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L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Le vendredi, 19 juin 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Arcep veut faire le ménage dans les armoires

Autre épine dans le pied du secteur des infrastructures du numérique, les raccordements finaux des clients à la fibre optique. En effet, la grogne s’amplifie face aux désordres constatés dans les points de mutualisation et la menace qu’ils constituent pour la pérennité des réseaux. Appelée à intervenir plus franchement, l'Arcep prend enfin les choses en main pour faire un sort aux “plats de nouilles”.

 

Lors de la conférence Telconomics du 16 juin dernier, l’Autorité de régulation s’est dite « extrêmement préoccupée » par la multiplication de ces aberrations. Pour y remédier, le régulateur des Télécoms a donc publié une « première feuille de route » élaborée en concertation avec les acteurs du secteur. L’objectif étant de donner aux opérateurs d’infrastructure la possibilité de mieux contrôler les interventions sur leurs réseaux. Ils pourront ainsi signaler, voire déréférencer, les sous-traitants indélicats mandatés par les opérateurs commerciaux.

 

Sébastien Soriano, président de l’Autorité, précise qu’il s’agit d’« éviter que quelques brebis galeuses viennent saccager le travail extrêmement professionnel de l’essentiel des autres sous-traitants ». Un premier pas qui ne réglera pas toutes les questions, comme celles du recrutement, de la tarification de ces interventions, ou des divergences sur les technologies de raccordement entre opérateurs d’infrastructure et fournisseurs d’accès.

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Le réseau Internet est en train de se noyer

Le mardi, 02 juillet 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Le réseau Internet est en train de se noyer

Les câbles à fibre optique, les stations de transfert et de stockage de données et les centrales électriques forment un vaste réseau d'infrastructures physiques qui sous-tend les connexions Internet.

 

De récentes recherches révèlent qu’une grande partie de ces infrastructures seront affectées par la montée des eaux dans les prochaines années. Après avoir cartographié l'infrastructure du réseau Internet aux États-Unis, des scientifiques l’ont superposée aux cartes montrant l'élévation du niveau de la mer. Leurs résultats : en 15 ans, des milliers de kilomètres de câbles en fibre optique ainsi que des centaines d'autres infrastructures essentielles risquent d'être submergés par les flots. Toujours selon les chercheurs, les quelques centimètres d'eau supplémentaires pourraient plonger près de 20 % des infrastructures Internet américaines sous l'eau.

 

« Une grande partie de l'infrastructure existante est située juste à côté des côtes, de sorte qu'il ne faut pas beaucoup plus que quelques centimètres d'eau en plus pour qu'elle se retrouve sous l'eau », précise Paul Barford, scientifique à l'Université du Wisconsin, Madison, et coauteur de l'étude : Le réseau a été déployé il y a 20 ans, quand personne ne pensait au fait que le niveau de la mer pouvait monter.

La structure physique du réseau Internet a été installée quelque peu au hasard et souvent de façon opportuniste le long de lignes électriques, de routes ou d'autres grandes infrastructures au cours des dernières décennies quand la demande a explosé.

 

Si les scientifiques, les concepteurs et les entreprises sont depuis longtemps conscients des risques que représente la montée des eaux pour les routes, les métros ou encore les lignes électriques, personne ne s'était intéressé jusqu’à présent aux conséquences qu'elle pourrait avoir sur le réseau Internet physique.

« Quand on considère combien tout est lié aujourd'hui, protéger le réseau Internet est crucial », estime le directeur du Resilient Infrastructure Laboratory à l'université d'Arizona, Mikhail Chester. Même les plus petits incidents techniques peuvent avoir des conséquences désastreuses. Il continue « cette nouvelle étude renforce l'idée selon laquelle nous devons être conscients de l'état de ces systèmes, parce que cela prendra beaucoup de temps pour les mettre à jour ».

Rich Sorkin, co-fondateur de Jupiter Intelligence, une société qui modélise les risques induits par le climat, indique quant à lui « nous vivons dans un monde pensé pour un environnement qui n'existe plus ». Et conclut par « accepter la réalité de notre avenir, est indispensable - et ce type d'études ne fait que souligner la rapidité à laquelle nous devrons nous adapter ».

 

 

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Source : National Geographic

 

 

 

 

Les DC sous l’influence du Cloud

Le jeudi, 02 mai 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Les DC sous l’influence du Cloud

Publiée par Axians, l’étude DataCenter 2018-2021 Quelles évolutions pour vos infrastructures informatiques, indique que les data centers seront gérés majoritairement sur un mode de Cloud privé à l’horizon 2021. Plus de la moitié devront intégrer un modèle de gestion des données selon un modèle de Cloud hybride.

 

Interrogés en 2018, près de 80 % des DSI affirment gérer principalement des infrastructures On Premise et en mode Cloud privé pour près d’un tiers d’entre eux. D’ici 2021, cette tendance se renforcera puisque, contrairement aux idées reçues, les data centers en interne ne vont pas disparaître. En effet, ce sont les technologies mises en œuvre qui vont évoluer et permettre à ces centres de données de fonctionner en mode Cloud.

 

Même si plus de la moitié des entreprises sont conscientes de l’obligation de gérer les données en mode Cloud public-privé, seulement 12 % des répondants ont un projet prévoyant la mise en place d’une solution Cloud hybride.

 

Toujours selon cette étude, les 4 enjeux principaux actuels pour les DSI sont la sécurité (73%), la maîtrise des coûts (66%), la conformité réglementaire (60%) et la digitalisation des métiers (52%). La technologie qui impactera le plus les data centers d’ici trois ans sera la cybersécurité devant l’automatisation des services métier. Côté logiciels, VMware est en tête devant Microsoft et Red Hat. Tandis que côté opérateurs de Cloud, Microsoft est cité en premier devant OVH et AWS.

 

Pour la majorité des DSI interrogés, ils restent les garants technique et opérationnel des infrastructures ou de la stratégie et de l’innovation. Cependant, de nouveaux rôles émergent tels que fournisseurs de ressources en mode Cloud privé piloté par la SLA ou opérateurs de Cloud hybride.

 

 

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Source : Informatique News

 

 

 

 

 

Accord bilatéral entre Kosc Telecom et Ielo-Liazo

Le mercredi, 03 avril 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Accord bilatéral entre Kosc Telecom et Ielo-Liazo

Signé le 28 mars dernier, cet accord stratégique entre les deux opérateurs d’opérateurs français a été conclu pour une durée de 20 ans. Il concerne l’accès à leurs infrastructures respectives.

 

En effet, Kosc Telecom met à disposition son infrastructure de collecte FFTH via son offre bitstream. Ce qui permet à son nouveau partenaire d’enrichir son catalogue de services et de compléter son offre de collecte résidentielle sur support cuivre existante (xDSL).

Ielo-Liazo, quant à lui, ouvre l’accès à son réseau national de fibre via une nouvelle offre industrielle de dégroupage optique NRO. Kosc Télécom pourra ainsi délivrer des services à qualité élevée et renforcer la couverture nationale de son réseau Fibre Entreprise.

 

Ce partenariat de long terme entre ces deux opérateurs spécialistes de la vente de produits Télécoms en gros, incarne pour Ielo-Liazo une application concrète de sa stratégie visant à proposer au marché entreprise une offre d’infrastructure unifiée pour opérateurs. Tandis qu’il constitue pour Kosc une étape complémentaire dans sa stratégie de proposer à ses clients opérateurs 100 % des lignes disponibles en France.

 

 

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Source : Kosc Telecom

 

 

 

 

Principal moteur de croissance du marché des TICS

Le mercredi, 20 février 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Principal moteur de croissance du marché des TICS

Selon International Data Corporation, la consommation des fournisseurs de serveurs, de solutions de stockage et d’équipements et logiciels réseaux a représenté 44 % des ventes en 2018. Ces investissements devraient ainsi augmenter de 6 % par an en moyenne et représenter 426 Md$ d’ici trois ans. Les investissements des fournisseurs de services Cloud et numériques devraient connaître la croissance la plus importante pour atteindre ainsi 105 Md$ (+9 % par an en moyenne). Les achats des fournisseurs de services d’hébergement et de colocation, quant à eux, s’élever à 67 Md$ soit une croissance de 7 % par an en moyenne.

 

Cependant, une forte disparité existe selon les régions du monde. En effet, si la part des ces investissements aux États-Unis devraient passer à 47 % en 2022 (contre 44 % aujourd’hui) celle de l’Europe de l’Ouest ne changera pas et restera à 12 %.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

 

« Dommage pour les réseaux »

Le lundi, 07 janvier 2019. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

« Dommage pour les réseaux »

Interviewée par Pierre Col, l’équipe de développeurs indépendants à l’origine de l’initiative « Dommage pour les réseaux » explique pourquoi et comment cette solution a vu le jour.

 

L’objectif de ce projet est de permettre à tous de signaler des infrastructures réseaux endommagées (Internet, Télécommunications, électricité ou encore gaz) sur la voie publique. En effet, une fois que les informations sur les points de vulnérabilité sont collectées celle-ci sont partagées sur le site web dplr.fr puis relayées sur le compte Twitter @ProjetDPLR.

 

L’idée de DPLR provient principalement de deux faits. Le premier, la proposition d’un des contributeurs de créer une carte collaborative des armoires de sous-répartition endommagées. Et le deuxième, le constat - de ces dégradations par beaucoup de personnes travaillant dans les réseaux - intéressait notamment les opérateurs. La mise au point de « Dommage pour les réseaux » permet ainsi de recenser en toute transparence les dommages et ainsi amorcer un suivi des réparations.

 

Si pour le moment il s’agit d’une version Alpha, à terme DPLR permettra aux exploitants d’avoir des yeux supplémentaires sur le terrain. En effet, la philosophie du collectif est que l’outil soit accessible au plus grand nombre : riverains, citoyens, administrations et exploitants. La démarche est clairement une démarche de crowdsourcing.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

 

 

Évolution des architectures IXP

Le jeudi, 27 décembre 2018. Posté dans Archives Rezopole Archives GrenoblIX Archives LyonIX

Évolution des architectures IXP

Les points d'échange Internet jouent un rôle clé dans l'écosystème Internet. Il en existe aujourd’hui plus de 400 dans plus de 100 pays à travers le monde. Les IXP offrent une fabric de switch neutre et partagée où les clients peuvent échanger du trafic les uns avec les autres.

Pour parler simplement, un point d'échange Internet peut être considéré comme un grand switch de niveau 2 (L2). Chaque réseau client connecté à l'IXP connecte un ou plusieurs de ses routeurs à ce switch via des interfaces Ethernet. Les routeurs de différents réseaux peuvent établir des sessions de peering en échangeant des informations de routage via BGP, puis envoyer du trafic via le switch Ethernet.

Les IXP permettent aux opérateurs d'interconnecter localement un ou plusieurs réseaux clients à travers leurs réseaux de niveau 2. Cela conduit à un Internet plus résilient, améliore l'utilisation de la bande passante et réduit le coût et la latence des interconnexions. Pour éviter la mise en place fastidieuse de sessions de peering bilatérales, la plupart des IXP exploitent aujourd'hui des route servers. Ceci simplifie le peering en permettant aux clients IXP de peerer avec d'autres réseaux via une seule session BGP vers un route server.

 

Alors qu'au début des années 1990, les IXP étaient basés sur le FDDI ou l’ATM, aujourd'hui le service d'interconnectivité standard est basé sur Ethernet. Cependant, la fabric de switch de niveau 2 d’un IXP évolue également, passant de simples switchs Ethernet sur un seul site connectés via un réseau local standard, à des switchs de protocole IP/MPLS répartis sur plusieurs sites nécessitant une connectivité WAN sur fibre optique.

Par conséquent, avec plus d'emplacements et une bande passante croissante, le réseau de connectivité devient plus performant, flexible et évolutif. Il est donc un atout stratégique important pour les opérateurs IXP.

Il convient de noter que bien que les fabrics de switch basés sur IP/MPLS soient principalement utilisés aujourd'hui, il existe d'autres approches telles que le VXLAN. Il se peut que ces méthodes, qui ne modifient pas la topologie de base de l'architecture, soient déployées plus souvent à l'avenir.

Il faut également mentionner que pour améliorer la résilience de l'infrastructure IXP, on utilise de plus en plus les PXC entre le client et les routeurs PE. En cas de panne ou de maintenance programmée, le PXC peut passer du routeur client à un routeur PE de secours.

 

L’innovation est accélérée avec la désagrégation, le SDN, le NFV et l'automatisation du réseau. En effet, ces nouvelles technologies sont de plus en plus utilisées dans les réseaux de Télécommunications et les IXP. Cependant, comme les réseaux IXP sont généralement plus localisés avec une infrastructure et des services moins anciens que les réseaux de Télécommunications, ils peuvent être l'endroit idéal pour introduire de nouveaux concepts réseaux.

Le support optique connaît un progrès inspiré par l’automatisation et l’ouverture des technologies réseaux et propose des systèmes innovants ultra-dense et efficace. De nombreux IXP déploient ces technologies pour augmenter la capacité tout en réduisant les coûts, l'espace au sol et la consommation électrique.

La désagrégation des routeurs est également bien répandue dans les DC. Au lieu d'utiliser des routeurs basés sur d’encombrants châssis, des switchs L2/L3 de marque blanche et contrôlés par SDN utilisant les technologies leaf-spine plus évolutives sont préférées. L'utilisation de marques blanches avec un NOS configurable et indépendant du matériel offre une plus grande flexibilité et permet aux opérateurs IXP de sélectionner uniquement les fonctionnalités dont ils ont réellement besoin.

 

 

 

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Source : LightWave

 

 

 

 

RDV au 14ème Forum des Interconnectés !

Le lundi, 27 novembre 2017. Posté dans Archives Rezopole

RDV au 14ème Forum des Interconnectés !

À l'occasion du 14ème Forum national annuel des Interconnectés les 6 et 7 décembre prochain, Rezopole aura le plaisir de vous retrouver au Double Mixte LYON (19 Avenue Gaston Berger, 69100 Villeurbanne). Rendez-vous incontournable des collectivités territoriales et du numérique, le Forum réunira plus de 900 participants : élus, dirigeants et responsables de projets des collectivités territoriales autour des enjeux du numérique et de la smart city pour le secteur public.

 

Parmi les Intervenant(e)s 2017 :

 

 

Karine Dognin-Sauze

VP Lyon Métropole,

Présidente des Interconnectés

 

Juliette Jarry

Vice-Présidente de la région

Auvergne - Rhône-Alpes

 

 

Retrouvez l'équipe de Rezopole sur l'espace dédié aux Infrastructures !

 

 Partenaires de l'événement :

 

En savoir plus

Plus d'infos sur : forum.interconnectes.fr

 

 

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