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Telehouse ouvre un PoP à Marseille avec Jaguar Network

Le vendredi, 02 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Telehouse ouvre un PoP à Marseille avec Jaguar Network

Spécialiste des solutions d’hébergement à forte connectivité en Europe, Telehouse signe un partenariat avec l’opérateur Jaguar Network, filiale B2B du Groupe iliad, pour le développement d’activités d’hébergement en France dans le datacenter de ce dernier à Marseille.

 

Baptisée “TH1 Marseille”, cette infrastructure apportera de nouvelles solutions de connectivité neutres aux acteurs du numérique, avec le même savoir-faire, la même proximité dans l’accompagnement et la même excellence de service qui caractérisent l’activité de Telehouse depuis 30 ans.

Cet accord fait écho à la croissance de la société Jaguar Network dont Telehouse a été l’un des partenaires historiques en l’hébergeant au sein de son datacenter de TH2 Paris. Jaguar Network offre aujourd’hui en retour à Telehouse une nouvelle opportunité de développer son offre sur son campus historique de Marseille.

 

Leur ambition commune est de contribuer à hisser la métropole dans le top 5 des villes les plus connectées au monde, et de renforcer l’autoroute numérique Paris / Marseille, afin de placer la France au centre des échanges internationaux de données. La dynamique de Marseille s’appuie sur son maillage de câbles sous-marins reliant l’Asie / Pacifique à l’Europe avec un axe Marseille / Francfort / Amsterdam.

En 2023, la capacité passera de 150 térabits à 720 térabits grâce au câble Google Blue Raman (Inde, Arabie Saoudite et Marseille en évitant l’Egypte) d’une longueur de 8 000 km.

Grâce au savoir-faire historique de Telehouse et l’implantation locale de Jaguar Network, les clients pourront bénéficier de l’ensemble des fibres existantes ou futures.

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

Le vendredi, 02 juillet 2021. Posté dans Archives Rezopole

Un opérateur britannique réintroduit les frais d’itinérance

À partir de janvier 2022, l’opérateur britannique EE va réintroduire les frais d’itinérance en Europe. Il s’agit du premier opérateur mobile du Royaume-Uni à sauter le pas, alors qu’il avait précédemment déclaré qu’il n’allait pas réintégrer les frais de roaming.

 

Il entend facturer à ses nouveaux clients britanniques des frais supplémentaires pour utiliser leur téléphone portable en Europe. Tous les nouveaux inscrits, ainsi que les utilisateurs souhaitant upgrader leurs offres à partir du 7 juillet 2021, devront payer 2 £ par jour pour utiliser leur forfait dans 47 destinations européennes.

 

La Commission européenne a quant à elle proposé, il y a quelques mois, de prolonger de 10 ans la suppression des frais d’itinérance entre les différents pays de l’UE. Cette mesure, effective depuis juin 2017, devait initialement prendre fin en 2022. Elle concerne les 27 États membres de l’UE, ainsi que l’Islande, le Liechtenstein et la Norvège, mais pas le Royaume-Uni. En effet, Brexit oblige, il a cessé d’appliquer les règles européennes le 1er janvier.

Selon une enquête Eurobaromètre, la moitié des Européens possédant un téléphone portable se sont rendus dans un autre pays de l’UE au cours des deux dernières années. Au cours de l’été 2019, l’utilisation des services de données en itinérance a été multipliée par 17 par rapport à l’été 2016, celui qui a précédé la suppression des frais d’itinérance.

 

En janvier dernier, EE, O2, Three et Vodafone affirmaient qu’ils n’avaient pas l’intention de réintroduire des frais d’itinérance, même si le Brexit leur donnait la possibilité de le faire. EE justifie à présent que le fait de réintroduire ces frais va permettre de « soutenir les investissements dans notre service clientèle basé au Royaume-Uni, et dans notre réseau britannique de premier plan ». Ces frais supplémentaires ne s’appliqueront pas aux utilisateurs britanniques en République d’Irlande.

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Le chiffrement du réseau mobile 2G diminué délibérément

Le vendredi, 25 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Le chiffrement du réseau mobile 2G diminué délibérément

D’après des chercheurs français, allemand et norvégien, les algorithmes de chiffrement GEA-1 et GEA-2 utilisés dans les réseaux de data mobile dans les années 1990 et 2000 ont été affaiblis, dont l’un dès sa conception. Basé sur la technologie 2G, ils avaient pour vocation de sécuriser le standard GPRS (General Packet Radio Service). Aujourd’hui, ce réseau continue à servir pour les systèmes de M2M ou comme solution de secours pour les data, les SMS et appels mobiles. La plupart des terminaux actuels sont compatibles avec le GPRS.

 

L’objectif de ces deux algorithmes est de sécuriser le transfert de données entre les téléphones et les stations de base afin d’éviter l’interception des communications. Or les experts ont constaté, par exemple, que GEA-1 ne chiffrait pas en 64 bits comme prévu mais seulement en 40 bits. Avec un niveau de sécurité rabaissé, un réseau d’ordinateur peut par force brute plus facilement découvrir la clé et lire les flux.

Pour étayer cette théorie, les spécialistes ont fait de la rétroconception de GEA-1 et GEA-2. En recréant le premier, ils se sont aperçus que leur algorithme était plus sûr que la version initiale. Écartant la notion de hasard, ils estiment que cet affaiblissement de la sécurité était voulu dès la conception de l’algorithme.

 

Ces algorithmes ont été élaborés par l’ETSI (European Telecommunications Standards Institute) en 1998 par un groupe de travail dédié. L’organisme européen a admis que GEA-1 contenait une faiblesse. Mais il explique qu’elle avait été introduite pour respecter les règlements sur l’exportation qui ne prévoyaient pas de chiffrement plus fort. À noter que pour GEA-2, les règles ont été assouplies au moment de sa conception, mais les chercheurs ont réussi à déchiffrer le trafic. Ils préconisent ainsi de s’appuyer sur l’algorithme GEA-3 et supérieurs plus robustes.

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

Le vendredi, 25 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Terralpha allume 20 000 km de fibres en France

La nouvelle filiale de SNCF Réseau, Terralpha, arrive pour commercialiser la bande passante offerte par les plus de 20 000 km de fibres qui serpentent la France métropolitaine sous les rails des trains. Les fibres, étant tirées de ville en ville, ne souffrent pas des ralentissements causés par les raccords que les opérateurs mettent sur chaque embranchement.

De plus, ce réseau de fibres constitue une alternative nationale au réseau des quatre grands opérateurs. Les 2 000 opérateurs alternatifs vont désormais pouvoir interconnecter un siège à Lille avec sa succursale à Marseille, sans avoir à attendre pendant des semaines une autorisation, sans devoir payer le prix fort qu’impose leur concurrent national. Et, surtout, avec une meilleure latence.

 

Ces plus de 20 000 kilomètres de fibres étaient déjà disponibles à la location. Mais il s’agissait de faire au cas par cas : SNCF Réseau, ne fournissant que des liens 100 Gbit/s, c’est à son client qu’il incombait d’installer un routeur à chaque bout pour faire circuler son trafic. Et à part les grands opérateurs, personne ne savait installer de routeur sur ces fibres.

 

Pour se brancher, Terralpha a choisi de s’associer avec la chaîne de datacenters en colocation Telehouse. « Notre stratégie est d’être présent sur les places de marché télécoms. C’est-à-dire dans les salles réservées aux interconnexions des opérateurs dans les datacenters. Les plus importantes se trouvent sur le campus TH2 de Telehouse à Paris, qui réunit 300 opérateurs télécoms », argumente Gabriel Chenevoy, le PDG de Terralpha.

D’autant que TH2 dispose d’un système informatique de pointe qui surveille une à une les 50 000 fibres qui circulent dans ses salles opérateurs. La courbure et le trajet de chaque fibre seraient consciencieusement étudiés.

 

Mise à part Orange et SFR, Bouygues Telecom et Iliad commencent eux aussi à revendre de la bande passante sur leurs réseaux nationaux aux opérateurs alternatifs. Kosc était jusque-là le seul opérateur d’infrastructures indépendant par lequel les prestataires locaux pouvaient passer, pour offrir une connectivité nationale à leurs clients. C’est donc plutôt lui que concurrence aujourd’hui Terralpha. Après des déboires financiers, Kosc a finalement été racheté il y a un an par Altitude Infrastructure, un ex-opérateur alternatif qui a recentré son activité sur la pose de fibres.

Si Altitude Infrastructure jouit d’une bonne image auprès des collectivités locales, son défi reste de relier entre eux des segments de fibres éparpillés sur le territoire. C’est sur ce point où Terralpha prétend avoir une longueur d’avance.

 

 

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Source : Le Mag IT

 

 

 

 

Internet : Akamai s’excuse d’une panne

Le vendredi, 18 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Internet : Akamai s’excuse d’une panne

Les services Internet de 500 clients, notamment des banques et des compagnies aériennes, ont été inaccessibles pendant plusieurs heures à cause d’une panne chez Akamai. Il ne s’agit pas d’une cyberattaque mais bien d’un souci technique. En effet, c’est une mauvaise manipulation du service de protection DdoS d’Akamai qui a provoqué les problèmes.

 

Parmi les clients concernés figurent trois grandes banques australiennes : la Commonwealth Bank of Australia, Westpac et ANZ. L’Australia Post a également été touchée, tout comme la compagnie aérienne Virgin Australia.

 

La dernière grosse panne en date d’Internet a eu lieu la semaine dernière et a été causée par le CDN Fastly. Pour le coup, beaucoup de monde a subi la panne, dont l’Europe.

 

 

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Source : Kulture Geek

 

 

 

 

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

Le vendredi, 18 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

AuRA : comment déployer la 4G dans toute la région ?

De nombreux territoires n’ont toujours pas accès à une connexion Internet rapide et efficace en Auvergne-Rhône-Alpes et autre part en France. C’est pourquoi, l’État et l’Arcep ont développé leNew deal mobile afin de répondre à ce problème, en uniformisant la couverture de l’Internet mobile au niveau national.

 

Si l’État est à l’initiative de ce projet, ce sont les opérateurs mobiles qui le gère directement. Free, Bouygues Telecom, Orange et SFR sont donc chargés de l’investissement pour la conception de ces nouveaux réseaux. Même si, malgré l’absence de subventions, l’État pilote en réalité ce projet audacieux et partage ses objectifs aux opérateurs qui doivent s’y aligner.

 

Selon les services de l’État, en collaboration avec les collectivités territoriales, 509 zones seraient jugées prioritaires en région Auvergne-Rhône-Alpes. 64 nouveaux sites supplémentaires doivent être équipés dans la région Auvergne-Rhône-Alpes suite à la publication du dernier arrêté du 9 avril dernier.

 

Cependant, en raison des nombreuses zones montagneuses de la région, installer les équipements nécessaires à la bonne propagation du réseau est beaucoup plus difficile. Cela explique pourquoi la région connaît autant de zones qui n’ont pas accès à une bonne connexion Internet et pourquoi elle doit porter une attention particulière.

Toutefois, la crise sanitaire rend ce projet beaucoup plus difficile à mettre en place et de nombreux retards sont à souligner.

 

 

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Source : ECOMNEWS

 

 

 

 

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

5G : les opérateurs accélèrent (enfin) sur la “bande reine”

Selon les derniers chiffres publiés par l’Agence nationale des fréquences (ANFR), la France compte aujourd’hui 25 105 sites 5G autorisés, dont 14 284 déclarés techniquement opérationnels par les opérateurs.

 

En hausse de 3,7 % sur un mois, la progression du nombre de sites 5G doit beaucoup à l’héritage des réseaux passés – et surtout de la 4G. L’ANFR rappelle en effet que « la quasi-totalité de ces implantations 5G a été autorisée sur des sites existants, déjà utilisés par les technologies 2G, 3G ou 4G » et que seuls deux sites mobiles en France n’hébergent que de la 5G.

 

Selon les déclarations des opérateurs, 56,9 % des 25 105 sites 5G autorisés à la fin du mois de mai sont techniquement opérationnels. Les grandes tendances du déploiement effectué en ordre dispersé par les opérateurs jusqu’à maintenant se dessinent alors.

Free confirme son attrait pour la bande des 700 MHz à des fins de couverture accélérée du territoire.16 683 sites 5G sont comptabilisés dans cette bande de fréquence, dont 9 584 sont déclarés techniquement opérationnels.

Tactique similaire chez Bouygues Telecom, Orange et SFR. Les trois opérateurs s’appuient sur la bande des 2,1 GHz, déjà exploitée pour la 4G. Fin mai, ils disposaient ainsi de 8 376 sites 5G autorisés sur cette bande, pour 3 973 déclarés techniquement opérationnels.

 

Les opérateurs n’en oublient pas pour autant la “bande reine” de la 5G, celle des 3,5 GHz puisqu’ils semblent bien décidés à passer la seconde sur cette bande spécifique à la 5G.

L’ANFR décompte ainsi 8 550 sites 5G autorisés sur cette bande fin mai, dont 3 973 sont déclarés techniquement opérationnels. De bon augure pour la suite du déploiement de la nouvelle génération de technologie mobile.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Sur le fixe, 51 % des abonnements sont en THD

Le vendredi, 11 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Sur le fixe, 51 % des abonnements sont en THD

L’observatoire du marché haut et très haut débit pour le premier trimestre vient d’être publié par l’Arcep. Le régulateur constate ainsi que « la progression du nombre d’abonnements à très haut débit s’élève à +1,1 million, soit un rythme de croissance de +170 % par rapport au premier trimestre 2020 ».

Ce qui signifie que « le nombre d’abonnements à très haut débit atteint ainsi à 15,7 millions, et représente désormais plus de la moitié (51 %) du nombre total d’abonnements internet sur le territoire français (+9 points en un an) et 53 % du nombre de locaux éligibles au très haut débit, en croissance de 6 points en un an ».

 

Les chiffres concernant les déploiements de la fibre aussi sont à la fête : « les Réseaux d’Initiative publique réalisent leur meilleur trimestre de déploiement et dépassent en rythme les déploiements des opérateurs privés en zone AMII. Le rythme global des déploiements reste élevé au cours du premier trimestre 2021, avec 1,5 million de lignes FTTH ».

 

 

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Source : Next Inpact

 

 

 

 

Panne massive des numéros d’urgence

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Panne massive des numéros d’urgence

Pendant environ sept heures le 02 juin au soir, les numéros du Samu (15), de la police (17), des pompiers (18) et le numéro européen unique d’urgence (112) étaient quasiment inaccessibles. Orange, par l’intermédiaire de son PDG Stéphane Richard, avait alors présenté « ses plus vives excuses ». Puis, ce 04 juin en début de matinée, l’opérateur historique a annoncé avoir lancé une enquête interne « approfondie ».

 

Une annonce qui a précédé la réunion de la cellule interministérielle de crise. « Les choses sont rentrées dans l’ordre » et « la situation est redevenue sous contrôle au moment où je m’exprime », a déclaré Jean Castex vers 09H00, à l’issue de cette réunion qu’il a présidée.

« Nous déplorons des victimes qui sont susceptibles d’avoir été causées par ce grave incident », a confirmé le Premier ministre.

Le chef du gouvernement a insisté sur le fait qu’« il faudra établir très clairement la cause des faits qui se sont produits et surtout les moyens pour qu’ils ne se reproduisent plus ».

 

Pour l’heure, Orange a déjà lancé une enquête interne approfondie. L’inspection générale de l’opérateur téléphone « devra mener les investigations nécessaires pour identifier les causes précises de cet incident et émettre des recommandations pour tirer tous les enseignements nécessaires », a précisé Orange.

Des conclusions attendues d’ici sept jours. « En lien avec la cellule interministérielle de crise, nous avons mis en place hier soir une cellule dédiée afin de résoudre d’éventuels dysfonctionnements locaux qui pourraient apparaître », a ajouté l’opérateur téléphonique, alors que des « perturbations » subsistaient encore le 03 juin « de façon aléatoire ».

 

Interrogé sur l’origine de cette panne, Stéphane Richard a d’ores et déjà écarté l’hypothèse d’une cyberattaque. Cet incident est « plus probablement » dû à « une défaillance logicielle dans (les) équipements critiques de réseaux », c’est-à-dire des plateformes chargées d’acheminer des appels.

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Le vendredi, 04 juin 2021. Posté dans Archives Rezopole

Bouygues Telecom lance son propre cloud souverain

Nouvelle structure indépendante bénéficiant de ses infrastructures en propre et de la décennie d’expérience de Nerim, Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est spécialisée dans l’hébergement et le Cloud computing.

« Depuis deux ans, des dizaines de collaborateurs ont conçu de nouvelles infrastructures et des offres basées sur les besoins réels de nos clients. Ce que propose Bouygues Telecom Entreprises OnCloud aujourd’hui est unique sur le marché, tant par la qualité du conseil qu’elle apporte que par son agilité technique et commerciale » justifie François Treuil, Directeur de Bouygues Telecom Entreprises.

 

Bouygues Telecom Entreprises OnCloud est à la fois opérateur, intégrateur et hébergeur et veut s’affirmer comme un ‘pure player’ du cloud. Son ambition est d’être rapidement reconnu comme un Cloud de confiance, selon la nouvelle appellation du gouvernement français dans le cadre de la Stratégie nationale pour le cloud. Toutefois, cette reconnaissance passe par une certification SecNumCloud délivrée par l’ANSSI. Un processus complexe, contraignant et coûteux qui demandera plusieurs mois, voire plusieurs années.

 

Un nouvel acteur qui veut ratisser large en s’adressant aussi bien aux PME et ETI qu’aux collectivités publiques et aux grands groupes. L’opérateur veut à la fois proposer des services cloud IaaS publics mais aussi aider les entreprises à bâtir leurs propres clouds privés.

 

Reste que le terrain est déjà encombré entre les hyperscalers américains (AWS, Azure, GCP, OCI, IBM Cloud…), les petits hébergeurs locaux ou encore OVHcloud et 3DS Outscale, déjà certifiés SecNumCloud. Sans oublier Scaleway et l’encore naissant Bleu (fruit d’une joint venture entre Capgemini et Orange). Et sans compter sur l’initiative Gaia-X qui doit permettre aussi à d’autres opérateurs européens de s’implanter plus fortement en France. La concurrence va être rude…

 

 

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Source : Informatique News

 

 

 

 

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : les professionnels du raccordement s’engagent

C’est au tour des professionnels chargés du raccordement de s’engager pour résoudre le problème posé par les défauts d’entretien ou de raccordement à la fibre. Ils se sont en effet engagés, à travers la signature d’une charte de bonnes pratiques, à mettre fin à ce que les pouvoirs publics voient comme un obstacle majeur à l’adoption de la fibre sur le territoire.

 

Une série d’engagements dont celui de se limiter à un seul niveau de sous-traitance, « avec une attention particulière au statut et à la qualification » des sous-traitants employés.

Une gageure alors que la sous-traitance “en cascade” est souvent rendue responsable des défauts dans la qualité des raccordements. Les entreprises signataires de cette charte, représentant 70 % des acteurs du secteur, se sont également engagées à favoriser le recours à l’emploi local et à accompagner la formation de leurs collaborateurs via la mise en place d’actions dédiées à la formation initiale ou à la montée en compétences.

Parmi elles figurent les entreprises Axians, Circet, Constructel, Eiffage, ENGIE Solutions, Firalp, NGE Infranet, SADE Télécom, Groupe Scopelec, SNEF Télécom, Sogetrel, Solutions30 et SPIE CityNetworks.

 

Les opérateurs commerciaux ainsi que les opérateurs d’infrastructures comme Altitude Infra, Axione, Orange, TDF et XpFibre s’étaient déjà engagés début mars sur un nouveau contrat cadre de sous-traitance (également connu sous l’appellation de mode STOC, pour “Sous-Traitance Opérateur Commercial”) afin de mettre un terme à ces abus répétés qui empoisonnent la vie des utilisateurs.

 

Un problème qui ne date malheureusement pas d’hier. En effet, un groupe de travail constitué par l'Arcep sur le sujet faisait déjà état en 2019 de « taux de malfaçons importants dans la réalisation des opérations de raccordement final et de brassage au point de mutualisation ».

Et de citer trois difficultés principales à résoudre pour mettre fin à la prolifération des “plats de nouilles” : le non-respect répété des règles de brassage au point de mutualisation, les défauts des routes empruntées par la fibre optique pouvant entraîner des embouteillages sur les points de branchement optique ainsi que les actes de vandalisme divers sur les points de mutualisation.

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Le vendredi, 28 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Comment Orange va maintenir la qualité du réseau cuivre

Après de longues négociations, le gouvernement et Orange viennent de s’entendre sur un plan d’action pour améliorer la qualité de service du réseau cuivre. En effet, même si le déploiement de la fibre optique progresse rapidement, il ne faut pas négliger les 22 millions de Français disposant encore d’une ligne active reposant sur ce réseau.

 

Le plan prévoit ainsi d’engager 10 millions d’euros supplémentaires pour 17 territoires prioritaires ainsi que pourvoir 123 nouveaux postes dans les départements en tension et augmenter de 30 % les effectifs nationaux d’intervention en cas de crise.

 

L’opérateur historique devra fournir une solution de secours en 24 heures maximum à partir du signalement de l’incident, sous réserve d’une couverture mobile. Si le réseau mobile n’est pas suffisant, c’est une connexion satellitaire qui sera mise à disposition depuis les mairies.

 

Pour une meilleure concertation entre Orange et les élus, des comités de concertation locaux vont être mis en place. Un comité de concertation national fera appel, en plus, à des représentants de la commission supérieure du numérique et des postes (CSNP), les représentants des associations de collectivités territoriales et les services de l’État.

 

Rappelons que le démantèlement total du réseau cuivre débutera en 2023 et s’étendra jusqu’en 2030, au fur et à mesure que la couverture du territoire en fibre optique progressera.

 

 

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Source : 01net

 

 

 

 

Les professionnels de la fibre vers de nouveaux records de déploiement en 2021

Le jeudi, 20 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

Les professionnels de la fibre vers de nouveaux records de déploiement en 2021

À l’occasion d’un colloque organisé pour la présentation d’un baromètre dédié réalisé par Infranum, les représentants des acteurs de la fibre et les autorités avaient de quoi se féliciter. En effet, le secteur devrait de nouveau franchir un palier en 2021 avec le déploiement de 6,2 millions de prises au cours de l’année.

Les acteurs de la fibre se sont même permis le luxe de dépasser les objectifs gouvernementaux avec des prévisions de 87 % de logements raccordés à la fibre en 2022 au lieu des 80 % initialement souhaités par les pouvoirs publics.

 

Si l’année 2020 avait déjà vu la filière battre tous les records de raccordements, avec 5,8 millions de prises installées, l’exercice actuel se présente sous de meilleurs auspices encore. Et c’est sur les réseaux d’initiative publique (RIP) que les professionnels du secteur ont choisi de mettre l’accent en 2021. Sur les 6,2 millions de prises attendues en 2021, 3,6 millions seront situées en zones RIP, contre 1,8 million en zones AMII, 0,5 million en zones très denses et 0,4 million en zones AMEL.

 

Un ralentissement est prévu pour 2022 avec le déploiement de 5,8 millions de prises dont une majorité seront encore installées en zone RIP. Résultat des courses : si 40,6 millions de logements disposeront de la fibre optique en 2025, un « reste à déployer » de l’ordre de 6,5 millions de prises à installer d’ici à 2025 sera encore de la partie pour arriver à la complétude des réseaux.

Et c’est bien là que le bât blesse « s’il ne restera alors “plus que” 6,5 millions de prises à déployer au total d’ici 2025, ce seront les plus ardues », soulignent les représentants de la filière.

Et de relever que 2,1 millions de locaux, soit les derniers 5 %, devront nécessairement être financés via des aides publiques conséquentes… Pire encore, 3 % de ce « reste à déployer » ne pourra pas l’être, en raison de contraintes techniques et financières. « Pour ces logements, il faudra nécessairement étudier d’autres pistes, comme l’internet satellitaire », indique-t-on du côté de l’Infranum, qui voit dans le lancement de nouvelles offres satellitaires une alternative de plus en plus crédible pour atteindre l’objectif du très haut débit pour tous.

 

Pour atteindre le 100 % de logements fibrés au cours de la prochaine décennie, les professionnels du secteur en appellent à la mise en place d’un service universel de la fibre.

Mais d’autres écueils se trouvent également dans le très haut débit pour tous. À commencer par la qualité des raccordements alors que le taux d’échec moyen des raccordements se situe aujourd’hui entre 20 et 25 %. Et si les représentants de la filière et des pouvoirs publics ont pris des engagements il y a quelques semaines pour combattre la propagation des “plats de nouilles” dans les armoires de génie civil ou au sein des immeubles, le résultat ne sera pas immédiat.

Parmi les dossiers brûlants à gérer pour la filière se trouve également celui de l’emploi. Que faire des professionnels du raccordement lorsque celui-ci sera effectif ? La question devrait continuer à se poser dans les années à venir, d’autant que le secteur a recruté en 2020 9 700 nouveaux collaborateurs, au lieu de 5 500 annoncés l’année dernière et en prévoit, non plus 1 500 en 2021, mais 5 500.

 

« Trois points doivent concentrer nos efforts : la transition cuivre-fibre, l’amélioration de la qualité des raccordements et l’anticipation de la période post 2021, notamment en ce qui concerne l’emploi », a concédé ce mardi le secrétaire d’État au Numérique Cédric O.… tout en se félicitant du travail effectué jusqu’à maintenant, relevant que « les chiffres sont très bons, mais il faut continuer ce travail collectif, car il reste encore des défis à relever ».

 

 

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Source : ZDnet

 

 

 

 

France-IX étend son point de présence historique à TH2

Le jeudi, 20 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

France-IX étend son point de présence historique à TH2

Dès son lancement en 2010, France-IX a choisi d’héberger son infrastructure sur le site TH2 de Telehouse. La présence d’opérateurs de Tier I et la fiabilité de ses infrastructures, garantissant une disponibilité de service de 99.99 %, ont fait de ce choix une évidence pour France-IX.

Les deux sociétés sont engagés depuis dans une collaboration de confiance dans laquelle le développement de la communauté de membres du point d’échange et l’écosystème de clients Telehouse se nourrissent mutuellement. La communauté France-IX a ainsi, dès la première année de coopération, atteint la centaine de membres puis 200 les deux années suivantes.

 

Le pôle de connectivité TH2 a récemment doublé ses capacités de connectivité avec pour objectif de véhiculer plus de trafic et hisser Paris au statut de leader des villes les plus connectées au monde d’ici cinq ans. Une extension répondant aux demandes croissantes des entreprises de s’interconnecter avec leur écosystème, tout en privilégiant la localisation de leurs données en France. Elle s’aligne également avec la volonté de France-IX de renforcer la résilience et la robustesse de son infrastructure pour proposer une connectivité étendue, nativement sécurisée et à moindres coûts aux acteurs locaux et internationaux, et ainsi répondre aux enjeux majeurs de compétitivité.

 

Le doublement du point de présence de France-IX à TH2 ouvre une réserve supplémentaire de ports disponibles pour de nouveaux clients, notamment les corporates qui externalisent de plus en plus leurs infrastructures informatiques. Ils étendent ainsi leur accès au Cloud et hébergent leur équipement pour un raccordement direct au cœur de réseau France-IX et disposent des infrastructures essentielles pour se connecter à leurs partenaires (GAFAM, éditeurs d’applications SaaS et autres contenus et services Cloud).

 

 

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Source : Datacenter Magazine

 

 

 

 

France-IX : nouveau PoP à DATA4

Le mercredi, 12 mai 2021. Posté dans Archives Rezopole

France-IX : nouveau PoP à DATA4

Paris, le 10 mai 2021 – France-IX, l’un des principaux points d’échange Internet (IXP) d’Europe, s’implante sur le campus de Marcoussis (91) de DATA4, opérateur et investisseur français et européen majeur sur le marché des data centers, afin d’optimiser la connectivité Internet des entreprises. Avec ce nouveau point de présence, les clients de DATA4 auront la possibilité de s’interconnecter directement au nœud d’échange de France-IX qui, de son côté, entend ainsi développer son écosystème de peering.

 

[…]

 

« En se connectant à un point d’échange, les entreprises gagnent en performance et disposent de la résilience nécessaire pour leurs applications critiques tout en optimisant leurs coûts. Le nouveau point de présence de France-IX sur le site de Marcoussis va ainsi permettre aux clients de DATA4 d’optimiser leur façon d’échanger des données pour favoriser l’hybridation de leurs plateformes vers le Cloud au sein des infrastructures de DATA4 », précise Jérôme Totel, Vice-Président Stratégie, DATA4 Group.

 

[…]

 

« Notre implantation au sein du campus de Marcoussis de DATA4 fait écho à notre volonté d’adresser le segment des entreprises, différent de nos membres historiques, ainsi que d’adresser les demandes de certains de nos membres existants. En facilitant l’accès au Cloud, le peering représente pour elles un vecteur essentiel pour relever les défis de la transformation numérique. Ce partenariat stratégique avec DATA4 va nous permettre de poursuivre notre stratégie de croissance sur l’hexagone en étoffant notre réseau et notre écosystème », déclare Franck Simon, Président de France IX Services.

 

 

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