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Telehouse ouvre un PoP à Marseille avec Jaguar Network

Le vendredi, 02 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Telehouse ouvre un PoP à Marseille avec Jaguar Network

Spécialiste des solutions d’hébergement à forte connectivité en Europe, Telehouse signe un partenariat avec l’opérateur Jaguar Network, filiale B2B du Groupe iliad, pour le développement d’activités d’hébergement en France dans le datacenter de ce dernier à Marseille.

 

Baptisée “TH1 Marseille”, cette infrastructure apportera de nouvelles solutions de connectivité neutres aux acteurs du numérique, avec le même savoir-faire, la même proximité dans l’accompagnement et la même excellence de service qui caractérisent l’activité de Telehouse depuis 30 ans.

Cet accord fait écho à la croissance de la société Jaguar Network dont Telehouse a été l’un des partenaires historiques en l’hébergeant au sein de son datacenter de TH2 Paris. Jaguar Network offre aujourd’hui en retour à Telehouse une nouvelle opportunité de développer son offre sur son campus historique de Marseille.

 

Leur ambition commune est de contribuer à hisser la métropole dans le top 5 des villes les plus connectées au monde, et de renforcer l’autoroute numérique Paris / Marseille, afin de placer la France au centre des échanges internationaux de données. La dynamique de Marseille s’appuie sur son maillage de câbles sous-marins reliant l’Asie / Pacifique à l’Europe avec un axe Marseille / Francfort / Amsterdam.

En 2023, la capacité passera de 150 térabits à 720 térabits grâce au câble Google Blue Raman (Inde, Arabie Saoudite et Marseille en évitant l’Egypte) d’une longueur de 8 000 km.

Grâce au savoir-faire historique de Telehouse et l’implantation locale de Jaguar Network, les clients pourront bénéficier de l’ensemble des fibres existantes ou futures.

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

Le vendredi, 02 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

À partir de janvier 2022, l’opérateur britannique EE va réintroduire les frais d’itinérance en Europe. Il s’agit du premier opérateur mobile du Royaume-Uni à sauter le pas, alors qu’il avait précédemment déclaré qu’il n’allait pas réintégrer les frais de roaming.

 

Il entend facturer à ses nouveaux clients britanniques des frais supplémentaires pour utiliser leur téléphone portable en Europe. Tous les nouveaux inscrits, ainsi que les utilisateurs souhaitant upgrader leurs offres à partir du 7 juillet 2021, devront payer 2 £ par jour pour utiliser leur forfait dans 47 destinations européennes.

 

La Commission européenne a quant à elle proposé, il y a quelques mois, de prolonger de 10 ans la suppression des frais d’itinérance entre les différents pays de l’UE. Cette mesure, effective depuis juin 2017, devait initialement prendre fin en 2022. Elle concerne les 27 États membres de l’UE, ainsi que l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège, mais pas le Royaume-Uni. En effet, Brexit oblige, il a cessé d’appliquer les règles européennes le 1er janvier.

Selon une enquête Eurobaromètre, la moitié des Européens possédant un téléphone portable se sont rendus dans un autre pays de l’UE au cours des deux dernières années. Au cours de l’été 2019, l’utilisation des services de données en itinérance a été multipliée par 17 par rapport à l’été 2016, celui qui a précédé la suppression des frais d’itinérance.

 

En janvier dernier, EE, O2, Three et Vodafone affirmaient qu’ils n’avaient pas l’intention de réintroduire des frais d’itinérance, même si le Brexit leur donnait la possibilité de le faire. EE justifie à présent que le fait de réintroduire ces frais va permettre de « soutenir les investissements dans notre service clientèle basé au Royaume-Uni, et dans notre réseau britannique de premier plan ». Ces frais supplémentaires ne s’appliqueront pas aux utilisateurs britanniques en République d’Irlande.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Le chiffrement du réseau mobile 2G diminué délibérément

Le vendredi, 25 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le chiffrement du réseau mobile 2G diminué délibérément

D’après des chercheurs français, allemand et norvégien, les algorithmes de chiffrement GEA-1 et GEA-2 utilisés dans les réseaux de data mobile dans les années 1990 et 2000 ont été affaiblis, dont l’un dès sa conception. Basé sur la technologie 2G, ils avaient pour vocation de sécuriser le standard GPRS (General Packet Radio Service). Aujourd’hui, ce réseau continue à servir pour les systèmes de M2M ou comme solution de secours pour les data, les SMS et appels mobiles. La plupart des terminaux actuels sont compatibles avec le GPRS.

 

L’objectif de ces deux algorithmes est de sécuriser le transfert de données entre les téléphones et les stations de base afin d’éviter l’interception des communications. Or les experts ont constaté, par exemple, que GEA-1 ne chiffrait pas en 64 bits comme prévu mais seulement en 40 bits. Avec un niveau de sécurité rabaissé, un réseau d’ordinateur peut par force brute plus facilement découvrir la clé et lire les flux.

Pour étayer cette théorie, les spécialistes ont fait de la rétroconception de GEA-1 et GEA-2. En recréant le premier, ils se sont aperçus que leur algorithme était plus sûr que la version initiale. Écartant la notion de hasard, ils estiment que cet affaiblissement de la sécurité était voulu dès la conception de l’algorithme.

 

Ces algorithmes ont été élaborés par l’ETSI (European Telecommunications Standards Institute) en 1998 par un groupe de travail dédié. L’organisme européen a admis que GEA-1 contenait une faiblesse. Mais il explique qu’elle avait été introduite pour respecter les règlements sur l’exportation qui ne prévoyaient pas de chiffrement plus fort. À noter que pour GEA-2, les règles ont été assouplies au moment de sa conception, mais les chercheurs ont réussi à déchiffrer le trafic. Ils préconisent ainsi de s’appuyer sur l’algorithme GEA-3 et supérieurs plus robustes.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

Le vendredi, 25 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

La nouvelle filiale de SNCF Réseau, Terralpha, arrive pour commercialiser la bande passante offerte par les plus de 20 000 km de fibres qui serpentent la France métropolitaine sous les rails des trains. Les fibres, étant tirées de ville en ville, ne souffrent pas des ralentissements causés par les raccords que les opérateurs mettent sur chaque embranchement.

De plus, ce réseau de fibres constitue une alternative nationale au réseau des quatre grands opérateurs. Les 2 000 opérateurs alternatifs vont désormais pouvoir interconnecter un siège à Lille avec sa succursale à Marseille, sans avoir à attendre pendant des semaines une autorisation, sans devoir payer le prix fort qu’impose leur concurrent national. Et, surtout, avec une meilleure latence.

 

Ces plus de 20 000 kilomètres de fibres étaient déjà disponibles à la location. Mais il s’agissait de faire au cas par cas : SNCF Réseau, ne fournissant que des liens 100 Gbit/s, c’est à son client qu’il incombait d’installer un routeur à chaque bout pour faire circuler son trafic. Et à part les grands opérateurs, personne ne savait installer de routeur sur ces fibres.

 

Pour se brancher, Terralpha a choisi de s’associer avec la chaîne de datacenters en colocation Telehouse. « Notre stratégie est d’être présent sur les places de marché télécoms. C’est-à-dire dans les salles réservées aux interconnexions des opérateurs dans les datacenters. Les plus importantes se trouvent sur le campus TH2 de Telehouse à Paris, qui réunit 300 opérateurs télécoms », argumente Gabriel Chenevoy, le PDG de Terralpha.

D’autant que TH2 dispose d’un système informatique de pointe qui surveille une à une les 50 000 fibres qui circulent dans ses salles opérateurs. La courbure et le trajet de chaque fibre seraient consciencieusement étudiés.

 

Mise à part Orange et SFR, Bouygues Telecom et Iliad commencent eux aussi à revendre de la bande passante sur leurs réseaux nationaux aux opérateurs alternatifs. Kosc était jusque-là le seul opérateur d’infrastructures indépendant par lequel les prestataires locaux pouvaient passer, pour offrir une connectivité nationale à leurs clients. C’est donc plutôt lui que concurrence aujourd’hui Terralpha. Après des déboires financiers, Kosc a finalement été racheté il y a un an par Altitude Infrastructure, un ex-opérateur alternatif qui a recentré son activité sur la pose de fibres.

Si Altitude Infrastructure jouit d’une bonne image auprès des collectivités locales, son défi reste de relier entre eux des segments de fibres éparpillés sur le territoire. C’est sur ce point où Terralpha prétend avoir une longueur d’avance.

 

 

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Source : Le Mag IT

 

 

 

 

Internet : Akamai s’excuse d’une panne

Le vendredi, 18 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Internet : Akamai s’excuse d’une panne

Les services Internet de 500 clients, notamment des banques et des compagnies aériennes, ont été inaccessibles pendant plusieurs heures à cause d’une panne chez Akamai. Il ne s’agit pas d’une cyberattaque mais bien d’un souci technique. En effet, c’est une mauvaise manipulation du service de protection DdoS d’Akamai qui a provoqué les problèmes.

 

Parmi les clients concernés figurent trois grandes banques australiennes : la Commonwealth Bank of Australia, Westpac et ANZ. L’Australia Post a également été touchée, tout comme la compagnie aérienne Virgin Australia.

 

La dernière grosse panne en date d’Internet a eu lieu la semaine dernière et a été causée par le CDN Fastly. Pour le coup, beaucoup de monde a subi la panne, dont l’Europe.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

Le vendredi, 18 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

De nombreux territoires n’ont toujours pas accès à une connexion Internet rapide et efficace en Auvergne-Rhône-Alpes et autre part en France. C’est pourquoi, l’État et l’Arcep ont développé leNew deal mobile afin de répondre à ce problème, en uniformisant la couverture de l’Internet mobile au niveau national.

 

Si l’État est à l’initiative de ce projet, ce sont les opérateurs mobiles qui le gère directement. Free, Bouygues Telecom, Orange et SFR sont donc chargés de l’investissement pour la conception de ces nouveaux réseaux. Même si, malgré l’absence de subventions, l’État pilote en réalité ce projet audacieux et partage ses objectifs aux opérateurs qui doivent s’y aligner.

 

Selon les services de l’État, en collaboration avec les collectivités territoriales, 509 zones seraient jugées prioritaires en région Auvergne-Rhône-Alpes. 64 nouveaux sites supplémentaires doivent être équipés dans la région Auvergne-Rhône-Alpes suite à la publication du dernier arrêté du 9 avril dernier.

 

Cependant, en raison des nombreuses zones montagneuses de la région, installer les équipements nécessaires à la bonne propagation du réseau est beaucoup plus difficile. Cela explique pourquoi la région connaît autant de zones qui n’ont pas accès à une bonne connexion Internet et pourquoi elle doit porter une attention particulière.

Toutefois, la crise sanitaire rend ce projet beaucoup plus difficile à mettre en place et de nombreux retards sont à souligner.

 

 

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Source : ECOMNEWS

 

 

 

 

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Selon les derniers chiffres publiés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), la France compte aujourd’hui 25 105 sites 5G autorisés, dont 14 284 déclarés techniquement opérationnels par les opérateurs.

 

En hausse de 3,7 % sur un mois, la progression du nombre de sites 5G doit beaucoup à l’héritage des réseaux passés – et surtout de la 4G. L’ANFR rappelle en effet que « la quasi-totalité de ces implantations 5G a été autorisée sur des sites existants, déjà utilisés par les technologies 2G, 3G ou 4G » et que seuls deux sites mobiles en France n’hébergent que de la 5G.

 

Selon les déclarations des opérateurs, 56,9 % des 25 105 sites 5G autorisés à la fin du mois de mai sont techniquement opérationnels. Les grandes tendances du déploiement effectué en ordre dispersé par les opérateurs jusqu’à maintenant se dessinent alors.

Free confirme son attrait pour la bande des 700 MHz à des fins de couverture accélérée du territoire.16 683 sites 5G sont comptabilisés dans cette bande de fréquence, dont 9 584 sont déclarés techniquement opérationnels.

Tactique similaire chez Bouygues Telecom, Orange et SFR. Les trois opérateurs s’appuient sur la bande des 2,1 GHz, déjà exploitée pour la 4G. Fin mai, ils disposaient ainsi de 8 376 sites 5G autorisés sur cette bande, pour 3 973 déclarés techniquement opérationnels.

 

Les opérateurs n’en oublient pas pour autant la “bande reine” de la 5G, celle des 3,5 GHz puisqu’ils semblent bien décidés à passer la seconde sur cette bande spécifique à la 5G.

L’ANFR décompte ainsi 8 550 sites 5G autorisés sur cette bande fin mai, dont 3 973 sont déclarés techniquement opérationnels. De bon augure pour la suite du déploiement de la nouvelle génération de technologie mobile.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Sur le fixe, 51 % des abonnements sont en THD

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sur le fixe, 51 % des abonnements sont en THD

L’observatoire du marché haut et très haut débit pour le premier trimestre vient d’être publié par l’Arcep. Le régulateur constate ainsi que « la progression du nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à +1,1 million, soit un rythme de croissance de +170 % par rapport au premier trimestre 2020 ».

Ce qui signifie que « le nombre d’abonnements à très haut débit atteint ainsi à 15,7 millions, et représente désormais plus de la moitié (51 %) du nombre total d’abonnements internet sur le territoire français (+9 points en un an) et 53 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, en croissance de 6 points en un an ».

 

Les chiffres concernant les déploiements de la fibre aussi sont à la fête : « les Réseaux d’Initiative publique réalisent leur meilleur trimestre de déploiement et dépassent en rythme les déploiements des opérateurs privés en zone AMII. Le rythme global des déploiements reste élevé au cours du premier trimestre 2021, avec 1,5 million de lignes FTTH ».

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

Panne massive des numéros d’urgence

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Panne massive des numéros d’urgence

Pendant environ sept heures le 02 juin au soir, les numéros du Samu (15), de la police (17), des pompiers (18) et le numéro européen unique d’urgence (112) étaient quasiment inaccessibles. Orange, par l’intermédiaire de son PDG Stéphane Richard, avait alors présenté « ses plus vives excuses ». Puis, ce 04 juin en début de matinée, l’opérateur historique a annoncé avoir lancé une enquête interne « approfondie ».

 

Une annonce qui a précédé la réunion de la cellule interministérielle de crise. « Les choses sont rentrées dans l’ordre » et « la situation est redevenue sous contrôle au moment où je m’exprime », a déclaré Jean Castex vers 09H00, à l’issue de cette réunion qu’il a présidée.

« Nous déplorons des victimes qui sont susceptibles d’avoir été causées par ce grave incident », a confirmé le Premier ministre.

Le chef du gouvernement a insisté sur le fait qu’« il faudra établir très clairement la cause des faits qui se sont produits et surtout les moyens pour qu’ils ne se reproduisent plus ».

 

Pour l’heure, Orange a déjà lancé une enquête interne approfondie. L’inspection générale de l’opérateur téléphone « devra mener les investigations nécessaires pour identifier les causes précises de cet incident et émettre des recommandations pour tirer tous les enseignements nécessaires », a précisé Orange.

Des conclusions attendues d’ici sept jours. « En lien avec la cellule interministérielle de crise, nous avons mis en place hier soir une cellule dédiée afin de résoudre d’éventuels dysfonctionnements locaux qui pourraient apparaître », a ajouté l’opérateur téléphonique, alors que des « perturbations » subsistaient encore le 03 juin « de façon aléatoire ».

 

Interrogé sur l’origine de cette panne, Stéphane Richard a d’ores et déjà écarté l’hypothèse d’une cyberattaque. Cet incident est « plus probablement » dû à « une défaillance logicielle dans (les) équipements critiques de réseaux », c’est-à-dire des plateformes chargées d’acheminer des appels.

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Nouvelle structure indépendante bénéficiant de ses infrastructures en propre et de la décennie d’expérience de Nerim, Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est spécialisée dans l’hébergement et le Cloud computing.

« Depuis deux ans, des dizaines de collaborateurs ont conçu de nouvelles infrastructures et des offres basées sur les besoins réels de nos clients. Ce que propose Bouygues Telecom Entreprises OnCloud aujourd’hui est unique sur le marché, tant par la qualité du conseil qu’elle apporte que par son agilité technique et commerciale » justifie François Treuil, Directeur de Bouygues Telecom Entreprises.

 

Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est à la fois opérateur, intégrateur et hébergeur et veut s’affirmer comme un ‘pure player’ du cloud. Son ambition est d’être rapidement reconnu comme un Cloud de confiance, selon la nouvelle appellation du gouvernement français dans le cadre de la Stratégie nationale pour le cloud. Toutefois, cette reconnaissance passe par une certification SecNumCloud délivrée par l’ANSSI. Un processus complexe, contraignant et coûteux qui demandera plusieurs mois, voire plusieurs années.

 

Un nouvel acteur qui veut ratisser large en s’adressant aussi bien aux PME et ETI qu’aux collectivités publiques et aux grands groupes. L’opérateur veut à la fois proposer des services cloud IaaS publics mais aussi aider les entreprises à bâtir leurs propres clouds privés.

 

Reste que le terrain est déjà encombré entre les hyperscalers américains (AWS, Azure, GCP, OCI, IBM Cloud…), les petits hébergeurs locaux ou encore OVHcloud et 3DS Outscale, déjà certifiés SecNumCloud. Sans oublier Scaleway et l’encore naissant Bleu (fruit d’une joint venture entre Capgemini et Orange). Et sans compter sur l’initiative Gaia-X qui doit permettre aussi à d’autres opérateurs européens de s’implanter plus fortement en France. La concurrence va être rude…

 

 

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Source : Informatique News

 

 

 

 

IPv6 : la France se tourne vers l’UE

Le jeudi, 31 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

IPv6 : la France se tourne vers l’UE

Début juin, l’AOTA, Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs, avait demandé au gouvernement de « se saisir de la transition vers IPv6 et de la préservation de l’équilibre concurrentiel ».

 

La Direction Générale des Entreprises (DGE) vient de lui répondre : « la transition vers ce nouveau protocole de communication apparaît aujourd’hui comme un enjeu majeur de compétitivité et d’innovation ». Cependant, celle-ci affirme que « les capacités d’action du gouvernement en la matière sont cependant limitées par l’absence de base législative l’autorisant à réglementer ce type de ressources, du fait que les adresses IP sont gérées au niveau international par l’ICANN et attribuées directement au niveau européen par le registre Internet européen, le RIPE NCC basé à Amsterdam ».

Pour apporter une solution, « les autorités françaises vont proposer à la présidence du Conseil de l’Union européenne qu’elle mette à l’agenda d’un groupe de travail du Conseil “Télécommunications et société de l’information” la question de la transition vers l’IPv6 et qu’elle se saisisse de l’Organe des régulateurs européens des communications électroniques (ORECE) pour avis sur ce dossier ».

 

Malgré une « timide réponse », l'AOTA se félicite que l’État prenne la question au sérieux. La DGE rappelle également que l'Arcep peut jouer un rôle d’appui pour faciliter la transition vers IPv6, et qu’une « “task force” sera prochainement mise en place par l’Arcep sur ce sujet ».

 

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Le jeudi, 31 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

La Cour d’appel valide la décision de l'Arcep

Engagé depuis plusieurs années dans le co-financement des réseaux FTTH déployés par Orange, Free contestait plusieurs termes de son contrat avec l’opérateur historique. L’Autorité de régulation avait réglé ce litige en faveur de Free mais Orange en contestait depuis la légalité. La Cour d’appel de Paris a confirmé la décision de l’Arcep dans un arrêté du 26 septembre 2019.

 

Le renouvellement prévu de la durée et des conditions d’accès aux infrastructures d’Orange étaient contestées par Free. L’Arcep a confirmé qu’elles ne permettaient pas de satisfaire les besoins de visibilité et de transparence de Free et a donc imposé à Orange d’accorder un droit d’accès d’une durée définie et d’au moins 40 ans. Dans son arrêté, la Cour d’appel a confirmé que ces conditions ne sont « pas suffisamment précises eu égard au besoin de visibilité de la société Free sur la durée effective de ce droit ».

Par ailleurs l'Arcep a estimé qu’il était justifié et raisonnable pour Free d’obtenir des éléments de visibilité sur la formation des tarifs d’accès aux réseaux FTTH d’Orange en zones moins denses d’initiative privée. Ce que la Cour d’appel a également appuyé en indiquant que ces tarifs étaient « directement lié aux conditions financières de l’offre, dont il tend à garantir le caractère équitable ».

Enfin, l’Autorité de régulation a estimé que l’opérateur historique devra permettre à Free de raccorder les stations de base mobiles en zones moins denses d’initiative privée via les fibres optiques surnuméraires du réseau FTTH déployé par Orange et cofinancé par Free. Un point n’ayant pas fait l’objet d’une contestation d’Orange dans le cadre de son recours.

 

En outre, la Cour d’appel de Paris a estimé que la décision ne portait pas atteinte au secret des affaires et confirmé l’analyse de l’Arcep. Et relevant ainsi que les informations qu’Orange doit fournir à Free en application de la décision « se caractérisent par leur très fort degré d’agrégation, tant géographique que par postes de dépenses ».

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Kosc s’offre quelques semaines de sursis

Le mercredi, 23 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Kosc s’offre quelques semaines de sursis

L’opérateur wholesale-only Kosc est sur la sellette. Son président, Yann de Prince, a confirmé qu’il ne reste plus que quelques semaines pour trouver une issue à ses problèmes financiers lors de son audition début octobre par le Sénat.

« L’entreprise n’ayant pas encore atteint l’équilibre d’exploitation, ne pouvant donc en principe pas convaincre le tribunal de sa capacité à poursuivre son activité, la logique commandait en effet que nous procédions, non à une cessation de paiement, mais à la liquidation pure et simple », a expliqué le dirigeant de l’opérateur de gros alternatif.

« Le processus que j’ai engagé ouvre à l’entreprise un délai fort bref, de deux mois, pour essayer de surmonter ses difficultés » a-t-il fait savoir. Yann de Prince a mandaté la banque d’affaires Rothschild, début septembre, afin de « trouver des investisseurs ou tout partenaire qui pourraient contribuer à sauver ou reprendre l’entreprise ».

« L’issue du processus initié au début du mois de septembre est fixée à fin octobre 2019. Il pourra être prorogé de deux mois. Sa condition principale tient au paiement des prochains salaires. Ce paiement dépend lui-même d’un nouvel engagement des actionnaires ou de la levée des saisies de SFR. Si l’un ou l’autre ne se réalise pas, nous n’éviterons probablement plus l’écueil de la liquidation », a précisé le patron de Kosc.

 

En proie à de graves problèmes de trésorerie, l’opérateur a en effet vu son horizon s’obscurcir considérablement ces dernières semaines. L’incertitude pèse sur l’opérateur suite à la décision défavorable de l’Autorité de la Concurrence concernant la reprise du réseau DSL de Completel, auparavant détenu par SFR, et le retrait de l’un de ses investisseurs majeurs, la Banque des territoires.

« Kosc se trouve à cette heure dans une situation de blocage. Le 27 septembre 2019, instrumentalisant la décision de l'ADLC en plein processus de discussion avec les créanciers, SFR a en effet procédé à une saisie conservatoire des comptes et de l’ensemble des créances clients de l’entreprise. Kosc ne dispose ainsi plus d’aucune liquidité. Des huissiers se présentent régulièrement dans nos locaux. Dès la fin du mois d’octobre, elle sera confrontée au problème du paiement des salaires sauf intervention supplémentaire de nos actionnaires », a fait savoir le directeur du contrôle financier et des affaires réglementaires de Kosc.

 

L’heure est désormais à l’urgence. « La situation de Kosc est aujourd’hui simple : soit dans les prochaines semaines, les actionnaires seront suffisamment convaincus et décideront d’apporter les fonds suffisants permettant à l’entreprise de retrouver une certaine marge de manœuvre, nécessaire à la mise en place d’une solution pérenne, soit l’entreprise sera liquidée ou cédée », a expliqué son président.

D’autant que OVH, l’un de ses investisseurs historiques, pourrait bien jouer la fille de l’air puisque les activités télécoms ne font plus office de priorité pour lui.

Mais l’opérateur ne manque pas de prétendants à sa reprise. Le président de l’opérateur a ainsi fait savoir « En dépit d’une situation des plus défavorables, malgré l’urgence dans laquelle il est demandé à ces possibles partenaires de se positionner, seize [candidats] se sont d’ores et déjà manifestés » en précisant qu’il s’agit majoritairement de partenaires industriels.

Bouygues Telecom et Iliad pourraient être candidats à cette reprise. Une information à prendre encore au conditionnel, mais qui pourrait sembler plausible alors que les deux opérateurs ont des vues sur ce marché juteux.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Le guichet France THD rouvre ses portes

Le mercredi, 23 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Le guichet France THD rouvre ses portes

Le gouvernement a annoncé de nouveaux financements pour les réseaux publics de fibre optique. Depuis deux ans les collectivités et les industriels de la fibre réclament cette réouverture du guichet de subventions aux Réseaux d’Initiatives Publiques. Celle-ci se fera toutefois au compte-gouttes puisque seulement 140 millions d’euros y seront affectés en 2020. Une somme issue des économies réalisées sur les programmes lancés précédemment, à la faveur d’économies d’échelle sur les travaux de déploiement mais aussi de l’appétit croissant des investisseurs privés pour ces projets très rémunérateurs.

 

Des fonds restant toutefois bien loin des besoins estimés pour compléter, ou presque, le déploiement en fibre optique sur quelque 25 départements d’ici 2025. Parmi ceux n’y trouvant pas leur compte, la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et Régies. Jean-Luc Sallabery, en charge du département numérique de la FNCCR, a réagi et pour lui l’enveloppe annoncée par le gouvernement n’est pas « à la hauteur de l’enjeu ». Il y a quelques jours seulement, la Fédération réclamait un abondement du guichet à hauteur d’un milliard d’euros.

Cela devrait couvrir environ 20 % du montant nécessaire aux 3 millions de lignes de fibre optique restant à déployer. Soit relativement peu au regard des 36 millions de locaux français, mais « ce sont les plus compliquées, avec un coût prévisionnel est de 1 500 – 1 600 euros à la prise. Soit un coût total de 4,5 à 5 milliards d’euros », calcule Jean-Luc Sallabery. Il se désole ainsi de la “double peine” infligée aux territoires : des déploiements sur fonds privés en AMEL, dont il doute qu’ils soient réellement achevés, et des financements réduits pour les collectivités ayant choisi de conserver le modèle RIP.

 

L’arithmétique gouvernementale suscite d’autant plus d’interrogations qu’elle ne cadre pas avec la dynamique des projets en cours. Ainsi, si l’Avicca, l’association des collectivités pour le Numérique, à crier “victoire” suite à cette annonce, c’est en réalité pour mieux pointer les efforts qui devront immédiatement être consentis. « Les parlementaires devront impérativement se mobiliser dans le cadre du projet de loi de finances pour permettre à l’ensemble des premières demandes, prêtes à être déposées, d’être accompagnées », souligne-t-elle. Coût estimé : 322 millions d’euros supplémentaires.

Une enveloppe additionnelle que les députés devront débloquer sous peine d’assister à une “foire d’empoigne” entre des territoires qui, pour lancer leurs projets, n’auront pas le loisir d’attendre d’hypothétiques économies prévient Ariel Turpin. L’État compte réaliser ces économies au fur et à mesure en recyclant les crédits non utilisés, afin de rassembler les 4 à 500 millions qu’il estime nécessaires. Cette mécanique doit permettre au gouvernement de rester dans le budget initialement dévolu au guichet France THD soit 3,3 milliards. Mais de son côté l’association des collectivités pour le Numérique continue de le juger sous-évalué pour apporter la fibre optique sur l’ensemble du territoire.

 

En revanche, pour InfraNum ça passe. « J’abonde au discours gouvernemental. Il y a des économies qui sont faites dans les déploiements, et l’enveloppe des 3,3 milliards devrait effectivement suffire pour assurer la totalité des demandes collectivités territoriales » réagit Étienne Dugas, le président de la Fédération des industriels du Très Haut Débit.

La relative modestie des 140 millions d’euros promis dans un premier temps ne l’émeut pas outre-mesure. « Ce n’est pas un problème d’argent. Pour les prises qui restent, il suffit de les lancer en concession et la demande de subventions sera quasi nulle », tranche-t-il.

« Ce qui était important, c’était de rouvrir le guichet pour pouvoir instruire les dossiers », conclut le patron d'InfraNum. Par ailleurs satisfait d’une autre annonce, celle de la signature du contrat stratégique de filière infrastructures du numérique « d’ici à la fin de l’année ».

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Dans un rapport publié avec l’Agence européenne pour la cybersécurité sur la sécurisation des réseaux 5G, la Commission européenne a prévenu les États membres de l’UE de la dangerosité de la nouvelle technologie de télécommunication sans fil. Pour la Commission, le déploiement de la 5G risque de « créer un nouveau paradigme de sécurité rendant nécessaire une réévaluation de la politique actuelle et du cadre de sécurité applicable au secteur et à son écosystème et indispensable pour que les États membres prennent les mesures d’atténuation nécessaires ».

 

Plus en détail, ce rapport préconise de revoir la conception actuelle des réseaux 3G et 4G et met en garde contre le recours à un fournisseur unique, particulièrement ceux n’étant pas basés dans l’Union européenne sans toutefois prononcer le nom de Huawei. « Le rôle accru des logiciels et des services fournis par des fournisseurs tiers dans les réseaux 5G conduit à une plus grande exposition à un certain nombre de vulnérabilités qui peuvent découler du profil de risque des fournisseurs individuels ».

 

La Commission européenne explique également « Si la technologie et les normes des réseaux 5G apporteront également certaines améliorations en matière de sécurité par rapport aux générations précédentes, plusieurs défis importants découlent des nouvelles caractéristiques de l’architecture du réseau et de la vaste gamme de services et d’applications, qui pourraient à l’avenir dépendre largement des réseaux 5G. […] D’importantes failles de sécurité, telles que celles qui découlent de mauvais processus de développement de logiciels chez les fournisseurs d’équipement, pourraient faciliter l’insertion malveillante par les acteurs de portes dérobées intentionnelles dans les produits et les rendre plus difficiles à détecter. Cela peut accroître la possibilité que leur exploitation ait un impact négatif particulièrement grave et généralisé ».

 

Il est ajouté dans le rapport que les pays membres de l’UE ne devraient pas juger les fournisseurs de réseaux 5G à leurs seules qualités techniques et les évaluer sur la base des « vulnérabilités non techniques liées aux réseaux 5G », telles que le pays du fournisseur n’ait « aucun contrôle et équilibre législatif ou démocratique en place, ou en l’absence d’accords de sécurité ou de protection des données entre l’UE et le pays tiers donné » ou que la structure du propriétaire du fournisseur et la capacité pour son propre pays à « exercer toute pression, notamment par rapport à la fabrication du matériel ». Si le nom de Huawei n’est pas prononcé, impossible de ne pas y penser…

 

Dans la foulée, Huawei s’est une nouvelle fois défendue de toute ingérence par les autorités chinoises « Nous sommes une entreprise 100 % privée, détenue à 100 % par ses employés, et la cybersécurité est une priorité absolue : notre système d’assurance de la cybersécurité de bout en bout couvre tous les domaines de processus, et notre solide expérience prouve qu’il fonctionne ».

 

Nul ne dit que la Commission répondra à cette main tendue puisqu’elle a semble-t-il également décidé de balayer une autre option proposée par Huawei. En effet, le constructeur chinois avait indiqué pouvoir se contenter de n’intervenir que sur des parties jugées moins sensibles des futurs réseaux 5G des pays membres de l’UE.

 

Les prochaines étapes de réflexion de l’Union européenne déboucheront sur la publication d’une panoplie de mesures d’atténuation pour faire face aux risques identifiés en matière de cybersécurité aux niveaux National et de l’Union d’ici au 31 décembre 2019. Enfin, les États membres devraient évaluer les effets de la recommandation afin de déterminer s’il y a lieu de prendre de nouvelles mesures d’ici au 1er octobre 2020. Cette évaluation devrait tenir compte des résultats de l’évaluation européenne coordonnée des risques et de l’efficacité des mesures.

 

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

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