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Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le vendredi, 30 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

Pas de cœurs de réseau 5G Huawei en Italie

Le gouvernement italien vient d’opposer, pour la première fois, son véto à la signature d’un accord entre l’opérateur Fastweb et Huawei pour la fourniture des cœurs de réseau 5G. Une décision laissant à penser que l’Italie pourrait revoir sa position quant à la présence d’équipements Huawei sur son réseau 5G.

Huawei avait été sélectionné par Fastweb, la division italienne de Swisscom, comme unique fournisseur du cœur de réseau. Un fait qui a sans doute poussé le gouvernement à mettre son veto.

 

Si d’autres pays comme le Royaume-Uni et la France ont déjà pris des décisions afin d’interdire, à terme, l’accès de Huawei aux réseaux 5G, l’Italie n’avait pas encore pris de décision allant dans ce sens. Cependant, certains proches du gouvernement ou acteurs du monde industriel affirment que Rome adopte de fait une ligne pro-américaine sur la 5G. Les entreprises utilisant les équipements Huawei pour leur réseau 5G sont soumises à des restrictions sur les interventions à distance pour résoudre des problèmes techniques et un seuil de sécurité extrêmement élevé.

 

Afin de pouvoir se retirer, si Rome impose des conditions trop coûteuses en échange de son feu vert, les entreprises de Télécom italiennes ont inclus des clauses de sorties dans les contrats passés avec Huawei sur la 5G. Telecom Italia (TIM) est même allé jusqu’à exclure Huawei d’un appel d’offres concernant son cœur de réseau 5G. Le gouvernement italien pourrait donc revoir sa position concernant le rôle de Huawei dans la 5G et notamment pour la partie cœur de réseau.

 

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Le jeudi, 22 octobre 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : Huawei et ZTE bannis du réseau suédois

Après le Royaume-Uni en juillet, c’est au tour de la Suède de bannir explicitement les groupes chinois Huawei et ZTE de son nouveau futur réseau télécoms 5G, invoquant la sécurité nationale.

Une décision prise à la suite d’un examen de l’Autorité suédoise de régulation des télécoms (PTS), associée à l’armée et au renseignement, visant à « garantir que l’utilisation des fréquences ne met pas en danger la sécurité de la Suède ».

 

Huawei et ZTE seront donc bannis de toutes les « fonctions centrales », c’est-à-dire peu ou prou l’ensemble du réseau selon l’inventaire dressé par la PTS. D’ici le 1er janvier 2025, les équipements déjà installés pouvant servir à la 5G devront être retirés. Un délai encore plus court que celui fixé par Londres, qui a donné jusqu’à 2027.

 

En chef de file de la campagne contre Huawei, les États-Unis. Depuis le spectaculaire bannissement du groupe chinois par le président Donald Trump en mai 2019, Washington encourage ouvertement ses partenaires européens à faire de même. Les services de renseignement américains craignent avant tout que Huawei ne permette aux autorités chinoises d’utiliser ses équipements pour surveiller les communications et trafics de données. Huawei assure qu’il refuserait toute demande de ce type émanant du renseignement chinois.

 

Si le Japon et l’Australie ont suivi le mouvement américain, les positions européennes restent largement divergentes et les préconisations prises par Bruxelles sont non contraignantes. Sans l’avoir exprimé publiquement, la France a en fait banni l’utilisation d’équipements Huawei pour la 5G dans les « zones très denses ». Les périodes d’utilisation des équipements seront également limitées à huit ans.

La Slovénie et la Roumanie également pris des mesures facilitant la mise à l’écart de Huawei des appels d’offres. L’Espagne, la Pologne ou la Grèce, prévoient eux en revanche que les opérateurs puissent utiliser les équipements de Huawei.

 

 

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Source : FRENCHWEB.FR

 

 

 

 

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Le vendredi, 28 août 2020. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues va retirer 3 000 antennes Huawei

Olivier Roussat, directeur général adjoint du groupe Bouygues, a annoncé que l’opérateur Télécom va progressivement retirer des antennes relais pour la téléphonie mobile fabriquées par Huawei. Implantées dans des zones denses en France, 3000 antennes seront concernées d’ici à 2028. Une décision prise à la demande du gouvernement français pour des raisons de sécurité du réseau 5G.

 

En effet, l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) va accorder des autorisations aux opérateurs télécoms pour utiliser des équipements 5G, y compris ceux fabriqués par Huawei, d’une durée maximale de 8 ans. Lorsqu’elles arriveront à échéance, les autorisations d’exploitation des équipements Huawei ne devraient pas être renouvelées.

Résultat : en 2028, le géant chinois pourrait être totalement évincé des réseaux 5G français.

 

Afin d’anticiper cette décision, Bouygues commence dès aujourd’hui à retirer et remplacer les antennes fabriquées par Huawei. Cela lui permet aussi de limiter l’impact financier de cette décision. Bouygues n’a pas précisé quelle entreprise allait remplacer Huawei.

 

Olivier Roussat a également indiqué que des discussions étaient en cours avec les autorités françaises afin de compenser l’interdiction des équipements Huawei, très coûteuse pour l’opérateur français. Mais sans en dire plus. Il a toutefois précisé que le groupe avait lancé en parallèle plusieurs procédures judiciaires à l’encontre de l’État français.

 

 

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Source : L'Usine Digitale

 

 

 

 

Le R-U exclut Huawei de ses réseaux mobiles

Le vendredi, 17 juillet 2020. Posté dans Archives Rezopole

Le R-U exclut Huawei de ses réseaux mobiles

Le Royaume-Uni confirme son changement de position vis-à-vis de l’équipementier chinois Huawei avec une exclusion totale de ses infrastructures. D’ici la fin de l’année prochaine, les opérateurs ne pourront plus acheter d’équipements Huawei. Ils devront également prendre les mesures nécessaires pour extirper tous les matériels de leurs réseaux, nouveaux comme anciens, avant 2027.

Une décision qui aura sans doute un impact sur le rythme de déploiement de la 5G dans le pays. Un retard estimé à trois ans pour un coût de 2 milliards de livres.

Un changement de cap justifié par la sécurité nationale et la préservation de l’économie, même si de sérieuses tensions sont à prévoir avec la Chine dans les mois à venir.

 

Un porte-parole de Huawei a logiquement évoqué une décision décevante. L’équipementier Télécom assure que les restrictions imposées à son activité par les États-Unis ne sont pas des obstacles insurmontables et appelle le gouvernement britannique à revoir sa position.

 

Le Royaume-Uni, en tant que membre des Five Eyes, est particulièrement sensible aux menaces agitées par les USA et aux pressions remettant en cause ces échanges privilégiés entre pays.

Une réaction face, également, aux récents événements qui ont vu la Chine tenter de reprendre le contrôle de Hong Kong malgré des mois de manifestations.

 

Côté opérateurs, on accuse le coup. Il leur faudra environ cinq ans pour écarter les équipements Huawei de leurs réseaux. 

 

 

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Source : GNT

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

Huawei : lenteurs de l’administration française

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Huawei : lenteurs de l’administration française

À en croire plusieurs spécialistes des Télécoms, l’incertitude des opérateurs sur la possibilité ou non d’utiliser les antennes 5G de Huawei pour leurs nouveaux réseaux mobiles se renforce.

 

Pourtant la loi sur la sécurisation des réseaux mobiles (surnommée « anti-Huawei ») a clarifié les choses. En effet, les opérateurs doivent obtenir le feu vert de l'Anssi – Agence nationale de sécurité des systèmes d’information –  avant d’utiliser un équipement 5G. L’Agence dispose alors de deux mois pour étudier leurs dossiers.

Fin décembre, Orange, SFR et Bouygues Telecom ont ainsi tous les trois déposés des dossiers d’autorisation pour des déploiements d’antennes 5G chinoises sur le territoire hexagonal.

 

Seulement voilà, les cyber-experts tricolores multiplient les demandes de précision, selon plusieurs sources. « Ce n’est pas sérieux, grince-t-on chez un opérateur concerné. S’ils cherchent à gagner du temps de cette façon, c’est une erreur. Un tribunal ne leur donnerait jamais raison, la jurisprudence est très claire ».

 

Ce que redoutent les opérateurs en réalité, c’est que l'Anssi traîne délibérément les pieds pour ne pas avoir à afficher un refus d’autorisation en amont des attributions des fréquences 5G, prévues en avril. Si des équipementiers devaient être refusés aux opérateurs avant cette date, ces derniers seraient alors fragilisés et pourraient donc revoir à la baisse leurs mises pour les enchères 5G...

 

Selon le nouveau cadre légal, l’absence de réponse positive de l'Anssi dans les deux mois vaut refus. Mais ce délai court à réception d’un dossier… complet. D’où l’agacement des opérateurs devant ce qu’un acteur décrit comme « des manoeuvres dilatoires » pour différer l’échéance.

Un spécialiste du secteur indique même que « Certains opérateurs attendent impatiemment un refus implicite pour pouvoir attaquer en justice ».

 

Mais l’intérêt stratégique des quatre acteurs diffère. En effet, Free, n’utilisant que des antennes du finlandais Nokia, n’est pas concerné.

Orange n’utilise pas d’antennes Huawei en France à ce jour. Il veut toutefois avoir la possibilité de solliciter le fournisseur chinois pour son futur réseau 5G.

Quant à SFR et Bouygues Telecom, qui utilisent Huawei sur la moitié de leurs réseaux respectifs, ils tiennent absolument à pouvoir continuer de faire affaire avec le géant de Shenzhen. Se passer de ses antennes 5G nécessiterait en effet de démonter les antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. Le coût serait énorme. Il faudrait acheter et installer ces équipements. Surtout, une large partie du réseau serait perturbée pendant de longs mois, poussant les clients dans les bras de la concurrence. « Free deviendrait, sans rien faire, le deuxième meilleur réseau du pays… alors qu’il reste loin derrière » comme l’analyse un spécialiste des Télécoms.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Le mercredi, 16 octobre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : l'ombre de Huawei plane en Europe

Dans un rapport publié avec l’Agence européenne pour la cybersécurité sur la sécurisation des réseaux 5G, la Commission européenne a prévenu les États membres de l’UE de la dangerosité de la nouvelle technologie de télécommunication sans fil. Pour la Commission, le déploiement de la 5G risque de « créer un nouveau paradigme de sécurité rendant nécessaire une réévaluation de la politique actuelle et du cadre de sécurité applicable au secteur et à son écosystème et indispensable pour que les États membres prennent les mesures d’atténuation nécessaires ».

 

Plus en détail, ce rapport préconise de revoir la conception actuelle des réseaux 3G et 4G et met en garde contre le recours à un fournisseur unique, particulièrement ceux n’étant pas basés dans l’Union européenne sans toutefois prononcer le nom de Huawei. « Le rôle accru des logiciels et des services fournis par des fournisseurs tiers dans les réseaux 5G conduit à une plus grande exposition à un certain nombre de vulnérabilités qui peuvent découler du profil de risque des fournisseurs individuels ».

 

La Commission européenne explique également « Si la technologie et les normes des réseaux 5G apporteront également certaines améliorations en matière de sécurité par rapport aux générations précédentes, plusieurs défis importants découlent des nouvelles caractéristiques de l’architecture du réseau et de la vaste gamme de services et d’applications, qui pourraient à l’avenir dépendre largement des réseaux 5G. […] D’importantes failles de sécurité, telles que celles qui découlent de mauvais processus de développement de logiciels chez les fournisseurs d’équipement, pourraient faciliter l’insertion malveillante par les acteurs de portes dérobées intentionnelles dans les produits et les rendre plus difficiles à détecter. Cela peut accroître la possibilité que leur exploitation ait un impact négatif particulièrement grave et généralisé ».

 

Il est ajouté dans le rapport que les pays membres de l’UE ne devraient pas juger les fournisseurs de réseaux 5G à leurs seules qualités techniques et les évaluer sur la base des « vulnérabilités non techniques liées aux réseaux 5G », telles que le pays du fournisseur n’ait « aucun contrôle et équilibre législatif ou démocratique en place, ou en l’absence d’accords de sécurité ou de protection des données entre l’UE et le pays tiers donné » ou que la structure du propriétaire du fournisseur et la capacité pour son propre pays à « exercer toute pression, notamment par rapport à la fabrication du matériel ». Si le nom de Huawei n’est pas prononcé, impossible de ne pas y penser…

 

Dans la foulée, Huawei s’est une nouvelle fois défendue de toute ingérence par les autorités chinoises « Nous sommes une entreprise 100 % privée, détenue à 100 % par ses employés, et la cybersécurité est une priorité absolue : notre système d’assurance de la cybersécurité de bout en bout couvre tous les domaines de processus, et notre solide expérience prouve qu’il fonctionne ».

 

Nul ne dit que la Commission répondra à cette main tendue puisqu’elle a semble-t-il également décidé de balayer une autre option proposée par Huawei. En effet, le constructeur chinois avait indiqué pouvoir se contenter de n’intervenir que sur des parties jugées moins sensibles des futurs réseaux 5G des pays membres de l’UE.

 

Les prochaines étapes de réflexion de l’Union européenne déboucheront sur la publication d’une panoplie de mesures d’atténuation pour faire face aux risques identifiés en matière de cybersécurité aux niveaux National et de l’Union d’ici au 31 décembre 2019. Enfin, les États membres devraient évaluer les effets de la recommandation afin de déterminer s’il y a lieu de prendre de nouvelles mesures d’ici au 1er octobre 2020. Cette évaluation devrait tenir compte des résultats de l’évaluation européenne coordonnée des risques et de l’efficacité des mesures.

 

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Augmentation des dépenses dédiées aux DC

Le mercredi, 17 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Augmentation des dépenses dédiées aux DC

Boosté par un marché des infrastructures Cloud en pleine expansion, les dépenses en matériels et logiciels dans les DataCenters ont crû de 17 % en 2018. Un marché mondial dominé par Dell EMC suivi par Cisco, Hewlett Packard Entreprise et Huawei. Des investissements motivés par une « demande croissante » en services de Cloud public et par le besoin de configuration « toujours plus riches » d’après Synergy Research Group qui publie ces chiffres. Par conséquent, le prix de vente moyen des serveurs d’entreprise est monté en flèche.

 

Plus en détail, les dépenses consacrées aux achats d'infrastructures pour le Cloud public ont augmenté de 30 % contre 13 % pour celles orientées vers l’équipement des DataCenters d’entreprise. « Les revenus des services Cloud continuent de croître de près de 50 % par an » déclare John Dinsdale, analyste chez Synregy Research Group. « Les revenus du SaaS et du e-commerce augmentent chacun d’environ 30 %. Tous ces facteurs contribuent à une forte augmentation des dépenses pour les infrastructures du Cloud public » ajoute-t-il.

 

Le marché du Cloud public est dominé par les ODM qui représentent la plus grande partie en revenus cumulés. Du côté des marques, on retrouve Dell EMC devant Cisco, HPE et Huawei. Dell EMC s’impose également sur le marché du Cloud privé suivi par Microsoft, HPE et Cisco. Ces quatre fournisseurs figurent en tête sur le marché des DataCenters hors Cloud mais dans un ordre différent.

 

Le total des revenus tirés de l’équipement des DataCenters, y compris le matériel et les logiciels Cloud et hors Cloud s’élève à 150 milliards de dollars en 2018 indique l’analyste. Le marché de l’infrastructure des DataCenters est composé à 96 % par les serveurs, les systèmes d’exploitation, le stockage, la mise en réseau et les logiciels. La sécurité des réseaux et les logiciels de gestion représentant le reste.

 

Par segment, Dell EMC occupe la première place en termes de revenus dans les domaines des serveurs et du stockage. Cisco, quant à lui, surplombe le segment des réseaux. On retrouve ensuite Microsoft, HPE, VMware, Lenovo, Inspur, NetApp et Huawei qui a enregistré la plus forte croissante en un an.

 

« Nous constatons également une croissance relativement forte des dépenses en infrastructures des DataCenters d’entreprises, les principaux catalyseurs étant des charges de travail plus complexes, des exigences hybrides en matière de Cloud, des fonctionnalités de serveur accrues et des coûts de composants plus élevés » conclut M. Dinsdale.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

 

 

Le 100G arrive sur LyonIX !

Le jeudi, 28 décembre 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Le 100G arrive sur LyonIX !

L'équipe technique de Rezopole a finalisé la phase de test des équipements 100G qui s'est déroulée sur 6 semaines. Les équipements en concurrence étaient : Cisco Nexus 9236C, EdgeCore AS7712 & Huawei CE8860.

 


Les équipements ont été testés sur plusieurs critères : leur interopérabilité avec le protocole de Fabric Ethernet (Trill), le support des différents types de Fabric IP (VXLAN/EVPN) ainsi que leur interopérabilité dans un environnement multi-constructeur. La viabilité de plusieurs topologies a aussi été mise à l'épreuve ce qui fera l'objet d'un prochain RUG.
Au terme de cette phase de test, les équipements Huawei se sont avérés les plus adaptés à l'intégration à l'infrastructure actuelle de LyonIX. Grâce à la forte interopérabilité avec les autres équipements, à la réactivité pour l'implémentation de nouvelles caractéristiques (ex : VXLAN & EVPN), et à leur modularité permise par leur format en châssis 2U, les matériels Huawei permettent une plus grande souplesse dans la migration du 10G vers le 100G.

 

 

Quand les constructeurs jouent le jeu !

Le mardi, 03 octobre 2017. Posté dans Archives Rezopole Archives LyonIX

Quand les constructeurs jouent le jeu !

L'équipe technique de Rezopole entame une phase de tests d'équipements 100Gb.


Ces équipements de commutation seront dans un premier temps en marge de la Fabric Ethernet actuelle et deviendront au fil du temps le nouveau cœur de réseaux de LyonIX. Durant la phase de test, leurs capacités réelles en terme de débit seront mises à l’épreuve, ainsi que l’interopérabilité des solutions de Fabric IP des différents constructeurs.


Merci à Cisco pour le prêt de Nexus 9000, Alyséo pour le prêt de EdgeCore 7712-32X, Brocade pour le prêt de SLX 9240 et Huawei pour le prêt de C8860-CE !!

 

 

 

 

Conférence, Internet de demain : innovation, nouveaux usages et perspectives, le 23 janvier à Lyon

Le mercredi, 15 janvier 2014. Posté dans Archives Rezopole

Conférence, Internet de demain : innovation, nouveaux usages et perspectives, le 23 janvier à Lyon

 

L'Adira, Cluster Edit, Huawei et Rezopole organisent le jeudi 23 janvier une conférence à la mairie de Lyon. Le thème de cet événement portera sur « Internet de demain : innovation, nouveaux usages et perspective ».

De nombreux acteurs de la filière TIC locale participeront, sous la présidence d'honneur du Sénateur-Maire de Lyon, à la table ronde pour répondre aux interrogations sur l'avenir d'Internet. La conférence sera suivie d'un cocktail dînatoire.

 

 

Programme

17h00 : Accueil

17h30 : Mot d'ouverture

17h45 : Table-Ronde « Internet de demain : innovation, nouveaux usages et perspectives »

-Pierre Col, Directeur Marketing d'Antidot

-Claude Guédat, INSA Lyon, Directeur adjoint du département Télécom

-Grégory Palayer, CEO, UpMyBiz

-Nicolas Pitance, CEO, DC for DATA

-Jean Mougin, CEO de Altica, délégué régional de Syntec Numérique Rhône-Alpes

Grand témoin : Christian Nibourel, Président d'Accenture France Benelux, Président INSA Lyon, chef de projet sur l'initiative stratégique « Plan Hôpital Numérique »

Clôture : François Quentin, Président du Conseil d'Administration de Huawei France

19h30 : Cocktail

 

Informations utiles

Événement à la mairie de Lyon, salon Justin Godart

Plan d'accès

Accueil à partir de 17h

 

     

 

           

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