des ondes électromagnétiques.

 

Même si la 5G promet d’offrir, à terme, un débit jusqu’à 10 fois plus rapide ; avant tout, les opérateurs comptent sur son lancement pour gérer l’augmentation du trafic et éviter la saturation de leurs réseaux mobiles.

 

 

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Source : Le Parisien

 

 

 

 

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Après dix mois de procédure, l'Arcep a donné raison à Bouygues Telecom au sujet des prix de gros facturés par SFR FTTH aux autres opérateurs nationaux ou régionaux. Ces derniers se greffent sur le réseau de fibre optique de SFR dans les campagnes afin de pouvoir proposer cette technologie dans les zones où leurs propres réseaux sont moins développés.

 

L'Arcep avait été saisie en janvier dernier par l’opérateur de Martin Bouygues, après une hausse des prix côté SFR. En effet, pour accéder à un “paquet” de lignes de SFR, les opérateurs devaient payer 5,80 euros par ligne et par mois, contre 5,48 euros pour Orange. Les prix de la location à la ligne avaient eux augmenté pour atteindre 16,40 euros par mois et par ligne.

SFR FTTH a pu augmenter ses prix car, en matière de fibre optique, seuls les tarifs d’Orange sont régulés. De son côté, Bouygues Telecom exigeait deux choses : le retour aux tarifs en vigueur avant la hausse du 1er février 2020 et une baisse des prix de location à la ligne, avec une fourchette allant de 12,20 euros à 13,20 euros.

 

Le régulateur lui a donné raison sur ces deux sujets. SFR va donc devoir proposer à Bouygues Telecom un avenant au contrat pour rétablir les anciens tarifs dans un délai d’un mois. Concernant la location à la ligne, SFR est tenu de proposer un nouveau tarif à Bouygues ne devant pas dépasser 13,20 euros par mois et par ligne.

 

Un vrai revers pour SFR qui, fin 2018, avait vendu la moitié de son réseau de fibre optique dans les campagnes à trois fonds. Ces derniers avaient payé très cher pour cet actif, sans doute alléchés par la promesse de revenus locatifs élevés et de long terme.

Or deux ans plus tard, l’opérateur doit raboter ses prix. Et à cela s’ajoute le fait que Free a lui aussi saisi l'Arcep sur le même sujet.

 

 

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Source : Les Échos

 

 

 

 

96 % du territoire couvert en 4G

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

96 % du territoire couvert en 4G

L’Arcep fait le point sur la couverture mobile en 4G de la métropole. Le gendarme des Télécom estime que le territoire serait aujourd’hui couvert à 96 % par au moins un opérateur et à 76 % couvert par tous les opérateurs.

 

Dans le cadre du New Deal Mobile, « 2 066 zones ont été identifiées par les collectivités territoriales. […] À date, 462 nouveaux sites apportent des services de voix/SMS en “bonne couverture” grâce à la 3G et en très haut débit mobile (4G) sur des zones qui ont été identifiées et priorisées par les collectivités » rappelle l’autorité de régulation.

 

Les engagements/obligations des opérateurs sont également vérifiés par l'Arcep. Identifiés par un arrêté du 4 juillet 2018, 445 sites devaient être mis en œuvre avant le 9 octobre 2020. Bilan : « 403 des 445 sites ont été mis en service soit près de 91 %. […] Les causes des retards de mise en services des autres sites sont en cours d’analyse » par les services du régulateur.

 

« L’Arcep se félicite de la bonne avancée du New Deal mobile, grâce à la mobilisation des opérateurs, des acteurs locaux et des pouvoirs publics. L’Autorité veillera au plein respect par les opérateurs de l’ensemble des engagements pris » conclut Sébastien Soriano.

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les réseaux fibre vont passer au contrôle technique

Pour s’assurer de la qualité du déploiement de la fibre, le gouvernement va lancer une mission de contrôle des déploiements FttH.

 

L’aspect le plus visible de la dégradation de l’état des réseaux de fibre optique se trouve dans certaines armoires de rue. Le modèle consistant à confier le raccordement des abonnés aux fournisseurs d’accès à Internet, dans une relation de sous-traitance aux exploitants des réseaux, est régulièrement montré du doigt pour expliquer ces déboires. Et les différents protagonistes peinent toujours à s’entendre pour mettre fin au désordre.

Certains observateurs pointent également le choix originel de déporter les points de mutualisation, au plus près des locaux d’habitation ou professionnels, au détriment d’une architecture plus centralisée et donc plus sécurisée.

 

Mais au-delà de l’état des armoires, la partie amont est également dans le viseur de cette grande opération de contrôle que compte lancer le gouvernement.

En effet, l’initiative s’appuie sur un faisceau d’alertes portant notamment sur le sous-dimensionnement de câbles de transport. À certains endroits, la quantité de route optiques disponibles serait insuffisante pour pouvoir desservir tous les utilisateurs.

Les fibres optiques d’importation posent également question, car elles ne semblent pas donner entière satisfaction.

La vulnérabilité des réseaux fibre aux aléas climatiques explique aussi ce regain de vigilance.

 

L’objectif énoncé dans la lettre de mission de cette opération de contrôle : « mieux sécuriser les déploiements et les conditions d’exploitation sur les réseaux d’initiative publique » (RIP). Et trouver des “remédiations” aux potentiels problèmes identifiés.

Les réseaux fibre déployés sur fonds propres par les opérateurs, dans les zones très denses ou dans les zones moins denses d’initiative privée (AMII notamment), seraient donc exclus du périmètre de cette mission de contrôle.

S’agira-t-il de laisser le soin aux opérateurs de s’assurer du bon fonctionnement de leur propre réseau, tandis que l’État ne le ferait que sur les RIP, là où des deniers publics ont été engagés ?

 

 

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Source : DegroupTest

 

 

 

 

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le gouvernement italien vient d’opposer, pour la première fois, son véto à la signature d’un accord entre l’opérateur Fastweb et Huawei pour la fourniture des cœurs de réseau 5G. Une décision laissant à penser que l’Italie pourrait revoir sa position quant à la présence d’équipements Huawei sur son réseau 5G.

Huawei avait été sélectionné par Fastweb, la division italienne de Swisscom, comme unique fournisseur du cœur de réseau. Un fait qui a sans doute poussé le gouvernement à mettre son veto.

 

Si d’autres pays comme le Royaume-Uni et la France ont déjà pris des décisions afin d’interdire, à terme, l’accès de Huawei aux réseaux 5G, l’Italie n’avait pas encore pris de décision allant dans ce sens. Cependant, certains proches du gouvernement ou acteurs du monde industriel affirment que Rome adopte de fait une ligne pro-américaine sur la 5G. Les entreprises utilisant les équipements Huawei pour leur réseau 5G sont soumises à des restrictions sur les interventions à distance pour résoudre des problèmes techniques et un seuil de sécurité extrêmement élevé.

 

Afin de pouvoir se retirer, si Rome impose des conditions trop coûteuses en échange de son feu vert, les entreprises de Télécom italiennes ont inclus des clauses de sorties dans les contrats passés avec Huawei sur la 5G. Telecom Italia (TIM) est même allé jusqu’à exclure Huawei d’un appel d’offres concernant son cœur de réseau 5G. Le gouvernement italien pourrait donc revoir sa position concernant le rôle de Huawei dans la 5G et notamment pour la partie cœur de réseau.

 

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Plan d’attaque pour la relance de Kosc

Le vendredi, 16 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Plan d’attaque pour la relance de Kosc

L’opérateur de gros, ayant pris le contrôle de Kosc à l’été 2020, s’apprête désormais à le relancer. Et le rebond de Kosc va forcément être scruté de près par les différents acteurs du secteur.

 

David El Fassy, le PDG d’Altitude Infrastructure – désormais renommé Altitude Infra, explique « Pour nous, l’acquisition de Kosc est une opportunité sans précédent d’élargir notre catalogue d’entreprises clientes dans d’autres zones que celles où nous opérons traditionnellement, et notamment dans les zones AMII ou les zones urbaines. […] Après avoir battu le record de commandes de Kosc en septembre, nous souhaitons désormais enrichir son catalogue d’adressable en FttE et FttO, sur lesquels Kosc n’était pas très présent jusqu’à maintenant ». Parmi les autres objectifs fixés figure le développement de la couverture de Kosc sur les zones AMII de SFR avec, à terme, l’ambition de pousser le dégroupage total de l’opérateur de gros.

 

Altitude Infra souhaite faire de l’API de Kosc l’agrégateur le plus complet d’infrastructures de télécommunications, à la fois pour ses grands comptes (comme OVH) mais aussi également pour les TPE. En effet, ces dernières constituent le bassin de développement économique le plus important du marché des télécoms d’entreprises.

Pour ce faire, l’opérateur wholesale prévoit un investissement massif de 100 millions d’euros sur cinq ans dans Kosc. Xavier Grossetete, qui officiait depuis 2017 au sein de Jaguar Network, a été nommé directeur commercial et sera chargé de dynamiser le recrutement de nouveaux clients.

 

« Avec Kosc, nous devenons le guichet unique des opérateurs, avec une offre de couverture sur l’ensemble du territoire », indique David El Fassy, confirmant son intention « d’investir et de peser dans la durée sur le marché de la fibre optique, mais aussi de développer de nouvelles offres et services pour les entreprises ». Le plan proposé par Altitude Infra doit permettre à Kosc un retour à un Ebitda positif, ainsi qu’un chiffre d’affaires compris entre 80 et 100 millions d’euros en 2022.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

SFR condamné : plus de doute entre le câble et la fibre

Le vendredi, 16 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

SFR condamné : plus de doute entre le câble et la fibre

Le 8 octobre dernier, la Cour d’appel de Paris a ordonné à SFR d’envoyer un courrier à certains abonnés les informant qu’ils peuvent résilier leur contrat d’accès à Internet fixe de manière unilatérale. Capital nous apprend que si l’opérateur résiste, il devra payer 500 000 euros par jour de retard.

 

Cette procédure judiciaire a été initiée en janvier 2018 par son concurrent Free. En effet, bien qu’un arrêté réglemente l’usage du mot fibre depuis 2016, SFR aurait continué à entretenir un certain flou dans ses offres commerciales.

L’usage du terme FttB (Fiber to the Building) lui également est reproché puisque, dans certains cas, sa fibre n’irait pas jusqu’en bas de l’immeuble mais seulement jusque dans une armoire de rue.

 

Aujourd’hui SFR revendique 3,1 millions de clients en fibre optique de bout en bout (FttH) et 13,8 millions de lignes éligibles au Très Haut Débit.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

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