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Articles taggés avec : Autorité de régulation des Télécom

5G : possibles interférences avec un autre service

Le vendredi, 30 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : possibles interférences avec un autre service

Lancée fin 2020 en France, la 5G fonctionne sur plusieurs bandes de fréquences, et notamment sur celle des 3,4-3,8 GHz. L’Arcep s’interroge sur de possibles perturbations avec les stations terriennes du service fixe du satellite puisque celles-ci utilisent la bande des 3,8‑4,2 GHz.

 

Une telle proximité pourrait causer des interférences. C’est pourquoi le régulateur des Télécom a décidé de lancer une consultation publique le 27 juillet dernier : “La présente consultation publique a ainsi pour objet de clarifier ces conditions de coexistence, tant du point de vue des conditions techniques à respecter que de leur localisation et durée. Le texte proposé s’attache à distinguer les stations existantes de celles qui pourraient être déployées dans le futur, et à tenir compte des niveaux de contraintes sur le déploiement des réseaux 5G qui peuvent varier selon les stations et leur emplacement”. Les contributions des acteurs concernés sont attendues avant le 29 octobre 2021.

 

L’Arcep rappelle également que des mesures ont été déjà prises en ce sens : “Afin d’éviter de tels brouillages, les décisions de l’Arcep en date du 12 novembre 2020 autorisant les opérateurs mobiles à utiliser la bande 3,4‑3,8 GHz, spécifient l’obligation aux opérateurs mobiles de prendre les mesures nécessaires pour respecter des niveaux de puissance d’émission”.

 

 

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Source : Univers Freebox

 

 

 

 

Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le vendredi, 23 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : chantier ouvert pour améliorer les raccordements

Le 20 juillet, les opérateurs ont remis leur plan d'attaque pour renforcer la qualité des raccordements au gouvernement. Pour la Fédération française des télécoms (FFT) il n’est pas question de laisser ces dysfonctionnements nuire à l'image de la fibre et entraver son déploiement à court et moyen terme.

Cette opinion est partagée par l'ensemble des acteurs des Télécom. « Une bonne qualité [des raccordements] est essentielle pour assurer l’exploitation des réseaux FttH dans de bonnes conditions, assurer leur pérennité et limiter les surcoûts liés aux travaux de reprise ou de réintervention », rappelle l'Arcep. Même son de cloche du côté des opérateurs, regrettant les dégradations commises contre les infrastructures réseaux, qu'elles soient volontaires ou non, ne nuisent à leur image et celle de la fibre.

 

Les opérateurs d'infrastructures ont déjà souscrit, en mai dernier, à une série d'engagements pour améliorer la qualité des raccordements via une évolution du contrat de sous-traitance (mode STOC) qui régit le marché. C’est au tour des opérateurs commerciaux de prendre le problème à bras-le-corps. Dans ce livre blanc, ces derniers proposent diverses pistes pour en finir avec les "plats de nouilles".

Au-delà de la seule formation de leurs agents de terrain, les opérateurs vantent également la généralisation d'une nouvelle forme d'ingénierie au sein des armoires de mutualisation. Cette nouvelle architecture, baptisé forme en "M",  « rend le brassage plus fluide et intuitif, grâce à un code couleur des cheminements ». Ces derniers militent ainsi pour une généralisation de ce dispositif à l'échelle nationale.

Par ailleurs, et afin de permettre un meilleur audit des raccordements déjà effectués, les opérateurs souhaitent généraliser un nouveau type de compte-rendu photographique, « qui prévoit la prise de photos horodatées avant et après chaque intervention, permettant de contrôler la qualité du travail réalisé par les intervenants et de détecter rapidement l’apparition de malfaçons ». Lancé en début d’année, l'outil souffre pourtant de quelques limites « l’incapacité du contrôleur, qu’il soit humain ou mécanisé à base d’intelligence artificielle, de s’assurer que les positions optiques occupées sont conformes à ce qui est prévu ». Un défaut de taille, alors qu'il est courant que ce dysfonctionnement débouche sur des embouteillages dans les armoires.

Les opérateurs souhaitent également s'appuyer sur une application interopérateurs, baptisée "e-Mutation", ayant pour objet d'aider les techniciens à améliorer leur visibilité sur les routes optiques empruntées dans une armoire donnée. Ils annoncent ainsi le lancement prochain d'un outil informatique interopérateurs permettant de suivre une malfaçon, depuis sa notification jusqu’à sa résolution.
Le dernier point concerne la Base d’Adresses Nationales (dite BAN), cette base de données publique qui a pour but de référencer l'adresse de l'intégralité des locaux sur le territoire français. La base de données, exploitable sous la forme d'une API par les opérateurs, est en effet montrée du doigt pour ses lacunes, notamment en milieu rural. « Il est indispensable que les collectivités se dotent rapidement d’un référentiel d’adresses complet », expliquent les opérateurs, qui se basent sur ces informations dans leurs opérations de raccordement.

 

De quoi mettre un terme à la prolifération des plats de nouilles ? C'est en tous cas ce qu'espèrent les opérateurs. D'autant que le timing est critique pour l'adoption de la fibre, alors que le déploiement du très haut débit continue tous azimuts sur le territoire métropolitain. Les professionnels de la fibre s'attendent à déployer 6,2 millions de prises en 2021. De quoi dépasser les objectifs gouvernementaux en la matière, avec des prévisions de 87 % de logements raccordés à la fibre en 2022, au lieu des 80 % initialement souhaités par les pouvoirs publics.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Le vendredi, 09 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le trafic vers les FAI a augmenté de 50 % en un an

Afin d’accélérer le développement de la 5G, et en particulier dans le monde industriel, l’État vise 1,7 milliard d’euros d’investissements publics et privés jusqu’en 2025. L’exécutif « va mobiliser 480 millions d’euros de financement public pour soutenir des projets prioritaires d’ici 2022, et vise jusqu’à 735 millions de financements publics d’ici 2025 pour mobiliser, par effet de levier, jusqu’à 1,7 milliard d’investissements d’ici 2025 », a indiqué Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée à l’Industrie, le 6 juillet dernier lors d’une conférence de presse.

 

Le problème pour le gouvernement aujourd’hui n’est pas de déployer des infrastructures de la 5G mais d’accélérer le développement de cas d’usage de celle-ci. L’État a ainsi déjà sélectionné en septembre 2020, 18 projets qui recevront 83 millions d’euros d’argent public, pour un total d’investissement de 260 millions d’euros.

Trois autres projets ont été annoncés et recevront 10 millions d’argent public : un projet de communication machine à machine (mMTC) porté par la société d’ingénierie et de conseil Médiane Système, une carte d’accélération de réseau de la PME grenobloise Kalray, et une solution de contrôle de la ventilation et du chauffage des bâtiments d’une autre PME grenobloise, Adeunis.

 

Les fonds publics proviendront de France Relance, le plan pour soutenir l’économie après la crise de la Covid-19, et du 4ème programme pour les investissements d’avenir. Le gouvernement estime que cet effort de stimulation des applications de la 5G peut permettre de créer 20 000 nouveaux emplois d’ici 2025, et porter à 15 milliards d’euros le marché de la 5G en France à cette date.

 

 

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Source : FrenchWeb.fr

 

 

 

 

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

Le vendredi, 08 janvier 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les tarifs d’accès au réseau de SFR revus à la baisse

En juillet 2020, Free saisissait l'Arcep en lui réclamant de préciser les conditions d’accès des acteurs du marché au réseau FttH de SFR en zone moins dense d’initiative privée (AMII). La filiale d’Iliad réclamait l’encadrement des tarifs exigés par SFR pour accéder à la partie terminale de son réseau en limitant toute hausse à la seule application de l’indexation prévue par le contrat de mutualisation noué entre les deux opérateurs et en conditionnant toute évolution au-delà de ce barème à la signature d’un avenant « négocié de bonne foi ».

 

Un sujet brûlant car déjà en avril dernier, l'Arcep se disait prête à remettre « les points sur les i » dans le dossier de la hausse des tarifs de raccordement au réseau fibre de SFR dans les zones privées. En effet, l’Autorité avait déjà exigé de la marque au carré rouge l’annulation de la hausse de ses tarifs en vigueur depuis le début d’année 2020 après avoir été saisie par Bouygues Telecom à l’hiver dernier.

 

Free qui exigeait donc la révision des tarifs de cofinancement reclamés par SFR, en zone AMII, afin qu’ils ne dépassent pas 5,12 € par ligne et par mois (ou 513,6 € par ligne pour le tarif non récurrent) pour un cofinancement à hauteur de 20 %.

Une demande acceptée par l'Arcep, qui a demandé à SFR d’ajuster ses tarifs dans les zones AMII mais également dans les zones AMEL. Le gendarme des télécoms justifie cette position en indiquant que la branche d’infrastructure de SFR « n’a pas produit d’éléments spécifiques permettant d’appréhender ses coûts » et estimant que les hausses de tarifs d’accès doivent « être justifiés par des éléments de coûts ».

 

Comme dans le différend opposant Bouygues Telecom à SFR, l'Arcep a enjoint la marque au carré rouge de revenir à ses tarifs de cofinancement pratiqués avant le mois de février 2020. Elle a toutefois la possibilité de les ajuster de manière beaucoup plus modeste par voie d’avenant. Une décision très attendue par certains acteurs du secteur, pour qui il en allait de la survie du principe de mutualisation de la partie terminale des réseaux fibre d’Orange et de SFR, en vigueur depuis 2008.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Le jeudi, 31 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 disponible pour les utilisateurs Free mobile

Free restait à la traîne concernant l’activation du support de l’IPv6 sur le mobile mais la donne vient néanmoins de changer. En effet, une nouvelle option est apparue dans l’espace abonné Free Mobile permettant de l’activer.

 

Le passage à IPv6 est un sujet de longue date pour les opérateurs puisque cela fait plusieurs années que la pénurie d’adresse IPv4 se fait sentir. L’utilisation de la nouvelle norme d’adresse IP permet de résoudre le problème ; le nouveau protocole disposant d’un stock quasi illimité d’adresse IP attribuables aux appareils.

 

Début décembre, l’Arcep a mis à jour son baromètre de la transition IPv6 en France. En la matière, Bouygues fait figure de bon élève avec 87 % de clients Android et 98 % de clients iOS activés en IPv6. En second arrivait Orange avec 35 % sur Android et 60 % sur iOS, tandis que sur SFR, seul 0,2 % des clients Android avaient activé IPv6. Free était bon dernier, l’activation IPv6 n’étant tout simplement pas disponible jusque-là pour les clients mobiles du FAI.

 

Si sur le mobile, Free fait figure de mauvais élève, l’opérateur se rattrape en revanche sur les réseaux Internet fixe avec 99 % de ses clients disposant d’une connexion IPv6 activée. On retrouve ensuite Orange avec 75 %, puis Bouygues à 28 % et SFR à 1,6 %.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

IPv6 progresse doucement en France

Le jeudi, 10 décembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 progresse doucement en France

Malgré la pénurie d’adresses IPv4, l’Arcep dresse un bilan mitigé de la transition vers le protocole réseau IPv6. Dans son baromètre annuel, le gendarme des Télécom constate les progrès des opérateurs sur le fixe, en particulier Free, et dans une moindre mesure, Orange. Si tous les deux présentent des taux élevés de clients activés en IPv6, SFR paraît à la traîne tandis que Bouygues Telecom doit accélérer ses efforts.

Concernant le mobile, Bouygues Telecom a fourni le plus d’efforts, suivi par Orange. Du côté de SFR, on met les bouchées doubles pour rattraper le retard alors que Free Mobile n’a toujours pas entamé de transition.

 

Cependant c’est le taux d’hébergement mail qui alarme le plus l’Arcep. En effet, seul Google se démarque avec plus de 95 % de noms de domaines en IPv6 pour les serveurs de courriels.

 

Aujourd’hui, la France se situerait au dixième rang du Top 30 mondial en matière de taux d’utilisation d’IPv6. Elle se classerait en cinquième position, derrière la Belgique, l’Allemagne, la Grèce et la Suisse au niveau européen.

 

 

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Source : 01Net

 

 

 

 

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Le vendredi, 20 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

L'Arcep rabote les prix de gros de SFR sur la fibre optique

Après dix mois de procédure, l'Arcep a donné raison à Bouygues Telecom au sujet des prix de gros facturés par SFR FTTH aux autres opérateurs nationaux ou régionaux. Ces derniers se greffent sur le réseau de fibre optique de SFR dans les campagnes afin de pouvoir proposer cette technologie dans les zones où leurs propres réseaux sont moins développés.

 

L'Arcep avait été saisie en janvier dernier par l’opérateur de Martin Bouygues, après une hausse des prix côté SFR. En effet, pour accéder à un “paquet” de lignes de SFR, les opérateurs devaient payer 5,80 euros par ligne et par mois, contre 5,48 euros pour Orange. Les prix de la location à la ligne avaient eux augmenté pour atteindre 16,40 euros par mois et par ligne.

SFR FTTH a pu augmenter ses prix car, en matière de fibre optique, seuls les tarifs d’Orange sont régulés. De son côté, Bouygues Telecom exigeait deux choses : le retour aux tarifs en vigueur avant la hausse du 1er février 2020 et une baisse des prix de location à la ligne, avec une fourchette allant de 12,20 euros à 13,20 euros.

 

Le régulateur lui a donné raison sur ces deux sujets. SFR va donc devoir proposer à Bouygues Telecom un avenant au contrat pour rétablir les anciens tarifs dans un délai d’un mois. Concernant la location à la ligne, SFR est tenu de proposer un nouveau tarif à Bouygues ne devant pas dépasser 13,20 euros par mois et par ligne.

 

Un vrai revers pour SFR qui, fin 2018, avait vendu la moitié de son réseau de fibre optique dans les campagnes à trois fonds. Ces derniers avaient payé très cher pour cet actif, sans doute alléchés par la promesse de revenus locatifs élevés et de long terme.

Or deux ans plus tard, l’opérateur doit raboter ses prix. Et à cela s’ajoute le fait que Free a lui aussi saisi l'Arcep sur le même sujet.

 

 

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Source : Les Échos

 

 

 

 

96 % du territoire couvert en 4G

Le vendredi, 13 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

96 % du territoire couvert en 4G

L’Arcep fait le point sur la couverture mobile en 4G de la métropole. Le gendarme des Télécom estime que le territoire serait aujourd’hui couvert à 96 % par au moins un opérateur et à 76 % couvert par tous les opérateurs.

 

Dans le cadre du New Deal Mobile, « 2 066 zones ont été identifiées par les collectivités territoriales. […] À date, 462 nouveaux sites apportent des services de voix/SMS en “bonne couverture” grâce à la 3G et en très haut débit mobile (4G) sur des zones qui ont été identifiées et priorisées par les collectivités » rappelle l’autorité de régulation.

 

Les engagements/obligations des opérateurs sont également vérifiés par l'Arcep. Identifiés par un arrêté du 4 juillet 2018, 445 sites devaient être mis en œuvre avant le 9 octobre 2020. Bilan : « 403 des 445 sites ont été mis en service soit près de 91 %. […] Les causes des retards de mise en services des autres sites sont en cours d’analyse » par les services du régulateur.

 

« L’Arcep se félicite de la bonne avancée du New Deal mobile, grâce à la mobilisation des opérateurs, des acteurs locaux et des pouvoirs publics. L’Autorité veillera au plein respect par les opérateurs de l’ensemble des engagements pris » conclut Sébastien Soriano.

 

 

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Source : NextInpact

 

 

 

 

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

Le vendredi, 06 novembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs connaissent leur positionnement

L'Arcep, en apposant un point final à l’appel d’offres pour les fréquences 5G, vient de livrer le positionnement des opérateurs sur la bande des 3,5 GHz.

Seul Free aura déboursé 3 millions d’euros pour s’offrir une place centrale sur la “bande reine” de la 5G. En effet, la filiale française d’Iliad disposera de 70 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,64 GHz à 3,71 GHz.

Dans le détail, SFR disposera de 80 MHz de fréquences sur un bloc allant de 3,49 GHz à 3,57 GHz, tandis que les 70 MHz de fréquences détenues par Bouygues Telecom seront disposées entre les fréquences 3,57 GHz et 3,64 GHz. Enfin, Orange, qui détient le plus gros bloc de fréquences, avec 90 MHz de fréquences 5G, disposera d’un bloc allant de 3,71 GHz à 3,80 GHz.

 

Lors de cette seconde phase d’enchères, les opérateurs ont déboursé la somme totale de 2,78 milliards d’euros. Pour s’offrir 70 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz, Bouygues Telecom a déboursé 602 millions d’euros, tout comme Free qui a rajouté 3 millions d’euros à cette somme pour bénéficier du positionnement de son choix. De son côté, SFR a investie 728 millions d’euros pour mettre la main sur 80 MHz de fréquences, tandis qu’Orange a dépensé 854 millions d’euros pour disposer de 90 MHz de fréquences sur la bande des 3,5 GHz.

 

Les 350 millions d’euros déboursés par chaque opérateur pour s’offrir des blocs fixes de 50 MHz seront remboursables « en 15 parts égales exigibles sur 15 ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les 14 autres à la date anniversaire de l’attribution ».

Les sommes déboursées par les opérateurs lors de la phase d’enchère et de positionnement seront quant à elles remboursables « en quatre parts égales exigibles sur quatre ans, la première dès l’attribution de l’autorisation d’utilisation des fréquences et les trois autres à la date anniversaire de l’attribution ».

« À ces sommes viendront s’ajouter une part annuelle variable, égale à 1 % du chiffre d’affaires réalisé par l’exploitation de ces fréquences », indique le gendarme des télécoms.

Les fréquences seront officiellement délivrées à compter du 18 novembre prochain par l’Arcep. Mais les opérateurs devront encore attendre l’accord de l’ANFR, pour pouvoir commercialiser leurs premières offres 5G auprès du grand public et des professionnels, ce qui devrait prendre environ 10 jours supplémentaires.

 

Concernant la commercialisation des forfaits 5G, les opérateurs n’ont pas encore fait connaître leurs stratégies. Quoi qu’il en soit, ils devront attendre l’assentiment des municipalités pour lancer officiellement l’ère de la 5G auprès des utilisateurs. Si la patience reste donc de mise, les opérateurs commencent déjà les grandes manœuvres pour faire baisser le coût de leurs infrastructures 5G.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Service universel : Orange sous pression

Le mercredi, 23 septembre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Service universel : Orange sous pression

À la suite de plaintes concernant la dégradation du service, l’Arcep avait mis l’opérateur historique il y a deux ans en demeure de respecter ses engagements en 2019. Si de nets progrès avaient été constatés en 2019, la situation est moins satisfaisante au premier semestre 2020, notamment marqué par la crise sanitaire. Le gendarme des télécoms attend de pied ferme l’amélioration promise par l’opérateur historique lors du deuxième semestre.

 

« Les mesures de protection sanitaire restent en vigueur et apportent des contraintes lors des interventions qui diminuent la productivité des ressources d’Orange », avait plaidé Orange dans un communiqué au mois de juillet dernier.

 

Pour rappel, l’opérateur historique a été chargé fin 2017 de fournir une offre de téléphonie fixe à tous les Français pour un tarif abordable et ce pour une durée de trois ans. Il est soumis à une douzaine d’indicateurs de qualité de service listés dans le cahier des charges comportent des seuils chiffrés annuels contrôlés par l’Arcep.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Autre épine dans le pied du secteur des infrastructures du numérique, les raccordements finaux des clients à la fibre optique. En effet, la grogne s’amplifie face aux désordres constatés dans les points de mutualisation et la menace qu’ils constituent pour la pérennité des réseaux. Appelée à intervenir plus franchement, l'Arcep prend enfin les choses en main pour faire un sort aux “plats de nouilles”.

 

Lors de la conférence Telconomics du 16 juin dernier, l’Autorité de régulation s’est dite « extrêmement préoccupée » par la multiplication de ces aberrations. Pour y remédier, le régulateur des Télécoms a donc publié une « première feuille de route » élaborée en concertation avec les acteurs du secteur. L’objectif étant de donner aux opérateurs d’infrastructure la possibilité de mieux contrôler les interventions sur leurs réseaux. Ils pourront ainsi signaler, voire déréférencer, les sous-traitants indélicats mandatés par les opérateurs commerciaux.

 

Sébastien Soriano, président de l’Autorité, précise qu’il s’agit d’« éviter que quelques brebis galeuses viennent saccager le travail extrêmement professionnel de l’essentiel des autres sous-traitants ». Un premier pas qui ne réglera pas toutes les questions, comme celles du recrutement, de la tarification de ces interventions, ou des divergences sur les technologies de raccordement entre opérateurs d’infrastructure et fournisseurs d’accès.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

Le vendredi, 12 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

Enchères 5G : le nouveau calendrier dévoilé

L’Autorité de régulation des Télécom a publié un nouveau calendrier pour la suite de la procédure d’attribution des fréquences 5G dans la bande des 3,5 GHz. Ce sera donc entre le 20 et le 30 septembre. Bouygues Telecom, Free, Orange et SFR, qualifiés en février dernier à l’issue d’un appel à candidature, y participeront.

 

À l’issue de la procédure, ils obtiendront un bloc de 50 GHz chacun en contrepartie de 350 millions d’euros par tête et d’un certain nombre d’obligations de déploiement. Au début de l’automne, l’enchère principale leur permettra de compléter ce premier bloc en décrochant un ou plusieurs blocs de 10 GHz. S’ensuivra une enchère permettant de positionner les fréquences obtenues dans la section 3,4-3,8 GHz. L’Arcep indique que l’attribution définitive des fréquences aura lieu “en octobre ou novembre”. Les opérateurs pourront ainsi commercialiser leurs futurs forfaits 5G “d’ici à la fin de l’année”.

 

Cependant, les opérateurs ne seront finalement pas obligés d’assurer la couverture en 5G d’au moins deux grandes villes avant fin 2020. Le décalage de la procédure a conduit le gendarmes des Télécom à lever cette obligation accompagnant le premier bloc de 50 GHz. La commercialisation se fera “à l’initiative des opérateurs” même si l’Arcep promet de rester attentive aux conditions de commercialisation du nouveau réseau et aux promesses des opérateurs.

 

La première obligation sera donc de déployer la 5G sur au moins 3 000 de leurs sites d’ici à fin 2022. Les opérateurs devront également distiller au moins 240 Mb/s sur 75 % de leurs sites en 4G+ à la même échéance.

Une manière de rappeler que le cahier des charges a été élaboré pour que le déploiement de la 5G et la couverture 4G des territoires aillent de pair. Et aussi de répondre à Bouygues Telecom et SFR qui ont récemment mis en balance le déploiement du réseau de 5e génération et la nécessaire amélioration de la couverture 4G en zone rurale.

 

En parallèle, l'Arcep entend également répondre aux préoccupations croissantes entourant l’impact environnemental du numérique. Dans le cadre d’une nouvelle plateforme baptisée “pour un numérique soutenable”, “associations, institutions, opérateurs, entreprises du numérique, personnalités” sont invités à y contribuer lors d’une série d’ateliers thématiques à partir du 9 juillet.

Un rapport pour la fin d’année permettra de faire le point sur ces travaux et proposera les “premières pistes pour aller plus loin dans la réponse aux enjeux environnementaux” dont l’Autorité entend faire un “nouveau chapitre de la régulation”.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

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