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5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Les noms des opérateurs qui participeront à l’attribution des premières fréquences dédiées à la 5G ont été dévoilés par l'Arcep ce 26 février. Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free se sont donc portés candidats. Les quatre grands opérateurs nationaux vont s’affronter lors d’enchères, qui doivent débuter mi-avril, pour récupérer un maximum de fréquences. Et l’enjeu est de taille : ceux qui remporteront le plus de spectre pourront proposer un meilleur service que les autres.

 

Pour l'Arcep, le fait que les quatre grands opérateurs aient répondu présent est une satisfaction. Pour le président de l’institution, Sébastien Soriano, cela prouve que les conditions de cette vente « sont raisonnables ». Même si certains opérateurs ont hurlé le contraire ces derniers mois estimant que le gouvernement se montrait financièrement trop gourmand. Ils jugeaient également que ce spectre était assorti d’obligations de couverture du territoire – en particulier des zones rurales, bien moins rentables que les villes – trop importantes et coûteuses.

 

Aucun autre acteur des télécoms ne s’est porté candidat pour la 5G y compris les grands MVNO. Idem pour les industriels de différents secteurs. Il faut dire que l’attribution oblige à acheter un minimum de 40 MHz de fréquences. Cette mesure, qui vise « à éviter la fragmentation du spectre » explique Sébastien Soriano, a de facto « mis la barre un peu haut » pour les industriels.

 

Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free, sous réserve qu’ils se plient bien aux engagements demandés, devraient chacun récupérer un bloc de 50 MHz au prix fixe de 350 millions d’euros. Suivra une bataille pour les 110 MHz restants, qui seront mis aux enchères par blocs de 10 MHz, mais aucun opérateur ne pourra décrocher plus de 100 MHz de spectre au total.

 

L'Arcep doit déterminer dans les prochaines semaines la manière dont les enchères se dérouleront. Plusieurs modalités restent encore à régler.

À noter que pendant les enchères, les opérateurs n’auront pas le droit de discuter entre eux et de s’entendre sur certaines stratégies communes, ce qui fausserait la concurrence. Si rien ne vient bousculer l’agenda, le régulateur table sur une attribution des fréquences au mois de juin. Les opérateurs pourront alors débuter le déploiement de la 5G au début de l’été, courant juillet.

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Comme pressenti en septembre dernier, Iliad a confirmé son choix de se tourner vers Nokia pour son infrastructure télécom 5G. Au total, 17 millions d’abonnés, en France et en Italie, sont potentiellement concernés pour basculer le moment venu sur cette technologie mobile de dernière génération.

 

« Le groupe Iliad installera la toute dernière technologie d’accès radio de Nokia, AirScale, ce qui lui permettra de tirer parti des premiers réseaux 5G tout en prenant en charge la 4G / LTE et la 5G dans le même système d’accès radio », indique l’équipementier finlandais.

Cette technologie prend en charge différentes topologies réseau, du RAN distribué, centralisé et cloud. L’équipementier met en avant sa rapidité et facilité d’installation et des gains énergétiques de 60 % ainsi qu’une rétrocompatibilité avec ses contrôleurs de station de base Flexi.

 

Outre Iliad, Orange a également choisi Nokia – aux côtés d'Ericsson – pour le déploiement de son réseau 5G. Avec en particulier sa technologie Single RAN couplée à des outils d’automatisation et de gestion réseau ainsi que des services professionnels associés dans les régions.

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

L’Union européenne vient de publier une salve de mesures – boite à outils dans le jargon de l’UE – pour permettre à ses membres d’atténuer les risques cyber. « Conformément au rapport coordonné d’évaluation des risques de l’UE, les mesures concernent la sécurité des parties prenantes de l’écosystème 5G, qui sont principalement des opérateurs de réseaux mobiles et leurs fournisseurs, en particulier les fabricants d’équipements de télécommunications », peut-on lire dans un rapport.

 

Les mesures énoncées par l’Union se répartissent en deux catégories : stratégiques et techniques, complétées par des actions de support ciblées. Chacune de ses mesures est associée à un niveau de risque adossé à des facteurs de mise en œuvre positifs ou négatifs, et le temps requis de mise en place.

Elle a ainsi identifié 8 mesures stratégiques d’atténuation des risques cyber de la 5G et 11 mesures d’atténuation au niveau stratégique.

 

Par ailleurs, une feuille de route a été précisée : les États membres sont invités à prendre d’ici le 30 avril 2020 « des mesures concrètes et quantifiables pour mettre en œuvre l’ensemble de mesures clés selon les recommandations figurant dans les conclusions associées à la boîte à outils de l’UE ». Puis à élaborer avant le 30 juin 2020 « un rapport du groupe de coopération SRI sur l’état d’avancement de la mise en œuvre, dans chaque État membre, de ces mesures clés, en se fondant sur les rapports et le suivi régulier assuré notamment au sein du groupe de coopération SRI, avec l’aide de la Commission et de l’ENISA ».

 

Cette annonce intervient au moment où les 28 membres de l’Union se seraient mis d’accord pour privilégier des acteurs locaux, Nokia et Ericsson, pour les technologies cœur de réseau 5G, excluant de facto des acteurs comme Huawei. Ce qui ne signifie pas pour autant une disparition totale des équipements du fabricant chinois qui, par exemple en Angleterre, pourra les proposer pour des parties non sensibles du réseau tout en étant plafonné à hauteur de 35 % du marché de la 5G. Une perspective qui semble loin d’être d’actualité en Allemagne, où le gouvernement aurait des preuves de la connivence de Huawei avec les services de renseignement chinois…

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Huawei : lenteurs de l’administration française

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Huawei : lenteurs de l’administration française

À en croire plusieurs spécialistes des Télécoms, l’incertitude des opérateurs sur la possibilité ou non d’utiliser les antennes 5G de Huawei pour leurs nouveaux réseaux mobiles se renforce.

 

Pourtant la loi sur la sécurisation des réseaux mobiles (surnommée « anti-Huawei ») a clarifié les choses. En effet, les opérateurs doivent obtenir le feu vert de l'Anssi – Agence nationale de sécurité des systèmes d’information –  avant d’utiliser un équipement 5G. L’Agence dispose alors de deux mois pour étudier leurs dossiers.

Fin décembre, Orange, SFR et Bouygues Telecom ont ainsi tous les trois déposés des dossiers d’autorisation pour des déploiements d’antennes 5G chinoises sur le territoire hexagonal.

 

Seulement voilà, les cyber-experts tricolores multiplient les demandes de précision, selon plusieurs sources. « Ce n’est pas sérieux, grince-t-on chez un opérateur concerné. S’ils cherchent à gagner du temps de cette façon, c’est une erreur. Un tribunal ne leur donnerait jamais raison, la jurisprudence est très claire ».

 

Ce que redoutent les opérateurs en réalité, c’est que l'Anssi traîne délibérément les pieds pour ne pas avoir à afficher un refus d’autorisation en amont des attributions des fréquences 5G, prévues en avril. Si des équipementiers devaient être refusés aux opérateurs avant cette date, ces derniers seraient alors fragilisés et pourraient donc revoir à la baisse leurs mises pour les enchères 5G...

 

Selon le nouveau cadre légal, l’absence de réponse positive de l'Anssi dans les deux mois vaut refus. Mais ce délai court à réception d’un dossier… complet. D’où l’agacement des opérateurs devant ce qu’un acteur décrit comme « des manoeuvres dilatoires » pour différer l’échéance.

Un spécialiste du secteur indique même que « Certains opérateurs attendent impatiemment un refus implicite pour pouvoir attaquer en justice ».

 

Mais l’intérêt stratégique des quatre acteurs diffère. En effet, Free, n’utilisant que des antennes du finlandais Nokia, n’est pas concerné.

Orange n’utilise pas d’antennes Huawei en France à ce jour. Il veut toutefois avoir la possibilité de solliciter le fournisseur chinois pour son futur réseau 5G.

Quant à SFR et Bouygues Telecom, qui utilisent Huawei sur la moitié de leurs réseaux respectifs, ils tiennent absolument à pouvoir continuer de faire affaire avec le géant de Shenzhen. Se passer de ses antennes 5G nécessiterait en effet de démonter les antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. Le coût serait énorme. Il faudrait acheter et installer ces équipements. Surtout, une large partie du réseau serait perturbée pendant de longs mois, poussant les clients dans les bras de la concurrence. « Free deviendrait, sans rien faire, le deuxième meilleur réseau du pays… alors qu’il reste loin derrière » comme l’analyse un spécialiste des Télécoms.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Cette fois, c’est parti ! Les opérateurs qui souhaitent se lancer dans la 5G peuvent désormais déposer une candidature auprès de l’Arcep afin d’obtenir des fréquences dans la bande 3,4 ‑ 3,8 GHz. Les opérateurs doivent se signaler avant 12 h le 25 février 2020.

L’autorité de régulation procédera à l’examen des dossiers de candidature et délivrera les autorisations au cours du premier semestre 2020. Il est attendu que les quatre opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile – soient lauréats au terme de la procédure d’attribution.

 

La ressource étant limitée, la vraie question est de savoir combien de fréquences aura chaque candidat.

Un système mixte d’attribution a été prévu : les fréquences sont scindées en lots à prix fixe et en lots à prix variable, qui sera déterminé lors d’enchères. Les lots à prix fixe contiennent chacun un bloc de 50 MHz tandis que les lots à prix variable sont constitués d’un bloc de 10 MHz. Un opérateur doit postuler pour au moins 40 MHz et n’a pas le droit d’avoir plus de 100 MHz.

Les blocs à prix fixe sont vendus 350 millions d’euros à l’unité. Quant aux autres, leur prix démarre à partir de 70 millions d’euros.

Cela étant, le gouvernement n’entend pas essorer les candidats et une certaine souplesse dans l’achat des fréquences est ainsi prévu : les blocs de 10 MHz pourront être payés sur 4 ans et les blocs de 50 MHz sur 15 ans – il s’agit de la durée d’attribution des fréquences. Celle-ci pourra être éventuellement prolongée.

 

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le 17 décembre dernier, l'Arcep a annoncé avoir déterminé avec les autorités le cahier des charges du futur appel d’offres 5G. Pour s’offrir les premiers blocs de 50 MHz dans la bande des 3,5 GHz, chaque opérateur devra débourser la somme fixe de 350 millions d’euros mais également répondre aux différents engagements fixés par les autorités.

Les 110 MHz restants, sur la bande concernée, feront l’objet d’enchères par blocs de 10 MHz. Le prix de départ de ces derniers a été fixé à 70 millions d’euros. Ce qui ne devrait toutefois pas faire les affaires des opérateurs. En effet, ils militaient pour que l’autorité ne fixe pas de montants trop élevés afin de leur permettre d’investir plus massivement dans le déploiement de leurs futurs réseaux 5G.

Les autorités devraient donc tirer de cet appel d’offres, au minimum, une somme totale « de 2,17 milliards d’euros pour l’ensemble des fréquences attribuées ». Celles-ci ne se sont pourtant pas montrées gourmandes au regard des différentes enchères 5G organisées par nos voisins, comme en Allemagne ou en Italie.

 

Le cahier des charges devrait être publié dans les prochains jours et donnera le coup d’envoi officiel de la procédure d’attribution conduite par l’Arcep. Les opérateurs candidats disposeront alors de huit semaines pour préparer leurs dossiers de candidature.

Les postulants ne pourront obtenir moins de 40 MHz de fréquences et ne pourront donc pas mettre la main sur plus de 100 MHz de fréquences dans la bande des 3,5 GHz. Les fréquences seront attribuées pour une durée de 15 ans et pourront être prolongée de 5 ans en cas d’accord ultérieur entre les autorités et les opérateurs concernés.

L’instruction des dossiers présentés par les candidats devrait démarrer au cours du mois de mars. L’Arcep rendra ses arbitrages et attribuera les premiers blocs fixes de fréquences 5G fin mars. Les enchères à proprement parler se dérouleront courant mai tandis que la finalisation de la procédure aura lieu au cours du mois de juin prochain.

 

Les obligations qui pèseront sur les opérateurs ne changent cependant pas. Comme initialement prévu par l'Arcep, le cahier des charges prévoit d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux villes par opérateur avant la fin 2020. Par la suite, les opérateurs se verront contraints de déployer leurs services sur 3 000 sites en 2022, 8 000 sites en 2024 et enfin 10 500 sites en 2025.

Mais sans oublier les zones rurales. Ainsi, 25 % des sites sur la bande des 3,5 GHz « des deux derniers jalons devront être déployés dans une zone rassemblant les communes des zones peu denses et celles des territoires d’industrie, hors des principales agglomérations », a fait savoir l'Arcep.

L’Autorité indique également que « dès 2022, au moins 75 % des sites devront bénéficier d’un débit au moins égal à 240 Mbit/s au niveau de chaque site. Cette obligation sera progressivement généralisée à tous les sites jusqu’à 2030 ».

De plus, comme prévu par des textes européens, les axes routiers font également figure de priorité. La couverture des axes de type autoroutier devra ainsi être assurée en 2025, avant une couverture des routes principales prévue en 2027.

Les opérateurs devront aussi s’engager à répondre aux demandes “raisonnables” qui émaneront des entreprises et collectivités publiques, afin de leur apporter « des offres adaptées avec de la couverture et des performances, voire, si l’opérateur le préfère, en leur confiant localement ses fréquences ».

Les autorités exigent plus de coopération entre opérateurs afin d’assurer une meilleure couverture in-door des bâtiments et pour garantir une plus grande transparence sur leurs prévisions de déploiement et pannes. Enfin, les opérateurs devront également s’engager à accueillir les MVNO sur leurs réseaux respectifs « afin notamment d’encourager l’innovation par tous les acteurs du secteur ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

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