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Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

Le vendredi, 17 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Belgique : Orange et Proximus bloqués par le régulateur

L’accord de partage de réseau d’accès mobile entre Orange Belgique et son concurrent Proximus vient d’être suspendu par l’Autorité belge de la concurrence saisie par Telenet, le troisième opérateur mobile du marché outre-Quiévrain. Ce dernier estime que cette alliance aurait pour effet de créer un mastodonte sur le marché belge des Télécoms.

« Telenet comprend ce qui motive les opérateurs mobiles à vouloir partager leur réseau mobile, certes dans les limites de la légalité, mais se pose des questions sérieuses quant à la façon très poussée dont les deux plus grands acteurs mobiles de Belgique veulent collaborer dans le cadre d’une joint-venture », a fait savoir la direction.

D’autant qu’un « accord poussé de ce type entre Proximus et Orange Belgique a également pour effet de réduire de trois à deux le nombre d’acteurs détenteurs d’infrastructure mobile », a relevé Telenet au terme d’un argumentaire qui n’a pas laissé insensible le régulateur belge. Et qui pourrait bien intéresser les opérateurs français.

 

« Compte tenu de leur impact possible sur la concurrence, le collège de la concurrence impose à Orange et à Proximus de suspendre la mise en œuvre de l’accord entre actionnaires et de l’accord de partage RAN conclu entre eux le 22 novembre 2019, à compter de la date de réception de la présente décision et jusqu’au 16 mars 2020 », a expliqué, en fin de semaine dernière, l’Autorité belge de la concurrence.

La décision adoptée par cette dernière permet à Orange Belgique et Proximus de continuer leurs travaux préparatoires en vue de la mise en place de leur future joint-venture. En effet, la décision du régulateur belge « n’empêche pas l’envoi de RFP pour l’acquisition d’équipements de réseau et la sélection des employés à transférer, si cela ne conduit pas à la conclusion d’accords contraignants ».

 

Orange Belgique et Proximus ont toutefois tenu à défendre leur accord finalisé en novembre dernier « l’accord sur le partage du réseau mobile d’accès aura des effets positifs pour les clients et pour la société belge dans son ensemble, en particulier un déploiement plus rapide et plus étendu de la 5G, une réduction significative de la consommation énergétique globale et une amélioration totale de l’expérience mobile, tout en maintenant une solide différenciation entre les parties au niveau des services et de l’expérience client ».

 

Pour rappel, cette alliance a pour but de créer une joint-venture détenue à parts égales entre les deux opérateurs. « Bien que partageant leurs réseaux d’accès mobile, les deux entreprises conserveront le plein contrôle de leurs propres ressources de spectre et continueront à exploiter en toute indépendance leurs cœurs de réseaux afin de garantir une expérience client et de service différenciée », avaient déclaré Orange Belgique et Proximus lors de l’annonce de cet accord.

 

Le marché belge des Télécommunications mobile est actuellement animé par trois opérateurs principaux : Proximus, (44 % des parts de ce marché en 2017), suivi d’Orange Belgique (27 %) et de Telenet, (avec une part de marché comprise entre 20 et 30 %).

Depuis plusieurs mois, différentes rumeurs font état de l’entrée sur le marché belge d’un quatrième opérateur permettant ainsi d’introduire plus de concurrence sur un marché caractérisé par son faible nombre d’acteurs et des prix relativement élevés. Dans une étude publiée en 2018, le régulateur belge s’était montré lui-même favorable à l’entrée d’un quatrième opérateur mobile sur le marché, relevant que cette concurrence nouvelle permettrait de faire baisser les prix et d’améliorer l’innovation, au risque toutefois d’une baisse des investissements consentis, notamment en zone rurale.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 30 janvier à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

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Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Fréquence 5G : les candidatures sont ouvertes

Cette fois, c’est parti ! Les opérateurs qui souhaitent se lancer dans la 5G peuvent désormais déposer une candidature auprès de l’Arcep afin d’obtenir des fréquences dans la bande 3,4 ‑ 3,8 GHz. Les opérateurs doivent se signaler avant 12 h le 25 février 2020.

L’autorité de régulation procédera à l’examen des dossiers de candidature et délivrera les autorisations au cours du premier semestre 2020. Il est attendu que les quatre opérateurs – Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free Mobile – soient lauréats au terme de la procédure d’attribution.

 

La ressource étant limitée, la vraie question est de savoir combien de fréquences aura chaque candidat.

Un système mixte d’attribution a été prévu : les fréquences sont scindées en lots à prix fixe et en lots à prix variable, qui sera déterminé lors d’enchères. Les lots à prix fixe contiennent chacun un bloc de 50 MHz tandis que les lots à prix variable sont constitués d’un bloc de 10 MHz. Un opérateur doit postuler pour au moins 40 MHz et n’a pas le droit d’avoir plus de 100 MHz.

Les blocs à prix fixe sont vendus 350 millions d’euros à l’unité. Quant aux autres, leur prix démarre à partir de 70 millions d’euros.

Cela étant, le gouvernement n’entend pas essorer les candidats et une certaine souplesse dans l’achat des fréquences est ainsi prévu : les blocs de 10 MHz pourront être payés sur 4 ans et les blocs de 50 MHz sur 15 ans – il s’agit de la durée d’attribution des fréquences. Celle-ci pourra être éventuellement prolongée.

 

 

 

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Source : Numerama

 

 

 

 

OMTEL cède ses tours Télécom !

Le lundi, 13 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

OMTEL cède ses tours Télécom !

Après l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la France, la Suisse, le Royaume-Uni et l’Irlande, le géant européen des infrastructures de télécommunications Cellnex se lance à la conquête du Portugal. En effet, la société a annoncé le 2 janvier dernier l’acquisition de 100 % de l’opérateur de tours portugais OMTEL, valorisé à 800 millions d’euros, dont 25 % appartenait à Altice Europe, la maison-mère de SFR.

 

La société portugaise est à la tête de 25 % du réseau de tours au Portugal et compte pour principal client PT Portugal, l’opérateur détenu par Altice Europe.

« Avec OMTEL, nous n’intégrons pas seulement l’un des principaux opérateurs indépendants d’infrastructures de télécommunications au Portugal. Nous nous engageons également dans une croissance cohérente en Europe, en y intégrant un huitième marché - ce qui étend naturellement la couverture géographique actuelle des sept pays dans lesquels nous sommes déjà présents », a fait savoir Tobias Martínez, CEO de Cellnex.

La direction de la société espagnole a également indiqué vouloir renforcer le réseau d'OMTEL de 350 sites supplémentaires d’ici 2027, pour un investissement chiffré à 140 millions d’euros.

Une débauche d’investissement qui ne semble pas faire peur à Cellnex. Depuis son entrée en bourse en 2015, la société a annoncé avoir engagé pas moins de 12 milliards d’euros d’investissement pour l’acquisition ou la construction jusqu’en 2027 d’environ 48 000 infrastructures de télécommunications en plus des quelques 10 000 dont la société disposait à l’époque. Son portefeuille s’élève donc à un total de 58 000 sites.

 

L’appétit de Cellnex vise également la France. Après avoir acquis en 2017 pas moins de 3 000 sites appartenant à Bouygues Telecom pour un montant total de 800 millions d’euros, l’ogre espagnol a finalisé en fin d’année dernière l’acquisition de 70 % d’Iliad TowerCo qui exploite quelques 5 700 sites de télécommunications mobiles en France, pour une opération valorisée à 2 milliards d’euros.

La transaction conclue avec Free, comprenant également la cession de 100 % de la filiale italienne d’infrastructures de Free et de 90 % des antennes de Salt, a permis à Cellnex de voir son parc de pylônes passer de 3 000 sites de télécommunications mobiles à plus de 8 000 sites dans l’Hexagone.

De quoi faire frémir la concurrence, alors qu'Hivory revendique un parc de plus de 10 000 sites et que le parc de TDF culmine pour sa part à 13 900 sites.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

Le mercredi, 08 janvier 2020. Posté dans Archives Rezopole

Ça rock pour l’Aperezo #62 !

L'AOTA et Rezopole ont le plaisir de vous convier le mercredi 29 janvier à la 62ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous au Hard Rock Café Lyon, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


* Confirmation nominative transmise ultérieurement par courriel

 

 

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En vous inscrivant, vous acceptez, si vous apparaissez sur les photos prises lors de l'événement, que celles-ci soient publiées sur notre site, les réseaux sociaux et le site de notre partenaire.

 

 

À propos de notre sponsor

Fondée début 2017 par 22 opérateurs régionaux, l'AOTA (Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs) défend les intérêts et organise la promotion des acteurs alternatifs du marché des télécoms en France. Deuxième structure exclusivement dédiée à la filière des opérateurs télécoms indépendants après la FFT, elle compte aujourd'hui près de 50 opérateurs adhérents, tous propriétaires d'infrastructures (LIR RIPE, collectes, boucles locales, etc), qui pèsent plus de 220 millions d'euros de chiffre d'affaires agrégé et emploient plus de 1500 personnes.

 

 

 

 

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : ticket d’entrée à 350 millions d’euros

Le 17 décembre dernier, l'Arcep a annoncé avoir déterminé avec les autorités le cahier des charges du futur appel d’offres 5G. Pour s’offrir les premiers blocs de 50 MHz dans la bande des 3,5 GHz, chaque opérateur devra débourser la somme fixe de 350 millions d’euros mais également répondre aux différents engagements fixés par les autorités.

Les 110 MHz restants, sur la bande concernée, feront l’objet d’enchères par blocs de 10 MHz. Le prix de départ de ces derniers a été fixé à 70 millions d’euros. Ce qui ne devrait toutefois pas faire les affaires des opérateurs. En effet, ils militaient pour que l’autorité ne fixe pas de montants trop élevés afin de leur permettre d’investir plus massivement dans le déploiement de leurs futurs réseaux 5G.

Les autorités devraient donc tirer de cet appel d’offres, au minimum, une somme totale « de 2,17 milliards d’euros pour l’ensemble des fréquences attribuées ». Celles-ci ne se sont pourtant pas montrées gourmandes au regard des différentes enchères 5G organisées par nos voisins, comme en Allemagne ou en Italie.

 

Le cahier des charges devrait être publié dans les prochains jours et donnera le coup d’envoi officiel de la procédure d’attribution conduite par l’Arcep. Les opérateurs candidats disposeront alors de huit semaines pour préparer leurs dossiers de candidature.

Les postulants ne pourront obtenir moins de 40 MHz de fréquences et ne pourront donc pas mettre la main sur plus de 100 MHz de fréquences dans la bande des 3,5 GHz. Les fréquences seront attribuées pour une durée de 15 ans et pourront être prolongée de 5 ans en cas d’accord ultérieur entre les autorités et les opérateurs concernés.

L’instruction des dossiers présentés par les candidats devrait démarrer au cours du mois de mars. L’Arcep rendra ses arbitrages et attribuera les premiers blocs fixes de fréquences 5G fin mars. Les enchères à proprement parler se dérouleront courant mai tandis que la finalisation de la procédure aura lieu au cours du mois de juin prochain.

 

Les obligations qui pèseront sur les opérateurs ne changent cependant pas. Comme initialement prévu par l'Arcep, le cahier des charges prévoit d’imposer l’ouverture de la 5G dans au moins deux villes par opérateur avant la fin 2020. Par la suite, les opérateurs se verront contraints de déployer leurs services sur 3 000 sites en 2022, 8 000 sites en 2024 et enfin 10 500 sites en 2025.

Mais sans oublier les zones rurales. Ainsi, 25 % des sites sur la bande des 3,5 GHz « des deux derniers jalons devront être déployés dans une zone rassemblant les communes des zones peu denses et celles des territoires d’industrie, hors des principales agglomérations », a fait savoir l'Arcep.

L’Autorité indique également que « dès 2022, au moins 75 % des sites devront bénéficier d’un débit au moins égal à 240 Mbit/s au niveau de chaque site. Cette obligation sera progressivement généralisée à tous les sites jusqu’à 2030 ».

De plus, comme prévu par des textes européens, les axes routiers font également figure de priorité. La couverture des axes de type autoroutier devra ainsi être assurée en 2025, avant une couverture des routes principales prévue en 2027.

Les opérateurs devront aussi s’engager à répondre aux demandes “raisonnables” qui émaneront des entreprises et collectivités publiques, afin de leur apporter « des offres adaptées avec de la couverture et des performances, voire, si l’opérateur le préfère, en leur confiant localement ses fréquences ».

Les autorités exigent plus de coopération entre opérateurs afin d’assurer une meilleure couverture in-door des bâtiments et pour garantir une plus grande transparence sur leurs prévisions de déploiement et pannes. Enfin, les opérateurs devront également s’engager à accueillir les MVNO sur leurs réseaux respectifs « afin notamment d’encourager l’innovation par tous les acteurs du secteur ».

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

Députés : dernier recours du Plan France THD

Le jeudi, 19 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Députés : dernier recours du Plan France THD

Réussite exceptionnelle concernant les déploiements FttH en zone d’initiative publique, le Plan France THD a été conçu pour équiper en fibre optique les logements dans les zones les plus fragiles (rurales, montagnardes et insulaires). Il unifie ainsi les conditions techniques de déploiement sur tout le territoire national.

 

Couvrir 100 % du territoire d’ici 2025 est une condition de la compétitivité de l’économie française au sein de l’Union européenne. Les gouvernements successifs ont soutenu une telle ambition en apportant une aide financière importante à parité avec les collectivités. Un équilibre aujourd’hui rompu…

En effet, la Conférence nationale des territoires de décembre 2017 a marqué le fléchissement du Plan France THD : la fermeture du guichet FSN, une aide publique de 3 à 5 milliards aux opérateurs privés dans le cadre du “New Deal Mobile”, la suppression de 100 millions d’€ de subventions aux collectivités…

 

L’annonce de la réouverture du guichet par le gouvernement le 15 octobre 2019 ne s’est accompagnée d’aucune projection budgétaire réaliste pour finaliser ce chantier essentiel d’infrastructure.

L’État persiste sur le chiffre de 140 millions d’€ alors que les besoins estimés sont 4 à 5 fois supérieurs. Les propositions du Sénat de compléter par 322 millions d’€ de crédits d’engagements ont été rejetées. Après l’échec de la Commission Mixte Paritaire, les députés sont donc le dernier recours des collectivités.

Les associations d’élus invitent ainsi les députés à être attentifs à l’article 38 – État B de la Mission économie proposé en seconde partie du texte et à s’opposer à tout amendement qui supprimerait cette disposition essentielle du projet de Loi de finances.

 

 

 

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Source : Avicca

 

 

 

 

Fibre : hausse des importations chinoises

Le vendredi, 13 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Fibre : hausse des importations chinoises

Les fabricants de câbles en fibre optique dédiés aux Télécoms se félicitaient encore d’un fort essor des ventes en avril dernier mais depuis l’activité s’est dégradée. Les industriels en pointe dans ce domaine, comme Nexans ou Acome, ont vu leurs livraisons baisser au troisième trimestre. C’est en tout cas ce que constate le Syndicat professionnel des fabricants de fils et câbles électriques et de communication (Sycabel) « Le très fort ralentissement des livraisons de câbles à fibre optique, de l’ordre de 20 % au troisième trimestre 2019 – et ce pour la première fois depuis le troisième trimestre 2011 – suscite l’inquiétude, alors même que les déploiements dans l’Hexagone s’accélèrent, déplorent ses membres. Cette baisse brutale – voire interruption – des livraisons soulève une vive préoccupation dans nos rangs, tant au niveau de la gestion industrielle et de l’emploi que de la pérennité des investissements réalisés en France ».

 

Pourquoi les commandes ne suivent-elles pas alors que les déploiements des réseaux de fibre vont bon train ? D’après le Sycabel, de nombreux acteurs du déploiement de la fibre s’approvisionnent désormais en Chine, et dans une moindre mesure en Corée du Sud. « Ces entrées en douanes atteignent en juillet 2019 un niveau très élevé et représentent 45 % de la production de câbles à fibre optique du Sycabel, alors qu’il était de 13 % en 2017 et 23 % en 2018 ».

 

Jacques de Heere, PDG d'Acome et vice-président du Sycabel, fait grise mine. « Les usines tournent au ralenti, et certaines vont fermer d’ici la fin de l’année […] nous avons très fortement ralenti notre production. Depuis un an, celle-ci a été plus que divisée par deux ».

 

S’il n’est pas interdit d’acheter des câbles chinois, Jacques de Heere et le Sycabel ont « de sérieux doutes » sur le fait que ces produits étrangers respectent le cahier des charges stricte imposés aux acteurs français. « Nous voulons que tout le monde soit soumis aux mêmes règles », poursuit Jacques de Heere. Le dirigeant brandit le risque que certains territoires se retrouvent avec des réseaux de piètre qualité, moins performants, moins durables, et davantage susceptibles d’essuyer des pannes.

 

 

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Source : La Tribune

 

 

 

 

Les opérateurs alternatifs étrillent le plan France THD v2

Le vendredi, 13 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Les opérateurs alternatifs étrillent le plan France THD v2

Le gouvernement envisage de changer les règles du projet Guichet France THD pour apporter la fibre optique en zone rurale. Avec le durcissement des modalités de subventions, ce nouveau cahier des charges a déjà fait bondir les collectivités. Et il ne passe pas non plus du côté des acteurs Télécoms d’entreprise.

 

En effet, pour l’Association des Opérateurs Télécoms Alternatifs (AOTA) et la Fédération des entreprises du bureau et du numérique (EBEN), les propositions de l’exécutif envoient même « des signaux très négatifs et profondément inquiétants pour la compétitivité des entreprises situés en dehors des zones très denses ». Elles réclament donc une “correction” du projet mis en consultation jusqu’au 23 décembre. L’AOTA et EBEN pointent notamment la remise en question du financement de la collecte, et donc de l’existence d’offres activées à destinations des opérateurs de services numériques de proximité. Une autre inquiétude concerne l’exclusion de la desserte de sites prioritaires du périmètre éligible aux aides d’État.

 

Dans un marché entreprises “totalement anémique”, notamment marqué par les difficultés de Kosc et par la “reconstitution de la puissance de marché d’Orange”, les acteurs Télécom B2B poursuivent « plus généralement, ce nouveau cahier des charges est à l’exact opposé des mesures attendues ».

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

 

Des fréquences 5G trop chères pour les opérateurs

Le vendredi, 06 décembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Des fréquences 5G trop chères pour les opérateurs

Le 22 novembre dernier, les modalités d’attribution des fréquences de la bande 3,5 Ghz ont été arrêtées par l'Arcep. Deux jours plus tard, le gouvernement dévoilait quant à lui le prix de réserve en dessous duquel il n’entend pas céder la première portion de spectre dédiée au réseau mobile 5G. Et les opérateurs font la grimace : le prix plancher retenu leur apparaît beaucoup trop élevé.

4 ensembles de 50 MHz attribués à chacun des quatre opérateurs au prix fixe de 350 millions d’euros. Puis 11 blocs de 10 Mhz qu’ils se disputeront ensuite aux enchères, mise à prix 70 millions d’euros. Soit au total 2,17 milliards d’euros, alors qu’Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free ne s’attendaient pas à voir ce prix de réserve dépasser les 2 milliards. L'Arcep militait même pour un prix de 1,5 milliard “grand maximum”.

Dans un entretien aux Echos, Agnès Pannier-Runacher présente pourtant ce montant comme “raisonnable”. Notamment au regard des sommes qu’on déboursé les opérateurs allemands ou italiens. La représentante de Bercy a aussi fait valoir que ce chiffre correspond à celui déterminé par la Commission des Participations et Transferts, laquelle « analyse le prix en dessous duquel le patrimoine des Français ne lui semble pas devoir être cédé ».

 

Un discours se heurtant à la réalité opérationnelle et financière de la 5G, ont réagi les opérateurs. « Cette décision n’est pas cohérente avec ce qui a été avancé ces derniers mois par le gouvernement », a fait savoir Arthur Dreyfuss, président de la FFT. Laquelle ne cesse de mettre l’État en garde contre une flambée des prix qui priverait les opérateurs des moyens d’investir ensuite dans le déploiement. Surtout que les obligations qui leur sont assignées en contrepartie de l’attribution des fréquences leur semblent trop ambitieuses.

 

Des fréquences 5G trop chères : un différend de plus sur la route du futur réseau mobile. Leurs désaccords y portent non seulement sur le prix de réserve, mais aussi sur la taille des blocs à prix fixe, le rythme de déploiement, les obligations de couverture en 5G ou encore la durée des licences. Une liste non exhaustive de revendications sur lesquelles le régulateur est loin d’avoir donné satisfaction au quatuor des Télécoms.

 

Contre l’avis de l'Arcep, qui penchait pour des blocs de 60 MHz, l’État a finalement opté pour 50 MHz. « Avec des blocs à 50 MHz, pour un total de 310 MHz, le risque est de voir un opérateur obtenir deux fois plus de fréquences qu’un autre », expliquait Sébastien Soriano, président de l’Arcep, dans Le Figaro. Bouygues Telecom et Free craignent en effet d’être perdants dans l’affaire étant moins bien armés financièrement pour surenchérir.

Iliad réclamait également la suppression du troisième jalon de déploiement de sites 5G – 12 000 à fin 2025 – pour les opérateurs qui n’obtiendraient pas ces fameux 60 MHz. L'Arcep n’y a pas donné droit mais cette obligation a été revue à la baisse, à 10 500 sites. Un ajustement reflétant les nombreuses critiques rencontrées par l’échéancier initial. Celui-ci supposait une accélération de 1 000 sites par an de 2020 à 2022 puis à 2 500/an en 2023-2024 puis 4 000/an pour la seule année 2025.

Injouable ont répondu Bouygues Telecom, Orange et Free invoquant des contraintes techniques, financières et administratives. Les opérateurs n’ont tout simplement pas les moyens de réaliser le “saut” de 4 000 sites initialement attendu en 2025, fait valoir Bouygues Telecom. Pour qui, du reste, « il n’existe pas non plus de besoins capacitifs de cette ampleur à cet horizon ».

 

8 000 sites en 2024 et 10 500 en 2025 finalement mais pas seulement en secteur urbain. L'Arcep entend s’assurer que le déploiement de la 5G bénéficiera aussi aux zones peu denses, conformément aux attentes du gouvernement. Le régulateur avait initialement proposé de faire porter cette obligation sur les 22 000 communes de zone de déploiement prioritaire (ZDP) telles que définies par la décision de 2015 sur l’attribution des fréquences 700 MHz.

Là encore, l’idée n’a pas fait l’unanimité. Bouygues Telecom n’y va pas par quatre chemins : « Les obligations de couverture sont très lourdes et incohérentes avec l’objet vendu ». Pour l’opérateur, la bande 3,4-3,8 GHz est destinée à des usages avant tout capacitaires, si bien que son utilisation « n’est pas pertinente en zones peu denses ».

Également évoquée par d’autres acteurs, une approche consistant à prioriser les déploiements 5G sur « des territoires dont on est sûr qu’ils ne bénéficieront pas du FttH avant une date à déterminer ». L’une des pistes évoquées par le Cerema ou encore par l’Assemblée des départements de France est d’utiliser la 5G fixe pour pallier les futures carences du très haut débit filaire.

Enfin, l’opportunité d’ajouter le périmètre ZDP à la toute fraîche liste des “Territoires d’Industrie” est suggérée par plusieurs acteurs : Cerema encore, mais aussi Banque des Territoires ou Orange. Un complément finalement retenu par l'Arcep dans son cahier des charges.

Dernier point de contestation de la part des opérateurs : l’attribution des licences 5G pour une durée initiale de quinze ans seulement, extensible de cinq ans après bilan de l’Arcep. L’Autorité estime que cette durée est « adaptée au niveau d’investissements requis pour remplir les obligations prévues par la procédure ». Pas Orange, Bouygues Telecom et SFR : le trio juge que cela ne suffira pas à rentabiliser leurs investissements.

 

 

 

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Source : DegroupNews

 

 

 

Kosc : fiasco d’État dans les Télécom ?

Le jeudi, 28 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Kosc : fiasco d’État dans les Télécom ?

Kosc Telecom était la solution imaginée par les pouvoirs publics pour insuffler plus de concurrence au marché des télécoms dédié aux entreprises. À peine trois ans après son lancement, Kosc devrait déposer le bilan laissant une ardoise de 120 millions d’euros.

 

Après la fusion avec SFR, Kosc avait racheté une partie des activités de Numericable (Completel). Bpifrance avait injecté 9 millions d’euros et OVH était aussi actionnaire via un apport « en industrie ». L’idée était de faire de Kosc le troisième homme sur le lucratif marché des Télécom entreprises, détenu à 85 % par Orange et SFR.

En 2018, la Caisse des Dépôts et Consignation avait à son tour promis d’apporter 20 millions d’euros à Kosc. C’était sans compter sur un grain de sable : un procès perdu face à SFR et la menace de devoir lui verser 20 millions d’euros. Pour la Caisse, le risque était trop important et a décidé de se retirer du dossier ; entraînant la chute de l’opérateur télécoms.

 

Une nouvelle partie devrait se jouer à la barre du tribunal de commerce, avec de potentiels repreneurs. En effet, le secteur des télécoms a évolué depuis 2016 et Free ainsi que Bouygues Telecom se sont lancés à leur tour sur le marché des entreprises. La filiale de Bouygues serait d’ailleurs un candidat sérieux à la reprise de Kosc, et aurait à ce titre les faveurs d’OVH.

 

 

 

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Source : Le Figaro

 

 

 

 

Aperezo #61 : ouverture des inscriptions

Le mardi, 26 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Aperezo #61 : ouverture des inscriptions

Lasotel et Rezopole ont le plaisir de vous convier à la 61ème édition de l’Aperezo.

Rendez-vous le mercredi 11 décembre au Burger & Wine Confluence, à partir de 18h30.


 Attention : le nombre de places étant limité, l'inscription est OBLIGATOIRE.

Pour des raisons d'organisation et de sécurité, toute personne non munie de sa confirmation nominative d'inscription * se verra refuser l'accès à l’événement.


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À propos de notre sponsor

LASOTEL est un opérateur d'infrastructures réseaux et de services télécoms qui adresse les marchés wholesale et grands comptes privés/publics.

Il déploie et opère son réseau de fibres optiques sur la région AURA depuis 15 ans et propose des Services de Collecte, Accès Internet/Transit, Voix et Hébergement.

En 2019, son backbone évolue en débit, les flux sont séparés et sa capillarité est renforcée avec plus de 25 NROs Orange/SFR déjà dégroupés ce qui permet de proposer plus de collecte FTTO/FTTE/FTTH/4G.

En cette fin d'année, LASOTEL met à disposition de ses partenaires un nouvel outil Web d'éligibilité et une API.

 

 

 

 

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Le jeudi, 21 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Inscrivez-vous à l'IXPloration #24 !

Rezopole a le plaisir de vous inviter le jeudi 12 décembre à la prochaine IXPloration organisée dans ses locaux au 16 rue de la Thibaudière, 69007 Lyon.

 

Cet événement entièrement gratuit sera l'occasion pour vous de découvrir LyonIX, l'IXP / NAP de Lyon.

 

Ainsi seront détaillés lors de cette matinale :

- la partie IXP qui apporte une amélioration des échanges Internet entre les utilisateurs d’un territoire, une baisse des coûts Télécom, ainsi qu'une sécurisation et optimisation du réseau grâce aux routes multiples proposées.

- la partie NAP qui propose aux membres connectés un accès direct aux opérateurs présents et à leurs offres. On y achète ou vend tout type de service Télécom avec une grande flexibilité.

 

Au programme

9h00 – 9h30 : Accueil autour d'un café

9h30 – 10h30 : Présentation de LyonIX :

                         - Avantages économiques et techniques

                         - Solutions de raccordement

                         - Questions et réponses

10h30 – 11h30 : Visite d'un Point de présence LyonIX

 

 

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5G : 1,57 milliard d’utilisateur en 2025

Le lundi, 18 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

5G : 1,57 milliard d’utilisateur en 2025

Le gâteau de la 5G devrait constituer une véritable manne pour tous les acteurs du secteur. La technologie 5G devrait générer pas moins de 13,2 billions de dollars en ventes d’ici à 2035, chiffres de l’institut IHS Markit à l’appui. Cette étude montre une augmentation de 1 billion de dollars des ventes 5G d’ici 2035 par rapport aux prévisions initiales publiées en 2017, estimées à 12,3 billions de dollars.

 

« Les conséquences profondes de ces innovations vont des effets positifs sur la productivité humaine et la productivité des machines à l’élévation du niveau de vie des populations dans le monde entier » a déclaré Bob Flanagan, directeur du service de consultation économique chez IHS Markit. De fait, l’institut révèle eégalement que la 5G devrait générer 22,3 millions d’emplois en 2035.

 

Les pays ne seront pas égaux concernant le développement de cette technologie. Responsable de la recherche au sein du groupement d’acteurs du marché des Télécommunication, Tim Hatt, confirme l’émergence d’un monde à plusieurs vitesses. « Ce sera un petit groupe de pays qui mènera l’adoption de la 5G et le reste du monde suivra ». En ciblant la Chine, les États-Unis, le Japon et la Corée du Sud parmi le groupement de tête des pays leader sur cette nouvelle technologie sans fil.

Ces quatre pays représenteront plus de la moitié des abonnés mondiaux aux réseaux mobiles 5G d’ici 2025, loin devant les pays du Vieux Continent, selon la GSMA. En cause : une demande moins forte chez les consommateurs européens que chez leurs homologues américains, japonais, chinois ou coréens.

 

Concernant les pays en développement, c’est la diffusion de la 4G qui affectera la vie de milliards de personnes pour les années à venir. Pour la GSMA, la conjonction de la croissance du marché des smartphones Android bon marché et de l’abaissement des coûts des données sur les marchés du Nigeria, du Mexique, de l’Inde ou de l’Indonésie permettra aux populations d’avoir un meilleur accès à l’Internet mobile.

 

 

 

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Source : ZDNet

 

 

 

 

Participez au RezoGirls 12 !

Le vendredi, 15 novembre 2019. Posté dans Archives Rezopole

Participez au RezoGirls 12 !

Rezopole, en partenariat avec La Cuisine du Web, vous convie le mardi 3 décembre à 18h30 à la 12ᵉ rencontre RezoGirls.

Lors de cette nouvelle table ronde, plusieurs intervenantes échangeront sur le thème « Inégalités dans l’entrepreneuriat : comment, grâce au Numérique, les femmes inversent-elles la tendance ? ». Le débat sera suivi d’un cocktail dînatoire.

 

En dépit d’écarts persistants, certains chiffres illustrent une évolution positive de l’entrepreneuriat féminin en France. Les entreprises dirigées aujourd’hui par des femmes emploient en moyenne 13 personnes de moins que celles dirigées par les hommes, contre 64 personnes de moins entre 2012 et 2014. De même, les disparités entre femmes et hommes entrepreneurs ont tendance à se réduire sur le terrain de la création de richesse.

Cette évolution positive est-elle portée par la révolution Numérique ? Nos quatre intervenantes débattront sur le sujet en se basant sur leur expérience respective et apporteront une analyse pertinente de ce phénomène.

 

ProgrammeLes Toques Blanches Lyonnaises

     18h30-18h45 : Accueil
     18h45-19h00 : Présentation des intervenantes
     19h00-20h30 : Table ronde
     20h30-21h45 : Cocktail - Jacques Lafargue traiteur

 

 

 

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Pour participer aux événements Rezopole, il faut être au minimum membre Silver (gratuit).

 

Intervenantes

Diplômée de Skema Business School en 1993, Beryl Bès créée en 2009 BB-A Conseil, cabinet de courtage en assurance et en crédit. Convaincue du potentiel du crowdfunding comme soutien au développement des entreprises, elle créée MyAnnona en 2014. Cette plateforme propose aux femmes qui entreprennent un accompagnement financier online et présentiel. Co-auteure d'un livre sur le crowdfunding et l’entreprise aux Editions Eyrolles, Beryl est également intervenante chez Force Femmes et 100 000 entrepreneurs et, depuis janvier 2019, Déléguée Générale de la Fondation LDigital.

 

 

Passionnée de nouvelles technologies depuis son plus jeune âge, Alisson Foucault a toujours voulu rendre l’innovation technologique utile. Son intérêt pour les thématiques liées au High Tech l’a conduit à suivre des études d’informatique et à organiser des événements destinés au grand public.

La découverte de la réalité virtuelle est un coup de foudre : ainsi Alisson créé UniVR Studio en 2014 ! Très vite, les clients s’enchaînent, et poussent l’entreprise sur un chemin qui deviendra l’ADN d’UniVR Studio : l’utilisation de la réalité virtuelle pour la formation professionnelle.

 

 

Professionnelle de la communication et de l’organisation d’événements depuis 12 ans, Tiphaine Frugier est spécialisée dans la communication digitale et la digitalisation des entreprises. Le bénévolat associatif, rencontrer les autres et se nourrir de toutes ces expériences, l’a aidé à découvrir ce qu’elle souhaitait réellement : devenir une entrepreneuse ! Elle intègre Girlz In Web avant tout parce que c’est un réseau bienveillant et l’entraide y est permanente. Quoi de plus normal que de mettre en valeur les femmes qui veulent ou font carrière dans le Numérique et les nouvelles technologies !

 

 

Diplômée de l’EPF de Sceaux et de l’Université de Munich, Jade Le Maître fait partie des 20 % d’ingénieures françaises. La robotique entre dans sa vie en 2010 avec son projet de recherche sur l’Interaction Humain-Robot. Elle se lance par la suite dans l’évènementiel robotique et croise alors Max Vallet, avec qui elle fonde Hease Robotics en 2016. Parallèlement, Jade mentore de jeunes pousses du réseau Lyon French Tech et s’investit dans Lyon-is-Ai. Elle est aussi experte évaluatrice à la Commission Européenne sur les projets collaboratifs liés à la robotique et membre du Club Holnest.

 

 

À propos des RezoGirls       

Vous êtes une femme et vous travaillez dans le secteur Réseau & Télécom ou plus largement dans le numérique et vous souhaitez rencontrer d'autres RezoGirls ?

Venez partager votre expérience dans un cadre convivial et décontracté...

 

 
 

 

À propos de La Cuisine du Web 

 
Association indépendante dont le but est de favoriser l’entrepreneuriat Web et Numérique à Lyon, La Cuisine du Web se définit comme un action-tank pour aider les entreprises et les professionnels en favorisant les rencontres dans une ambiance unique et décalée.
 
 

               
 

 

 

 
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