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Le Continuum des Data Centers

Le mardi, 25 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le Continuum des Data Centers

La tendance visionnaire des années 2010 positionnait massivement les surfaces des centres de données dans des DC Hyperscale, idéalement situés dans des zones proche du cercle polaire. A l’époque seule la question des risques systémiques semblait pouvoir ralentir cette évolution.

 

Mais aujourd’hui la réalité n’est plus du tout la même. En effet, un modèle de continuum est venu remplacé cette vision d’hyper-concentration des surfaces, qui peut se résumer en 6 niveaux.

  • Les Data Centers Hyperscales conservent toujours leur attrait pour des stockages de masse et des traitements non transactionnels. Leur objectif est d’amener le meilleur coût de production, en positionnant une grande mutualisation de surface là où le foncier et l’énergie sont bon marché.
  • Les Data Centers Hubs sont principalement positionnés à Frankfort, Londres, Amsterdam et Paris en Europe. Ces zones concentrent des centres de données de grande taille et bénéficient d’une interconnexion rapide entre eux. Ces espaces sur-attirent les opérateurs car l’interconnexion prime sur le potentiel du marché local.
  • Les Data Centers Régionaux, localisés dans toutes les autres villes significatives, adressent cette fois-ci le potentiel économique local, avec des acteurs de Cloud pour les entreprises ou des hébergeurs agissant en premier niveau d’accès vers les DC Hubs.
  • Les Data Centers « 5G » vont s’installer au plus près des zones urbaines afin de répondre au besoin de latence requis par les usages des populations.
  • Les micro-Data Centers vont amener une faible latence lors d’une concentration importante d’usage (un stade, une usine).
  • Les pico-Data Centers vont adresser l’usage du particulier, amenant ainsi une latence minimum et surtout une gestion des données privées.

 

Malgré des tailles différentes, les trois premiers niveaux de ces centres de données répondent aux mêmes principes de conception. A ceci près que les Data Centers Hyperscales sont souvent mono-utilisateurs. Il leur est donc possible de positionner des choix de conception plus restrictifs que dans les colocations.

Les trois derniers niveaux appartiennent à l’univers du Edge et visent à positionner l’espace des DC au plus près des usages. En revanche, ces niveaux répondent à des principes de conception différents.

L’installation se fera de manière industrielle pour les micros et pico-Data Centers. Les problématiques principales seront plus liées à la protection physique ou à la maintenance / exploitation de ces infrastructures.

Les Data Centers « 5G » amène une nouvelle donne. En effet, ils ont tout du « petit » DC mais doivent être implémentés dans des environnements complexes. Ils subissent de nombreuses contraintes de sécurité et de respect des normes étant positionnés dans des zones urbaines. Cependant, la plus grande complexité réside dans le manque de place pour déployer les lots techniques.

 

 

 

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Source : Global Security Mag

 

 

 

 

5G : table rase sur la bande 1,5 GHz

Le mardi, 25 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

5G : table rase sur la bande 1,5 GHz

Dans la lutte attendue des opérateurs pour l'acquisition des fréquences dédiées à la 5G, l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes s'apprête à ouvrir un nouveau front. En effet, l'Arcep a indiqué en fin de semaine dernière avoir fixé au 31 décembre 2022 l'échéance maximum pour les fréquences de la bande 1,5 GHz, dite bande L.

 

"Aujourd’hui utilisée pour des liaisons point-à-point pour la collecte de réseaux mobiles ouverts au public et aux professionnels et par les ministères de l’Intérieur et de la défense", sa libération d'ici fin 2022 doit permettre aux opérateurs mobiles de disposer de plus de fréquences pour déployer les futurs réseaux 5G et Très Haut Débit.

"La bande 1,5 GHz fait l’objet d’une harmonisation européenne depuis 2015. Elle compte 90 MHz utilisables pour répondre aux besoins de débit descendant. Les propriétés de propagation de ces fréquences sont particulièrement intéressantes pour la couverture du territoire et la couverture à l’intérieur des bâtiments", a déclaré le gendarme des Télécoms.

 

Toutefois les écueils pourraient être nombreux... En effet, les locataires actuels de la bande ont déjà adressés des observations à l’Autorité lors de la période de consultation : un plan de réallocation contesté, des coûts de migration potentiellement faramineux.

 

Cependant, la décision est largement saluée par les opérateurs se réjouissant de pouvoir obtenir de nouveaux blocs de fréquences pour le développement de leurs futurs réseaux 5G. Si ces derniers admettent que cette bande L fera l'objet seulement d'une exploitation "pour des liaisons supplémentaires exclusivement descendantes (en mode SDL)", elle permettra tout de même d'améliorer les débits et la capacité des liaisons descendantes en dessous de 1 GHz.

Le spectre disponible pour le déploiement des futurs réseaux 5G s'avère relativement limité, cette libération devrait donc présenter un intérêt certain pour les opérateurs notamment en cas de couplage avec d'autres bandes de fréquences.

Les opérateurs sont également unanimes sur le fait que l'intégralité de la bande ne pourra être exploitée efficacement à cause d’un voisinage peu favorable. Sur ses bandes adjacentes, se trouvent des "services d'exploration spatiale par satellite, de la radioastronomie et de la recherche spatiale", ne permettant pas l’utilisation des deux extrémités de la bande 1,5 GHz. Orange ne comptabilise qu'une bande de 85 MHz exploitable tandis que Free va plus loin ne comptant qu'une bande de 40 MHz. Ce bloc de fréquences constitue pour l'opérateur "la seule sous-bande présentant aujourd'hui un écosystème mature" et pourraient même faire l'objet d'un "scénario d'attribution immédiate" via une réallocation de bandes de 10 MHz à chaque opérateur.

 

Un scénario qui ne sera pas retenu par l'Arcep mais qui illustre l'appétit des opérateurs pour cette bande, au grand dam de ses locataires actuels. Ils devraient être appelés à loger ailleurs, particulièrement dans la bande 6 GHz.

En grande partie des industriels, ces acteurs expriment des doutes quant à la décision de l'Arcep et à ses implications sur leurs propres activités ainsi que sur leurs finances. Des interrogations sur la viabilité économique de cette migration du côté d'EDF par exemple, pour qui "le délai nécessaire estimé pour le remplacement des liaisons 1,4 GHz, sans que cela impacte de façon significative les performances de l’entreprise, est d’une dizaine d’années".

Surtout que le calendrier imposé par le gendarme des Télécoms fait déjà frémir les acteurs concernés. Pour Enedis, les échéances proposées conjointement par Bruxelles et l'Arcep "ne prennent pas en compte ce cadre d’utilisation spécifique de la bande 1,4 GHz par Enedis, ni les limites actuelles ou bien les contraintes imposées par les solutions de substitution". Et même l'une des solutions de remplacement proposées par l'Arcep impliquerait la reconstruction d'une grande partie de son réseau.

Les pouvoirs publics semblent également dans l’expectative à l'instar du ministère des Transports pour qui le calendrier évoqué ne pourra pas être tenu. D'où la demande du ministère de maintenir le réseau actuel "au moins jusqu'en 2027, sachant que si les études montrent qu'il est possible de disposer plus tôt du futur réseau, le réseau pourra être éteint avant cette date".

Les locataires actuels proposent d’autres solutions comme la mise en place d'un "contexte de cohabitation". Cela permettrait d'allouer les fréquences de la bande L aux opérateurs dans les zones urbaines denses et aux autres acteurs de "continuer à utiliser les Faisceaux Hertziens dans les zones rurales, à priori moins visées par le besoin en SDL".

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Un débat animé !

Le jeudi, 20 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Un débat animé !

Une table-ronde passionnante pour ce RezoGirls #11 dédiée à l’Intelligence Artificielle et la diversité des genres. Nos trois intervenant.e.s ont échangé, avec l’assistance pendant plus d’1h30, leurs expériences et analyses du phénomène.

 

Les intervenant.e.s :

  • Flavien Chervet est CEO d’Exoflow et vice-président de l’association Lyon-iS-Ai
  • Virginie Mathivet est Dr en Intelligence Artificielle et directrice R&D chez TeamWork
  • Cécile Pacoret est enseignante-chercheure en robotique et neurosciences

 

Un grand merci à toutes les participantes pour leur interaction teintée de bonne humeur. Et également à Digital Campus Lyon pour l’accueil.

 

Cliquez ici pour découvrir les meilleurs clichés.

 

 

Photographe : Marine-Agathe GONARD / AGATHE PHOTOS

 

 

 

 

Orange se branche sur les RIP opérés par Covage

Le jeudi, 20 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Orange se branche sur les RIP opérés par Covage

Avec pour objectif 3 millions de prises fibres éligibles d'ici à la fin de l'année dans ces Réseaux d'Initiative Publique situés principalement en zone rurale, l'opérateur a annoncé ce mardi la finalisation d'un accord pour la commercialisation de ses offres de fibre sur les RIP attribués à Covage.

 

Au terme de cet accord, Orange pourra ainsi déployer ses offres sur certains réseaux FTTH de Covage : le Calvados, l’Essonne, la Haute-Savoie, l’Hérault, la Seine-et-Marne, la Somme, la métropole lilloise et la Communauté urbaine de Dunkerque.

 

En mars dernier, la direction d'Orange revendiquait une part de marché de 30 % dans les RIP mais ambitionne désormais à se tailler la part du lion sur ces réseaux. Une démarche qui passera forcément par des partenariats avec les opérateurs d'infrastructures spécialisés dans le déploiement de ces RIP, comme Covage. La société exploite 46 réseaux d'initiative publique ou privée et couvre aujourd'hui 2,3 millions de prises.

 

Orange comptait cet hiver 350 000 prises en propre dans les zones peu denses. Pour atteindre son objectif de 900 000 prises en propre dans les RIP d'ici à la fin de l'année, l'avenir passera donc par les partenariats. L'opérateur historique souhaite porter la part de prises achetées à des partenaires dans ces zones à 2 millions d'ici à la fin 2019. L’enjeu est bien compris par Orange comme en atteste la conclusion de ce partenariat avec Covage.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IT : 4,2 % de croissance prévue en 2019

Le jeudi, 20 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

IT : 4,2 % de croissance prévue en 2019

Syntec Numérique a revu à la hausse les prévisions de croissance pour le secteur IT en France avec une progression de 4,2 % en 2019. La chambre syndicale tablait sur une progression de 3,9 % pour l’année en cours. En 2018, la croissance s’est établie à 4,1 % en moyenne pour l’ensemble du secteur : entreprises de conseil et services numériques (ESN / ex-SSII), éditeurs de logiciels et spécialistes du conseil en technologies.

 

79 % des entreprises du secteur informatique envisagent une hausse de leur chiffre d’affaires en 2019.

Avec un taux de croissance de 3,3 %, équivalent à celui de 2018, les ESN sont 76 % à prévoir une augmentation de leur chiffre d’affaires en 2019. Elles vont bénéficier des services à forte valeur ajoutée sur les projets que leurs clients engagent dans la cybersécurité, les systèmes cognitifs, ainsi que sur les offres Cloud. Cette évolution sera tirée par les secteurs banque/assurance, fournisseurs d’énergie et d’eau (utilities) et services aux entreprises.

Ils sont également 76 % à prévoir une augmentation de leur chiffre d’affaires cette année du côté des éditeurs de logiciels. Soit une croissance de 5,8 % de leur marché en France en 2019, donc supérieure à celle de 2018 (+5,3 %). Le software-as-a-service représentera 25 % du marché de l’édition de logiciels, prévoit Syntec Numérique. Il devrait ainsi peser 3,4 milliards d’euros cette année.

Les plus optimistes sont les acteurs du conseil en technologies puisqu’ils sont 95 % à prévoir une augmentation de leur chiffre d’affaires. Cependant, Syntec Numérique table sur une croissance à 5,2 % soit légèrement inférieure à celle de l’an dernier (5,5 %). Celle-ci sera tirée par les prestations en ingénierie de process et dans le domaine de l’IoT, ainsi que sur la transformation des modèles économiques des clients industriels.

 

En 2018, les ESN ont réalisé 61 % du chiffre d’affaires sur le marché IT, tandis que les éditeurs de logiciels 22 % et les acteurs du conseil en technologies 17 %.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Retour sur le CCIAL 2019

Le mercredi, 19 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Retour sur le CCIAL 2019

Rezopole a participé le 13 juin dernier au Colloque Cybersécurité Inter-Associations de Lyon. Organisé par le Club 27001 Lyon, cet événement Cybersécurité et Nouvelles Technologies réunissait associations et institutions nationales en privilégiant la participation des fonctions DSI, RSSI et DPO.

 

La première partie de la matinée a été consacrée à un tour de table des associations notamment Rezopole, dont la présence a été expliqué par son Président, Philippe Duby.

Le réseau Internet a désormais une place très importante dans le bon fonctionnement du Système d'Information, en particulier quand il est connecté à des plateformes Cloud : il peut être sujet à des coupures (perte de disponibilité), des attaques DNS ou DDOS (perte d’intégrité) ou des usurpations de trafic (perte de confidentialité).

Rezopole permet de se protéger de ces problématiques grâce à l'utilisation de ses places de marché Internet (LyonIX & GrenoblIX avec des ports jusqu'à 100 Gbps) et de son expertise réseau BGP (Infogérance 24/7, conseils / assistance / formation BGP).

 

Retrouvez le programme détaillé de cette journée dans cet article du Monde Informatique.

 

 

 

 

L’Aperezo #58 sous le soleil

Le vendredi, 14 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

L’Aperezo #58 sous le soleil

Un avant goût d’été pour cet événement du 12 juin au Razowski Lyon.

Situé dans le Pôle de commerces et de loisirs Confluence, les participants ont pu profité de la terrasse du restaurant ainsi que d’une vue imprenable sur la place nautique. Une soirée mélangeant échanges professionnels et ambiance détendue.

 

Retrouvez les meilleurs moments en cliquant ici.

 

 

 

 

 

Photographe : Marine-Agathe GONARD / AGATHE PHOTOS

 

 

 

 

Peering et DC centraux : incontournables ?

Le vendredi, 14 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Peering et DC centraux : incontournables ?

Les data centers centraux sont des relais de connectivité, de véritables places de marché. Ils rassemblent la quasi totalité des acteurs de la chaîne de valeur numérique. L’enjeu est donc de savoir les identifier, de pouvoir les reconnaître dans le but notamment d’ouvrir un PoP (Point Of Presence).

 

Il existe trois types de data centers : hyperscale, edge et core (ou central). Habituellement organisés en boucle, chacun a un rôle bien précis dans l’organisation d’une architecture informatique. Il est très courant de voir des acteurs héberger leur applicatif dans un hyperscale, déployer leur IT dans un edge et assurer un chemin réseau optimisé en créant des liens de peering dans un core.

 

Les DC centraux ont une importance bien spécifique et sont donc en passe de devenir de véritables leviers de performance qui déterminent de nombreux choix d’infrastructure.

Mais comment les identifier ? Le plus facile est de consulter les bases de référencement d’acteurs réseaux comme PEERING DB et de rechercher le data center enregistrant le plus grand nombre de membres. Si ils ont des éléments différenciants comme le nombre de membres et de ports réseaux disponibles, les équipements réseaux amortis ou encore un choix d’acteurs extrêmement large, c’est dans le peering que réside leur attrait principal.

 

Dans un DC central tout le monde est sur le même pied d’égalité : chacun partage de la donnée via une connexion physique d’un point A vers un point B. Peu importe la nature de l’interconnexion : peering, interconnexion directe ou transit, je sais que tout le monde est à distance de câble de mon rack. Je vais donc bénéficier du « clustering effet ». Et l’effet est vertueux, plus un data center central réunit d’acteurs, plus il y a d’interconnexion, moins c’est cher.

 

Le peering est une tendance forte en passe de devenir incontournable. Une étude publiée par l’Arcep en 2017 liée à la mesure du trafic chez les FAI en France indique que les données échangées sur le territoire sont réparties de cette manière : 50 % pour le transit, 46 % pour le private peering et 4 % pour le peering public. Les mêmes ratios ont été observés par le Journal du Net dans l’un de ses data centers centraux. La part de transit descend de manière très importante entre 2017 et 2018. Le public peering prend quant à lui de l’essor et le private peering augmente de manière très significative. Trois conséquences principales découlent de cette dynamique : les acteurs du contenu vont se rapprocher au plus près des clients finaux « bypassant » à court et moyen les hébergeurs et transitaires, les transitaires voyant leur business baisser vont essayer de récupérer sur le maillon CDN les marges qu’ils sont en train de perdre, et enfin les FAI essayeront de se rapprocher eux-mêmes du client final en incluant du contenu dans leurs offres.

 

Plusieurs bonnes pratiques méritent d’être partagées pour passer au trafic en direct. Premièrement, commencer par l’applicatif. Avant de choisir où héberger son IT, il est nécessaire de s’interroger sur la nature de ce dernier. En fonction de la réponse, il faut organiser son architecture. L’enjeu étant de créer des accès réseau facilitant l’expérience utilisateur et réduisant les coûts. Suivant leur priorité et le niveau de sécurité requis, les applicatifs seront donc répartis entre core, edge et hyperscale.

Deuxièmement, comment rapprocher l’utilisateur de ces applicatifs ? L’alternative est assez simple : soit utiliser du peering ou des interconnexions directes, soit mettre l’applicatif en local au sein de son data center et monter un lien réseau privé vers l’utilisateur final.

 

Le sens de l’histoire semble aller vers une transformation du mandataire IT en acheteur. Les responsables informatiques sont désormais en mesure d’organiser ces choix d’externalisation dans ces trois types de data centers. Les choix métiers deviennent dès lors des choix business.

 

 

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Source : Journal du Net

 

 

 

 

Le premier AMEL finalisé en Côte d'Or

Le vendredi, 07 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le premier AMEL finalisé en Côte d'Or

Les Appels à Manifestation d’Engagements Locaux annoncés en décembre 2017 lors de la Conférence nationale des territoires étaient alors présentés par les autorités comme « la possibilité offerte aux collectivités locales de bénéficier du déploiement ou de l’extension de réseaux à très haut débit financé sur fonds propres des opérateurs ».

 

Trois de ces AMEL avaient reçus un avis favorable de l’Arcep en mars dernier et une autorisation du gouvernement. Le premier de ces dispositifs a finalement fait l’objet d’une convention signée ce lundi entre l’opérateur Altitude Infrastructure et le Conseil départemental de la Côte-d’Or. D’ici fin 2022, terme de cet accord, 57 000 foyers seront raccordés par Altitude Infrastructure dont environ 8 000 avant la fin 2020. Cet AMEL s’inscrira en complément du Réseau d’Initiative Publique mis en place par le Département visant à obtenir une couverture FttH à 100 % en Côte-d’Or.

 

Deux autres Appels à Manifestation d’Engagements Locaux, dans le Lot-et-Garonne et dans trois départements de la région Sud-PACA opérés par Orange et SFR, devraient suivre le même chemin comme l’avait fait savoir le gouvernement en mars dernier. Ce dispositif devra « apporter à tous les Français de métropole comme d’outre-mer un débit minimal de 30Mbits/s d’ici fin 2022 » selon les objectifs édictés dans le cadre du plan France THD.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

THD radio : consultation publique de l’Arcep

Le vendredi, 07 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

THD radio : consultation publique de l’Arcep

Dans le cadre de l’attribution des fréquences 5G, prévue à l’automne 2019, l’Arcep continue ses travaux de libération de la bande 3,5 GHz. Cette bande a été mise à disposition des acteurs de l’aménagement numérique pour déployer des réseaux Très Haut Débit radio. Afin d’identifier les départements dans lesquels des réseaux THD radio sont encore envisagés, l’Arcep lance une consultation publique.

 

Pour répondre aux besoins de connectivité THD des territoires dans le contexte du Plan France Très Haut Débit, l’Arcep a ouvert en décembre 2017 un guichet pour le déploiement de réseaux THD radio dans la bande 3,4 – 3,8 GHz. En parallèle, le gouvernement et l’Arcep ont établit d’attribuer de nouvelles fréquences 5G afin d’être lancée dès 2020. L’Autorité de régulation doit donc attribuer la bande 3,4 – 3,8 GHz pour le déploiement commercial des réseaux mobiles 5G.

 

Fin 2018, l’Arcep envisageait un dépôt des dossiers auprès du guichet THD radio avant fin mars 2019. Cependant, afin de libérer un maximum de fréquences pour la 5G tout en maintenant des fréquences pour les réseaux THD radio, l’Arcep prévoit le maintient du guichet pour les départements dans lesquels existent des projets avancés. L’ouverture du guichet pour ces projets pourrait être prolongée au-delà du 31 décembre 2019.

 

Il convient maintenant à l’Arcep de déterminer les territoires où les réseaux THD radio devraient être déployés. Cette consultation publique vise à permettre aux acteurs concernés d’informer l’Autorité de régulation de leur projet avant le 30 juin 2019.

 

A la fin de cette consultation et compte tenu des réponses, l’Arcep modifiera les modalités d’attribution des fréquences pour le THD radio afin d’intégrer ces évolutions de calendrier.

 

 

 

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Source : Arcep

 

 

 

 

Participez au RezoGirls 11 !

Le lundi, 03 juin 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Participez au RezoGirls 11 !

Rezopole, en partenariat avec Digital Campus Lyon, vous convie le mardi 18 juin à 18h30 à la 11ème rencontre RezoGirls.

 

Lors de cette nouvelle table ronde, plusieurs intervenant.e.s échangeront sur le thème « Essor de l'Intelligence Artificielle : quels risques pour la diversité des genres ? ». Le débat sera suivi d'un cocktail dînatoire.

 

En introduction citons le Larousse qui définit l’Intelligence Artificielle comme « un ensemble de théories et de techniques mises en œuvre en vue de réaliser des machines capables de simuler l'intelligence humaine ».

 

Après un bref historique de l’Intelligence Artificielle, et quelques exemples de dysfonctionnement reproduisant, amplifiant, voire créant de toutes pièces de la discrimination dans leurs décisions, nos intervenant.e.s débattront en se basant sur leur expérience respective et apporteront une analyse pertinente de ce phénomène ; le déséquilibre des genres engendré par le développement de l'IA.

 

 

ProgrammeLes Toques Blanches Lyonnaises

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenant.e.s
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur

 

 

 

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Pour participer aux événements Rezopole, il faut être au minimum membre Silver (gratuit).

 

Intervenant.e.s

Flavien Chervet est entrepreneur le jour, conférencier prospectiviste la nuit. La jeune entreprise dont il est CEO, Exoflow, créé et anime des programmes d'intrapreneuriat pour aider les entreprises à se réinventer et à innover. Passionné par l’'Intelligence Artificielle et son impact sur la société, il fonde en 2016 le « Meetup IA Lyon » réunissant 2500 passionnés. Il est également vice-président de l'association Lyon-iS-Ai, do-tank dont la mission est de démystifier l'IA et d'éduquer à son bon usage.

 

Après un diplôme d'ingénieur à l’INSA et un DEA, Virginie Mathivet fait une thèse de doctorat en Intelligence Artificielle sur les algorithmes génétiques et les réseaux de neurones. Elle se dirige ensuite vers l'enseignement et transmet, pendant plus de 10 ans, ses savoirs en Intelligence Artificielle, robotique et objets connectés. Aujourd'hui, elle travaille au sein du laboratoire d'innovation de TeamWork en tant que directrice de la R&D. Elle est également auteur de livres sur l'IA et speaker.

 
 
Enseignante-chercheure en robotique et neurosciences, Cécile Pacoret explore les relations homme-machines et comment leur collaboration permet de mieux comprendre leurs fonctionnements respectifs. Entre innovation technologique et thérapeutique, elle attache une grande importance à l'expérimentation et l'expérience terrain. Convaincue que les intelligences humaine et artificielle sont complémentaires, elle participe à des Fab Lab et des séminaires afin de rendre accessible la technologie à tous et discuter de la réalité du terrain avec le public.
 

 À propos des RezoGirls       

 

Vous êtes une femme et vous travaillez dans le secteur Réseau & Télécom ou plus largement dans le numérique et vous souhaitez rencontrer d'autres RezoGirls ?

Venez partager votre expérience dans un cadre convivial et décontracté...

 

 
 

 À propos de Digital Campus 

Digital Campus est le 1er réseau d’écoles du web en France, à travers 10 campus en France métropolitaine, à la réunion et au Sénégal. L’école prépare ses étudiants à devenir les futurs professionnels du digital, prêts à répondre aux enjeux du numérique. Digital Campus  Lyon, situé au sein du Campus Région du numérique, propose des formations web en alternance ou initial et délivre 2 titres certifiés niveau I & II.
 
 

               
 

 

 

 

Save the date !

Le mercredi, 29 mai 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Save the date !

Réservez votre soirée du 18 juin !

Rezopole organise, en partenariat avec Digital Campus Lyon,

la 11ème édition de ses RezoGirls.

 

Lors de cet afterwork, plusieurs intervenant.e.s échangeront sur le thème :

"Essor de l'Intelligence Artificielle : quels risques pour la diversité des genres ?".

 

Plus d'information très prochainement...

 

 

 

                                               

 

 

 

 

Un péage pour les géants d’Internet

Le mercredi, 29 mai 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Un péage pour les géants d’Internet

Les principaux fournisseurs d’accès à Internet français ont établi le classement des plus gros consommateurs de bande passante il y a un an. Ces groupes, comme Google, Netflix, Akamai, Facebook, profitent des tuyaux des opérateurs français sans payer leur juste part.

 

La Fédération Française des Télécoms (FFT) et son président réclament donc « plus d’équité ». En effet, dans une interview accordée au Figaro, Arthur Dreyfuss explique que « 80 % des impôts payés en France par des acteurs du numérique le sont par des opérateurs télécoms français. A certaines heures de la journée, 80 % du trafic des réseaux télécoms est dû à YouTube, Netflix, Amazon et Facebook ».

 

Dans de telles conditions, la FFT propose d’instaurer un péage c’est-à-dire faire payer l’accès aux réseaux des opérateurs français. Ces tuyaux étant extrêmement profitables aux géants américains, les fournisseurs d’accès se demandent quand vont-ils participer au financement des infrastructures ? En effet, les FAI doivent sans cesse investir pour agrandir et améliorer leurs réseaux. Des financements donc lourds pour lesquels les géants d’Internet participent peu voire pas du tout.

 

Cette proposition n’intervient pas au hasard puisque le gouvernement souhaite mettre en place une taxe sur les activités publicitaires des plus grandes sociétés du numérique. Elle devrait être mise en place très rapidement puisqu’elle vient d’être votée par le Sénat.

 

 

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Source : Journal du Geek

 

 

 

 

Bond des offres d’emploi IT

Le mercredi, 29 mai 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Bond des offres d’emploi IT

Le cabinet de recrutement Robert Walters a publié, ce mois-ci, une étude sur les offres d’emploi dans le secteur du numérique en région Auvergne-Rhône-Alpes. Le marché poursuit sa croissance avec une hausse de 19 % des annonces destinées aux cadres informaticiens en avril 2019 par rapport à la même période en 2018.

 

Une dynamique profitant aux ingénieurs / architectes réseaux puisque le nombre de propositions a augmenté de 43 % le mois dernier. « Avec l’essor du Cloud, le rôle des experts et architectes réseaux devient stratégique  […] Garants du design, de la qualité du réseau et de sa sécurité, ils sont un atout majeur, même pour des entreprises ayant externalisé leurs infrastructures » commente le manager de la division IT et digital du bureau lyonnais de Robert Walters, Edouard Trackoen.

 

D’après lui, c’est encore plus vrai pour les entreprises possédant de nombreux sites et souhaitant développer un projet SD-WAN. En effet, il ajoute « Au-delà de l’expertise technique, les entreprises vont plébisciter des candidats également capables de faire le lien avec les enjeux métiers ». Suivant cette logique, la part des DSI avec un parcours CTO / Directeur infrastructure aurait augmenté au dépend des directeurs applicatifs.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Un avant-goût d’été !

Le mercredi, 29 mai 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Un avant-goût d’été !

Rezopole a le plaisir de vous convier à la 58ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 12 juin au Razowski Lyon de 18h30 à 22h00.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

Merci de limiter à 5 le nombre de professionnels par société.

 

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En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, les réseaux sociaux et le site de notre partenaire.

 

 

 

 

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