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5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : les 4 grands opérateurs dans les starting-blocks

Les noms des opérateurs qui participeront à l’attribution des premières fréquences dédiées à la 5G ont été dévoilés par l'Arcep ce 26 février. Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free se sont donc portés candidats. Les quatre grands opérateurs nationaux vont s’affronter lors d’enchères, qui doivent débuter mi-avril, pour récupérer un maximum de fréquences. Et l’enjeu est de taille : ceux qui remporteront le plus de spectre pourront proposer un meilleur service que les autres.

 

Pour l'Arcep, le fait que les quatre grands opérateurs aient répondu présent est une satisfaction. Pour le président de l’institution, Sébastien Soriano, cela prouve que les conditions de cette vente « sont raisonnables ». Même si certains opérateurs ont hurlé le contraire ces derniers mois estimant que le gouvernement se montrait financièrement trop gourmand. Ils jugeaient également que ce spectre était assorti d’obligations de couverture du territoire – en particulier des zones rurales, bien moins rentables que les villes – trop importantes et coûteuses.

 

Aucun autre acteur des télécoms ne s’est porté candidat pour la 5G y compris les grands MVNO. Idem pour les industriels de différents secteurs. Il faut dire que l’attribution oblige à acheter un minimum de 40 MHz de fréquences. Cette mesure, qui vise « à éviter la fragmentation du spectre » explique Sébastien Soriano, a de facto « mis la barre un peu haut » pour les industriels.

 

Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free, sous réserve qu’ils se plient bien aux engagements demandés, devraient chacun récupérer un bloc de 50 MHz au prix fixe de 350 millions d’euros. Suivra une bataille pour les 110 MHz restants, qui seront mis aux enchères par blocs de 10 MHz, mais aucun opérateur ne pourra décrocher plus de 100 MHz de spectre au total.

 

L'Arcep doit déterminer dans les prochaines semaines la manière dont les enchères se dérouleront. Plusieurs modalités restent encore à régler.

À noter que pendant les enchères, les opérateurs n’auront pas le droit de discuter entre eux et de s’entendre sur certaines stratégies communes, ce qui fausserait la concurrence. Si rien ne vient bousculer l’agenda, le régulateur table sur une attribution des fréquences au mois de juin. Les opérateurs pourront alors débuter le déploiement de la 5G au début de l’été, courant juillet.

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le jeudi, 27 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Les noces à un milliard de Cellnex et Bouygues Telecom

Le partenariat entre le géant européen du pylône telco et Bouygues Telecom se renforce encore avec la création d’une coentreprise (détenue à 51 % par Cellnex et à 49 % par Bouygues Telecom). Ce nouvel accord porte sur le déploiement et l’exploitation du réseau de fibre optique de l’opérateur en France, pour un investissement chiffré, à l’horizon 2027, à un milliard d’euros.

 

Grâce à cette somme, Cellnex pourra déployer un réseau de 31 500 km reliant les toits et pylônes télécom qu’opère Bouygues Telecom au réseau de “metropolitan offices” destinés à héberger des centres de traitement de données.

De quoi donner naissance à « un véritable anneau de fibre optique reliant plusieurs éléments clés de l’écosystème fixe et mobile, qui vont des pylônes raccordés à la fibre, aux small cells en passant par les centres de traitement de données », s’est réjoui Tobias Martinez, directeur général de Cellnex.

Placé dans le cadre d’une joint-venture créée entre les deux sociétés, l’accord portera également sur le déploiement de 90 nouveaux “metropolitan offices” d’ici 2027.

 

En France depuis 2016 via sa branche locale, le groupe compte aujourd’hui 130 collaborateurs chargés de la gestion d’un patrimoine de 9 192 sites mobiles répartis dans tout le pays. Une croissance rapide conduisant aujourd’hui Cellnex France à tutoyer les deux autres champions du secteur, Hivory et TDF.

Ce qui illustre bien les fortes ambitions du groupe en France et en Europe, alors qu’il a dégagé en 2019 – et pour la première fois – 51 % de son chiffre d’affaires et 60 % de son ebitda hors d’Espagne.

Une stratégie portée par un investissement conséquent de l’ogre espagnol en France. Depuis la création de sa branche locale, celui-ci a injecté pas moins de 4,3 milliards d’euros dans l’Hexagone. De quoi le faire passer au rang de premier investisseur espagnol et l’élever au statut d’acteur de référence des infrastructures mobiles.

Rappelons que Cellnex France a également mis la main sur 5 700 sites passifs de Free via l’acquisition de 70 % de la TowerCo d’Iliad.

 

Une stratégie donc payante puisque 67,5 % des revenus de Cellnex sont désormais tirés des services d’infrastructures aux opérateurs mobiles. Le géant espagnol a annoncé avoir dépassé le cap du milliard d’euros de revenus en 2019 avec aujourd’hui 36 471 sites opérationnels en Europe.

En effet, le groupe a enregistré un chiffre d’affaires global en hausse de 15 % sur l’année ainsi qu’un Ebitda en hausse de 16 % par rapport à l’exercice précédent. Et avec un carnet de commande qui atteint aujourd’hui 44 milliards d’euros, cela ne devrait pas s’arrêter.

 

Des performances qui doivent beaucoup à un investissement hors-norme de la part de l’ogre espagnol. Celui-ci a injecté pas moins de 8 milliards d’euros en opérations de croissance en 2019.

« 2019 aura sans aucun doute été une année de transformation avec un bond prodigieux en termes de taille et un saut qualitatif dans le renforcement de la position du groupe sur ses marchés clés, ainsi qu’une expansion de notre présence géographique en Europe », s’est réjoui le président du groupe Franco Bernabè.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Câbles sous-marins : Orange et Telxius s’associent

Le 18 février, Orange et Telxius, une filiale de l’opérateur historique espagnol Telefonica, ont annoncé leur association en vue de la mise en service d’un nouveau câble sous-marin transatlantique. Appartenant à Google, le câble ‘Dunant’ reliera courant 2020 la France aux États-Unis. Orange disposera de deux paires de fibre et Telxius d’une seule sur les douze que compte le câble.

 

Ils « offriront et exploiteront des services de colocalisation dans leurs stations d’atterrissement respectives », à Saint-Hilaire-de-Riez (côte ouest de la France) et à Virigina Beach (côte est des États-Unis), précisent les deux groupes dans un communiqué commun. Telxius fournira à Orange par une liaison de sa station d’atterrissement à Ashburn, en Virginie. En retour, Telxius bénéficiera des liaisons d’Orange vers Paris et les principales villes de l’Hexagone.

Avec cet accord Orange disposera de davantage de capacité entre l’Europe et les États-Unis. Il s’agit pour l’opérateur historique d’un impératif pour faire face à l’explosion du trafic de données entre le Vieux Continent et le pays de l’Oncle Sam. Pour le leader français des télécoms, Dunant constitue un investissement conséquent s’élevant à plusieurs dizaines de millions d’euros.

 

Dans le cadre de cette entreprise, Orange collabore aussi avec Google afin de lui fournir des liaisons en fibre optique terrestres en France. Ce qui permet au géant de Mountain View de connecter ses data centers des deux côtés de l’Atlantique. Ces dernières années, il a investi dans une dizaine de ces artères reposant au fond des mers, et si essentielles au bon fonctionnement d’Internet.

 

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Le jeudi, 20 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

Iliad confirme le choix de Nokia pour sa 5G

Comme pressenti en septembre dernier, Iliad a confirmé son choix de se tourner vers Nokia pour son infrastructure télécom 5G. Au total, 17 millions d’abonnés, en France et en Italie, sont potentiellement concernés pour basculer le moment venu sur cette technologie mobile de dernière génération.

 

« Le groupe Iliad installera la toute dernière technologie d’accès radio de Nokia, AirScale, ce qui lui permettra de tirer parti des premiers réseaux 5G tout en prenant en charge la 4G / LTE et la 5G dans le même système d’accès radio », indique l’équipementier finlandais.

Cette technologie prend en charge différentes topologies réseau, du RAN distribué, centralisé et cloud. L’équipementier met en avant sa rapidité et facilité d’installation et des gains énergétiques de 60 % ainsi qu’une rétrocompatibilité avec ses contrôleurs de station de base Flexi.

 

Outre Iliad, Orange a également choisi Nokia – aux côtés d'Ericsson – pour le déploiement de son réseau 5G. Avec en particulier sa technologie Single RAN couplée à des outils d’automatisation et de gestion réseau ainsi que des services professionnels associés dans les régions.

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

La Chine demande ne pas discriminer Huawei

Le déploiement de la 5G est devenu un enjeu géopolitique international. Et le porte-parole de l’ambassade de Chine en France s’inquiète de « reportages récents dans plusieurs médias français selon lesquels les autorités compétentes françaises envisageraient de prendre des mesures restrictives contre Huawei dans le déploiement de la 5G en France ».

Il rappelle, dans ce communiqué, que le président français ainsi que de hauts responsables ont affirmé qu’en matière de 5G, « la France ne prendrait pas de mesures discriminatoires contre un pays ou une entreprise spécifique, ni n’exclurait pas Huawei ».

 

Ces craintes d’espionnage sont infondées pour la Chine. « En réalité, les équipements 5G de Huawei sont totalement fiables et n’ont jamais présenté aucun risque technique ou sécuritaire, ni laissé aucune ‘porte dérobée’ », dit le porte-parole.

La Chine dit compter sur la France « pour prendre des actions concrètes et créer un environnement d’affaires ouvert, transparent et non discriminatoire à l’égard des entreprises de tous les pays, y compris de la Chine ».

 

Vendredi dernier, Orange a annoncé avoir sélectionné les groupes européens Nokia et Ericsson comme équipementiers pour le déploiement d’un réseau mobile de 5ᵉ génération en France métropolitaine.

Au sein du secteur français des Télécoms, le sentiment qui prévaut au est que les autorités françaises souhaitent bannir Huawei du marché de la 5G mais ne le diront pas publiquement.

De son côté, la Commission européenne a publié ses directives en refusant d’exclure le groupe chinois, tout en autorisant les pays membres à interdire les équipementiers qu’ils jugeraient à ‘haut risque’.

Plusieurs opérateurs disent redouter que l’exclusion de Huawei entraîne des retards et surcoûts dans le déploiement de la 5G.

 

 

 

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Source : Challenges

 

 

 

 

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Le jeudi, 13 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’Auvergne couverte en très haut débit fin 2020

Un nouveau contrat entre la Région, les 4 départements auvergnats et Orange, signé il y a 10 mois, prévoit une couverture haut débit de l’ensemble de l’Auvergne d’ici fin 2020. Tout laisse penser que cet objectif sera atteint tout comme celui de rendre éligible à la fibre 91 % de la population auvergnate d’ici fin 2022.

 

Afin de financer l’équipement des zones rurales, la Région Auvergne et les 4 départements avaient créé un Réseau d’Initiative Public (RIP). L’an passé, Laurent Wauquiez a renégocié la phase 3 du RIP, obtenant que l’opérateur national fasse « mieux (800 communes au lieu de 400), plus vite (2022 au lieu de 2025) et pour moins cher (137 millions économisés) ».

 

Un comité de suivi a ensuite été créé pour s’assurer qu’Orange respecte son engagement. Il s’est réuni le 7 février dernier pour la deuxième fois. Jérôme Barré, responsable des marchés de gros chez Orange, a ainsi déclaré sans détour « En 2019, on a fait le grand chelem ».

En chiffres : 50 % de prises raccordées supplémentaires en 2019 par rapport en 2018, 166 000 clients déjà raccordables, 48 000 clients raccordés, soit un taux de pénétration de 28 %.

 

Depuis juillet 2019, les foyers raccordés ont le choix avec un autre opérateur, Free. Jérôme Barré a également annoncé que l’ensemble de l’offre (avec SFR et Bouygues) sera accessible en 2021. Et ce sera une première pour un RIP.

Du côté des entreprises, Orange s’engage à « mettre de la fibre partout ». Une offre à 250 € leur est proposée, alors que les précédents tarifs étaient prohibitifs, a rappelé Laurent Wauquiez.

 

 

 

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Source : La Montagne

 

 

 

 

5G : plus d’antennes pour couvrir l'Hexagone

Le vendredi, 07 février 2020. Posté dans Archives Rezopole

5G : plus d’antennes pour couvrir l'Hexagone

Publiée le 4 février, une étude du cabinet Tactis montre que dans les zones péri-urbaines, il faudra environ 30 % de sites supplémentaires pour offrir un niveau de service 5G équivalent à celui de la 4G. Notamment dans les territoires ruraux, où deux fois plus de sites seront nécessaires pour disposer d’une couverture équivalente, et jusqu’à trois fois plus pour délivrer un service haut débit.

 

Pour arriver à ces estimations, les experts de Tactis ont simulé la couverture 4G dans plusieurs zones péri-urbaines et rurales à partir des sites d’antennes mobiles existants. Ils ont ensuite simulé ce que serait la couverture 5G en se basant sur ces mêmes sites. Dans ses projections, Tactis n’utilise que la bande de fréquences 3,5 GHz. Mais le constat est sans appel : la couverture est à chaque fois bien moindre en 5G qu’en 4G.

 

Pourquoi de telles différences ? Parce que les fréquences utilisées pour fournir la 5G ne seront pas les mêmes que pour la 4G, et elles n’ont pas les mêmes caractéristiques. « Les déploiements 4G actuels utilisent notamment des fréquences basses, qui portent loin, tandis que les fréquences hautes qui seront utilisées pour les déploiements 5G, dans la bande des 3,5 GHz, offrent beaucoup de débit mais portent bien moins loin », explique Julien Renard, expert radio chez Tactis. Toutefois, les simulations de Tactis ne comprennent pas la bande de fréquences 700 MHz alors que ces fréquences sont basses et permettent de couvrir beaucoup mieux les territoires. Pour expliquer ce choix, Julien Renard précise que la bande des 700 MHz ne permettra pas de bénéficier « de toutes les promesses de la 5G ». Impossible, affirme-t-il, d’offrir un vrai service haut débit avec ces fréquences.

 

La densification des réseaux 5G dans les cœurs de villes et les zones les plus urbanisées, généralement très rentables pour les opérateurs, sera certainement une priorité pour les Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free. En revanche, le cabinet s’interroge pour les territoires péri-urbains et les zones rurales, moins rentables. Pour acquérir des fréquences 3,5 GHz, les opérateurs devront s’engager à ce que, en 2024 et 2025, 25 % du nombre de sites 5G déployés se situent en zone rurale. Mais ils n’ont pour autant aucunement l’obligation d’y déployer de nouveaux sites. Ce qui sera pourtant un impératif pour offrir une couverture 5G de qualité, d’après Tactis.

 

Le risque ? Une nouvelle fracture numérique entre les villes et les campagnes. Ces dernières pourraient se retrouver, durablement, avec des réseaux 5G inexistants ou de piètre qualité. Pour densifier davantage les réseaux, la solution pourrait venir d’une plus forte mutualisation des infrastructures mobiles.

Les opérateurs y songent déjà. Dans un entretien aux Echos, Stéphane Richard, PDG d’Orange, a jugé que « la question d’une mutualisation poussée se pose. […] Orange a signé (des accords en ce sens) en Espagne, en Pologne ou en Belgique. En France, certains de nos concurrents partagent déjà largement leurs réseaux ; nous y réfléchissons également ». Les grandes manœuvres pourraient commencer dès cette année, lorsque les fréquences 5G auront été attribuées.

 

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

L’UE dégaine son plan d’action pour sécuriser la 5G

L’Union européenne vient de publier une salve de mesures – boite à outils dans le jargon de l’UE – pour permettre à ses membres d’atténuer les risques cyber. « Conformément au rapport coordonné d’évaluation des risques de l’UE, les mesures concernent la sécurité des parties prenantes de l’écosystème 5G, qui sont principalement des opérateurs de réseaux mobiles et leurs fournisseurs, en particulier les fabricants d’équipements de télécommunications », peut-on lire dans un rapport.

 

Les mesures énoncées par l’Union se répartissent en deux catégories : stratégiques et techniques, complétées par des actions de support ciblées. Chacune de ses mesures est associée à un niveau de risque adossé à des facteurs de mise en œuvre positifs ou négatifs, et le temps requis de mise en place.

Elle a ainsi identifié 8 mesures stratégiques d’atténuation des risques cyber de la 5G et 11 mesures d’atténuation au niveau stratégique.

 

Par ailleurs, une feuille de route a été précisée : les États membres sont invités à prendre d’ici le 30 avril 2020 « des mesures concrètes et quantifiables pour mettre en œuvre l’ensemble de mesures clés selon les recommandations figurant dans les conclusions associées à la boîte à outils de l’UE ». Puis à élaborer avant le 30 juin 2020 « un rapport du groupe de coopération SRI sur l’état d’avancement de la mise en œuvre, dans chaque État membre, de ces mesures clés, en se fondant sur les rapports et le suivi régulier assuré notamment au sein du groupe de coopération SRI, avec l’aide de la Commission et de l’ENISA ».

 

Cette annonce intervient au moment où les 28 membres de l’Union se seraient mis d’accord pour privilégier des acteurs locaux, Nokia et Ericsson, pour les technologies cœur de réseau 5G, excluant de facto des acteurs comme Huawei. Ce qui ne signifie pas pour autant une disparition totale des équipements du fabricant chinois qui, par exemple en Angleterre, pourra les proposer pour des parties non sensibles du réseau tout en étant plafonné à hauteur de 35 % du marché de la 5G. Une perspective qui semble loin d’être d’actualité en Allemagne, où le gouvernement aurait des preuves de la connivence de Huawei avec les services de renseignement chinois…

 

 

 

 

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Source : Le Monde Informatique

 

 

 

 

Un plan de continuation pour Kosc

Le vendredi, 31 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Un plan de continuation pour Kosc

La perspective de mettre la clé sous la porte s’éloigne un peu pour Kosc. « Un plan de continuation d’activité va être proposé par la direction de Kosc et massivement soutenu par Altitude Infrastructure », explique David El Fassy, le président de ce groupe spécialisé dans le déploiement de fibre optique en zone rurale.

L’offre sera déposée lundi sur le bureau de l’administrateur judiciaire, à qui il reviendra de choisir entre celle-ci et d’éventuels plans de cessions présentés par d’autres candidats, comme Bouygues Telecom, longtemps présenté comme un repreneur potentiel.

 

« Nous proposons de maintenir l’activité et les services rendus aux clients. Nous nous adossons à Altitude, un groupe familial extrêmement expérimenté, habitué à fournir des prestations de ‘wholesale only’. Et nous payons les passifs de l’entreprise. C’est de loin la meilleure solution », plaide Yann de Prince, le président fondateur de Kosc.

Dans le cadre du plan de continuation, les dettes d’un montant de 40 millions d’euros seraient renégociées. Et un accord serait recherché avec SFR pour solder tout litige.

 

Reste que l’entreprise brûle du cash. Les anciens actionnaires – le groupe OVH et la Caisse des Dépôts – avaient accepté de mettre 4 millions d’euros début décembre pour assurer le fonctionnement pendant la phase de redressement. L’administrateur sait que cette caisse sera bientôt vide.

Face à ce problème de trésorerie, Altitude Infrastructure promet d’investir 100 millions d’euros dans Kosc sur les cinq prochaines années. Une large part de cet apport sera faite sur fonds propres. « L’acquisition de nouveaux clients coûte cher, explique David El Fassy. L’infrastructure technique de Kosc est aujourd’hui performante et irrigue énormément d’entreprises. Le marché de Kosc est devant lui. Notre plan de marche prévoit un retour à l’équilibre opérationnel en 2022 ».

 

L’existence de ce plan de continuation devrait rassurer les salariés de Kosc, les dizaines d’opérateurs clients, les entreprises qu’eux-mêmes fournissent mais aussi les élus du Sénat et de l’Assemblée, montés au créneau ces derniers mois pour critiquer l’action de l’Autorité de la concurrence sur le marché des télécoms d’entreprise. En effet, devant l’accès très insatisfaisant des PME à la fibre optique et les prix élevés, dans un contexte de domination d’Orange et dans une moindre mesure de SFR, les parlementaires appelaient au sauvetage du modèle Kosc. Les secours sont en route.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : la concurrence arrive dans les grandes villes

Il y a un peu plus d’un an, Axione et le fonds Mirova ont créé CityFast. La société avait acheté les 140 000 lignes de fibre optique déployées par Bouygues Telecom dans les grandes villes. CityFast avait alors pris l’engagement de connecter 3,4 millions de foyers urbains d’ici fin 2021 et de louer cette infrastructure à l’opérateur de Martin Bouygues et à d’autres.

 

Un an plus tard, CityFast assure avoir franchi les 800 000 lignes de fibre optique déployées. Le grossiste va donc passer à la phase suivante : la commercialisation de ces tuyaux aux opérateurs intéressés. La foultitude d’opérateurs régionaux ou spécialisés sur la fourniture des TPE-PME pourra alors offrir des abonnements à la fibre optique dans les centres-villes à des tarifs très compétitifs.

 

Le président de CityFast, Eric Jammaron, explique « Aujourd’hui, c’est un marché très fermé. Un cabinet d’avocats de centre-ville, par exemple, a un choix très limité. Soit il prend un abonnement FTTH auprès d’un des grands opérateurs présents dans l’immeuble, sans garanties, soit il passe par un opérateur d’entreprise pour avoir une fibre dédiée avec une qualité de service très supérieure, mais un abonnement très cher ».

 

Le grossiste est persuadé que les petits et moyens opérateurs se presseront pour proposer de la fibre, avec ou sans garantie de temps de rétablissement, aux TPE-PME.

« Nous faisons le pari de la masse, avec des prix extrêmement agressifs, assure Eric Jammaron. Aujourd’hui, une offre ADSL pro, avec des débits très inférieurs, se vend 60 à 80 euros. La fibre pro ne descend pas en dessous de 300 euros ». CityFast vendra ses lignes FTTH avec garanties de service trois fois moins cher aux opérateurs.

Un argument qui ne convainc pas entièrement. Nicolas Aubé, patron de Celeste, est persuadé que les entreprises resteront friandes de lignes rien qu’à elles.

 

CityFast saura rapidement à quoi s’en tenir. Dès cette semaine, il ouvre à la location ses lignes de fibre dans le 7e arrondissement de Paris, puis dans les autres quartiers de la capitale, ainsi qu’à Lyon et Marseille.

 

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Huawei : lenteurs de l’administration française

Le jeudi, 23 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Huawei : lenteurs de l’administration française

À en croire plusieurs spécialistes des Télécoms, l’incertitude des opérateurs sur la possibilité ou non d’utiliser les antennes 5G de Huawei pour leurs nouveaux réseaux mobiles se renforce.

 

Pourtant la loi sur la sécurisation des réseaux mobiles (surnommée « anti-Huawei ») a clarifié les choses. En effet, les opérateurs doivent obtenir le feu vert de l'Anssi – Agence nationale de sécurité des systèmes d’information –  avant d’utiliser un équipement 5G. L’Agence dispose alors de deux mois pour étudier leurs dossiers.

Fin décembre, Orange, SFR et Bouygues Telecom ont ainsi tous les trois déposés des dossiers d’autorisation pour des déploiements d’antennes 5G chinoises sur le territoire hexagonal.

 

Seulement voilà, les cyber-experts tricolores multiplient les demandes de précision, selon plusieurs sources. « Ce n’est pas sérieux, grince-t-on chez un opérateur concerné. S’ils cherchent à gagner du temps de cette façon, c’est une erreur. Un tribunal ne leur donnerait jamais raison, la jurisprudence est très claire ».

 

Ce que redoutent les opérateurs en réalité, c’est que l'Anssi traîne délibérément les pieds pour ne pas avoir à afficher un refus d’autorisation en amont des attributions des fréquences 5G, prévues en avril. Si des équipementiers devaient être refusés aux opérateurs avant cette date, ces derniers seraient alors fragilisés et pourraient donc revoir à la baisse leurs mises pour les enchères 5G...

 

Selon le nouveau cadre légal, l’absence de réponse positive de l'Anssi dans les deux mois vaut refus. Mais ce délai court à réception d’un dossier… complet. D’où l’agacement des opérateurs devant ce qu’un acteur décrit comme « des manoeuvres dilatoires » pour différer l’échéance.

Un spécialiste du secteur indique même que « Certains opérateurs attendent impatiemment un refus implicite pour pouvoir attaquer en justice ».

 

Mais l’intérêt stratégique des quatre acteurs diffère. En effet, Free, n’utilisant que des antennes du finlandais Nokia, n’est pas concerné.

Orange n’utilise pas d’antennes Huawei en France à ce jour. Il veut toutefois avoir la possibilité de solliciter le fournisseur chinois pour son futur réseau 5G.

Quant à SFR et Bouygues Telecom, qui utilisent Huawei sur la moitié de leurs réseaux respectifs, ils tiennent absolument à pouvoir continuer de faire affaire avec le géant de Shenzhen. Se passer de ses antennes 5G nécessiterait en effet de démonter les antennes 3G et 4G pour des raisons de compatibilité. Le coût serait énorme. Il faudrait acheter et installer ces équipements. Surtout, une large partie du réseau serait perturbée pendant de longs mois, poussant les clients dans les bras de la concurrence. « Free deviendrait, sans rien faire, le deuxième meilleur réseau du pays… alors qu’il reste loin derrière » comme l’analyse un spécialiste des Télécoms.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

La SNCF veut vendre de la fibre aux entreprises

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

La SNCF veut vendre de la fibre aux entreprises

À partir du second semestre, le groupe ferroviaire va vendre de la fibre aux opérateurs Télécoms régionaux s’adressant aux entreprises.

 

Sur ce marché dominé par Orange et SFR, l’arrivée de la SNCF devrait donc faire des vagues. La société dispose historiquement d’un réseau de fibre de 20 000 kilomètres qui connecte notamment ses 3 000 gares. Depuis des années, la SNCF loue déjà l’accès à son réseau à des opérateurs Télécoms régionaux trop modestes pour construire eux-mêmes de telles infrastructures. Cependant, il s’agit de fibre “noire” de très longue distance. Les opérateurs doivent installer leurs propres équipements pour la mettre en service. Cette fois-ci, la SNCF ambitionne de vendre de la fibre “activée”, c’est-à-dire prête à l’emploi.

 

Le groupe assure ne pas vouloir « disrupter » le marché mais simplement contribuer à l’aménagement numérique du territoire. Le plan Très Haut Débit doit généraliser la fibre à travers l’Hexagone d’ici à 2022, mais aujourd’hui seulement 23 % des TPE-PME y sont raccordées, selon une étude de Covage.

 

La SNCF veut proposer une offre premium avec pour objectif d’atteindre la rentabilité. « La SNCF va aller sur ce marché avec les aides de l’État. Ce projet ne va donc pas être très bien accueilli par les grands opérateurs. C’est un dossier très politique » avance un observateur.

 

Le “timing” de ce projet n’a rien d’anodin. Kosc, un opérateur de gros créé en 2016 pour bousculer le duopole Orange-SFR dans les Télécoms d’entreprises et qui louait son réseau fibre à 65 000 clients, n’a que six mois pour retrouver un repreneur. Dans ce contexte, les petits opérateurs inquiets d’être coupés du réseau Kosc pourraient se tourner… vers la SNCF.

 

 

 

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Source : Les Echos

 

 

 

 

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

L’accord de partage de réseau d’accès mobile entre Orange Belgique et son concurrent Proximus vient d’être suspendu par l’Autorité belge de la concurrence saisie par Telenet, le troisième opérateur mobile du marché outre-Quiévrain. Ce dernier estime que cette alliance aurait pour effet de créer un mastodonte sur le marché belge des Télécoms.

« Telenet comprend ce qui motive les opérateurs mobiles à vouloir partager leur réseau mobile, certes dans les limites de la légalité, mais se pose des questions sérieuses quant à la façon très poussée dont les deux plus grands acteurs mobiles de Belgique veulent collaborer dans le cadre d’une joint-venture », a fait savoir la direction.

D’autant qu’un « accord poussé de ce type entre Proximus et Orange Belgique a également pour effet de réduire de trois à deux le nombre d’acteurs détenteurs d’infrastructure mobile », a relevé Telenet au terme d’un argumentaire qui n’a pas laissé insensible le régulateur belge. Et qui pourrait bien intéresser les opérateurs français.

 

« Compte tenu de leur impact possible sur la concurrence, le collège de la concurrence impose à Orange et à Proximus de suspendre la mise en œuvre de l’accord entre actionnaires et de l’accord de partage RAN conclu entre eux le 22 novembre 2019, à compter de la date de réception de la présente décision et jusqu’au 16 mars 2020 », a expliqué, en fin de semaine dernière, l’Autorité belge de la concurrence.

La décision adoptée par cette dernière permet à Orange Belgique et Proximus de continuer leurs travaux préparatoires en vue de la mise en place de leur future joint-venture. En effet, la décision du régulateur belge « n’empêche pas l’envoi de RFP pour l’acquisition d’équipements de réseau et la sélection des employés à transférer, si cela ne conduit pas à la conclusion d’accords contraignants ».

 

Orange Belgique et Proximus ont toutefois tenu à défendre leur accord finalisé en novembre dernier « l’accord sur le partage du réseau mobile d’accès aura des effets positifs pour les clients et pour la société belge dans son ensemble, en particulier un déploiement plus rapide et plus étendu de la 5G, une réduction significative de la consommation énergétique globale et une amélioration totale de l’expérience mobile, tout en maintenant une solide différenciation entre les parties au niveau des services et de l’expérience client ».

 

Pour rappel, cette alliance a pour but de créer une joint-venture détenue à parts égales entre les deux opérateurs. « Bien que partageant leurs réseaux d’accès mobile, les deux entreprises conserveront le plein contrôle de leurs propres ressources de spectre et continueront à exploiter en toute indépendance leurs cœurs de réseaux afin de garantir une expérience client et de service différenciée », avaient déclaré Orange Belgique et Proximus lors de l’annonce de cet accord.

 

Le marché belge des Télécommunications mobile est actuellement animé par trois opérateurs principaux : Proximus, (44 % des parts de ce marché en 2017), suivi d’Orange Belgique (27 %) et de Telenet, (avec une part de marché comprise entre 20 et 30 %).

Depuis plusieurs mois, différentes rumeurs font état de l’entrée sur le marché belge d’un quatrième opérateur permettant ainsi d’introduire plus de concurrence sur un marché caractérisé par son faible nombre d’acteurs et des prix relativement élevés. Dans une étude publiée en 2018, le régulateur belge s’était montré lui-même favorable à l’entrée d’un quatrième opérateur mobile sur le marché, relevant que cette concurrence nouvelle permettrait de faire baisser les prix et d’améliorer l’innovation, au risque toutefois d’une baisse des investissements consentis, notamment en zone rurale.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Cette fois, c’est parti ! Les opérateurs qui souhaitent se lancer dans la 5G peuvent désormais déposer une candidature auprès de l’Arcep afin d’obtenir des fréquences dans la bande 3,4 ‑ 3,8 GHz. Les opérateurs doivent se signaler avant 12 h le 25 février 2020.

L’autorité de régulation procédera à l’examen des dossiers de candidature et délivrera les autorisations au cours du premier semestre 2020. Il est attendu que les quatre opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile – soient lauréats au terme de la procédure d’attribution.

 

La ressource étant limitée, la vraie question est de savoir combien de fréquences aura chaque candidat.

Un système mixte d’attribution a été prévu : les fréquences sont scindées en lots à prix fixe et en lots à prix variable, qui sera déterminé lors d’enchères. Les lots à prix fixe contiennent chacun un bloc de 50 MHz tandis que les lots à prix variable sont constitués d’un bloc de 10 MHz. Un opérateur doit postuler pour au moins 40 MHz et n’a pas le droit d’avoir plus de 100 MHz.

Les blocs à prix fixe sont vendus 350 millions d’euros à l’unité. Quant aux autres, leur prix démarre à partir de 70 millions d’euros.

Cela étant, le gouvernement n’entend pas essorer les candidats et une certaine souplesse dans l’achat des fréquences est ainsi prévu : les blocs de 10 MHz pourront être payés sur 4 ans et les blocs de 50 MHz sur 15 ans – il s’agit de la durée d’attribution des fréquences. Celle-ci pourra être éventuellement prolongée.

 

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

OMTEL cède ses tours Télécom !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

OMTEL cède ses tours Télécom !

Après l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la France, la Suisse, le Royaume-Uni et l’Irlande, le géant européen des infrastructures de télécommunications Cellnex se lance à la conquête du Portugal. En effet, la société a annoncé le 2 janvier dernier l’acquisition de 100 % de l’opérateur de tours portugais OMTEL, valorisé à 800 millions d’euros, dont 25 % appartenait à Altice Europe, la maison-mère de SFR.

 

La société portugaise est à la tête de 25 % du réseau de tours au Portugal et compte pour principal client PT Portugal, l’opérateur détenu par Altice Europe.

« Avec OMTEL, nous n’intégrons pas seulement l’un des principaux opérateurs indépendants d’infrastructures de télécommunications au Portugal. Nous nous engageons également dans une croissance cohérente en Europe, en y intégrant un huitième marché - ce qui étend naturellement la couverture géographique actuelle des sept pays dans lesquels nous sommes déjà présents », a fait savoir Tobias Martínez, CEO de Cellnex.

La direction de la société espagnole a également indiqué vouloir renforcer le réseau d'OMTEL de 350 sites supplémentaires d’ici 2027, pour un investissement chiffré à 140 millions d’euros.

Une débauche d’investissement qui ne semble pas faire peur à Cellnex. Depuis son entrée en bourse en 2015, la société a annoncé avoir engagé pas moins de 12 milliards d’euros d’investissement pour l’acquisition ou la construction jusqu’en 2027 d’environ 48 000 infrastructures de télécommunications en plus des quelques 10 000 dont la société disposait à l’époque. Son portefeuille s’élève donc à un total de 58 000 sites.

 

L’appétit de Cellnex vise également la France. Après avoir acquis en 2017 pas moins de 3 000 sites appartenant à Bouygues Telecom pour un montant total de 800 millions d’euros, l’ogre espagnol a finalisé en fin d’année dernière l’acquisition de 70 % d’Iliad TowerCo qui exploite quelques 5 700 sites de télécommunications mobiles en France, pour une opération valorisée à 2 milliards d’euros.

La transaction conclue avec Free, comprenant également la cession de 100 % de la filiale italienne d’infrastructures de Free et de 90 % des antennes de Salt, a permis à Cellnex de voir son parc de pylônes passer de 3 000 sites de télécommunications mobiles à plus de 8 000 sites dans l’Hexagone.

De quoi faire frémir la concurrence, alors qu'Hivory revendique un parc de plus de 10 000 sites et que le parc de TDF culmine pour sa part à 13 900 sites.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

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